Le climatisme (3/4) : Le Zéro Net 2050, un projet irréaliste, adopté sans réel débat

par Robert Girouard

Au cœur de l’idéologie climatiste, le Zéro Net 2050, qui engage l’humanité entière dans une transformation ruineuse et utopique, a été imaginé sous l’égide de l’ONU en l’absence de certitude scientifique, et adopté par les États sans réel débat démocratique. Une histoire abracadabrante.

Au moment de la création de l’ONU, la protection de l’environnement ne faisait pas partie de sa mission. Mais la tenue du premier « Sommet de la Terre » à Stockholm en 1972 marqua avec éclat son entrée dans ce nouveau champ d’activité. L’homme d’affaires et grand commis de l’État canadien Maurice Strong, un proche des Rockfeller, avait été désigné pour organiser l’événement. Il avait mandaté le biologiste et agronome René Dubos et l’économiste Barbara Ward pour préparer au préalable un rapport qui devait fournir un cadre de discussion pour la mise en place d’une gouvernance mondiale de l’environnement. Intitulé Nous n’avons qu’une Terre, le rapport connut un grand retentissement, et c’est dans la foulée de tout cela que ce même Maurice Strong fut nommé pour créer et diriger le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE)

Le climat ne tarda pas à devenir un cheval de bataille de la nouvelle entité. Suite aux travaux d’un petit groupe de chercheurs dont Syukuro Manabe, pionnier de la modélisation climatique,  lesquels prédisaient un réchauffement planétaire causé par l’ajout de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, le PNUE et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) organisèrent conjointement en 1979 la première Conférence mondiale sur le climat, à Genève. Le réchauffement global anthropique est alors reconnu pour la première fois comme un problème de portée mondiale potentiellement grave.

Au fil du temps et des conférences (Villach, Toronto, etc), l’idée d’une réduction progressive des émissions mondiales de CO2 fait son chemin. En 1988, le PNUE et l’OMM s’unissent pour mettre sur pied le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) chargé de dresser périodiquement une évaluation des connaissances et d’éclairer les États sur les politiques à adopter. Puis, en 1990, a lieu la deuxième Conférence mondiale sur le climat, à l’issue de laquelle les représentants de 137 pays et de l’Union européenne prônent l’adoption d’un traité international sur la lutte au changement climatique, à l’image du Protocole de Montréal sur la protection de la couche d’ozone. De fait, des négociations s’enclenchent aussitôt après, en vue d’en arriver rapidement à un tel traité, lequel prendra le nom de Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). 

L’homme fort de l’ONU, Maurice Strong, est à nouveau retenu pour organiser la Conférence des Nations Unies sur l’environnement de Rio (1992) dont le programme extrêmement chargé inclut notamment l’adoption de la nouvelle CCNUCC.  Mais, à ce moment-là, faut-il le rappeler, la communauté scientifique dans son ensemble était encore loin de partager les convictions de leurs collègues alarmistes. Le 1er Rapport d’évaluation de 1990 du GIEC, auquel ont participé 2 000 experts, avait notamment conclu que l’état des connaissances ne permettait pas de détecter avec certitude le signal anthropogénique

En prévision de ce Sommet de Rio, les bonzes des Nations Unies ont donc demandé au GIEC de produire une mise à jour (« Rio Supplement ») dans l’espoir qu’elle serait plus concluante… bien entendu, en faveur du signal anthropogénique. Or, voici quelle a été la réponse des scientifiques :

the climate system can respond to many forcings and it remains to be proven that the greenhouse signal is sufficiently distinguishable from other signals to be detected except as a gross increase in tropospheric temperature that is so large that other explanations are not likely.

L’incertitude est donc demeurée. 

La CCNUCC fut néanmoins adoptée, sauvée par le désormais consacré principe de précaution.  Au vu des risques potentiellement très graves du changement climatique, les États signataires, à commencer par les pays occidentaux, ont ainsi reconnu formellement la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de CO2 en particulier, même en l’absence de validation scientifique. Alea jacta est. Ainsi, comme l’a si bien dit la climatologue Judith Curry, « on a mis la charrue de la politique avant les boeufs de la science. » Tout le contraire de ce qu’on entend généralement (« Follow the science »). 

Le traité engage aussi les États signataires, i.e. leurs représentants, dans une démarche collective étroitement encadrée par le PNUE et sujette à la pensée de groupe. Les « Parties » sont en effet convenues de se réunir une fois par an afin de faire le point sur l’évolution du dossier et de discuter de nouvelles étapes. La première COP (Conférence des Parties) s’est déroulée à Berlin en 1995. Celle de Kyoto de 1997 s’est conclue par les premiers engagements concrets des pays industrialisés. La COP 21 de Paris est allée encore plus loin avec un nouvel accord supposément « juridiquement contraignant » signé par 196 Parties et fondé implicitement sur le concept de Zéro Net 2050. Et voilà !  

Rappelons que cet Accord de Paris concocté en vase clos a comme objectif primordial de maintenir « l’augmentation de la température moyenne mondiale bien en dessous de 2°C au-dessus des niveaux préindustriels » et de poursuivre les efforts « pour limiter l’augmentation de la température à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels. », et ce, sans une idée précise de ce que cela représente en pratique et de la façon d’y arriver.  Il appartient à chaque État de déterminer ses « contributions ».

Il est important de souligner que la CCNUCC et les accords qui en ont découlé ont été ratifiés ou mis en œuvre par les États sans réel débat national et sans en connaître les tenants et aboutissants. Dans la plupart des cas des pays démocratiques, les gouvernements au pouvoir étaient déjà vendus à l’idée, et ce ne fut qu’une opération de rubber stamping. En France, « l’expérience inédite de démocratie délibérative de la Convention citoyenne pour le climat » s’est avérée dans les faits un dévoiement des processus démocratiques normaux. Aux États-Unis, si je ne m’abuse, on a eu recours à un subterfuge : comme il existait déjà une loi sur la pollution atmosphérique (Clean Air Act), il a suffi à l’Environmental Protection Agency (EPA) de publier un  « Endangerment Finding » déclarant que le CO2 est un polluant pour pouvoir réglementer les émissions de CO2Comment est-ce possible qu’un projet aussi radical et englobant que le Zéro Net 2050 soit ainsi passé comme une lettre à la poste ? 

Or, à l’aube de la COP 28, la dure réalité est que les émissions de CO2 n’ont pas encore plafonné, et ce, malgré les beaux discours, les engagements, les accords et les rapports toujours plus alarmistes ; les efforts des États-Unis et de l’Union européenne ont été plus qu’annulés par la croissance de la Chine, entre autres. La concentration atmosphérique de CO2 n’a eu de cesse d’augmenter, au rythme moyen d’environ 2 ppm par an, même pendant la pandémie.  La consommation d’énergies fossiles a également poursuivi sa progression, bien qu’à un rythme réduit au cours des dernières années, en raison du confinement ; la part des énergies fossiles dans le mix énergétique a, quant à elle, régressé de seulement quelques points de pourcentage, et demeure encore supérieure à 80 %

Sans un changement drastique de politique ou de technologie, la U.S. Energy Information Administration prévoit une croissance de 50 % de la demande énergétique mondiale d’ici 2050, la majeure partie provenant des pays non membres de l’OCDE, tandis que la part des fossiles se maintiendra autour de 70 %. Il ne faut donc pas s’attendre à une baisse importante des émissions. 

Mais les Nations Unies n’en démordent pas. Le directeur général de l’ONU, Antonio Guterres, multiplie les rappels à l’ordre :

Les engagements en matière d’émissions nettes doivent être conformes aux scénarios du GIEC qui limitent le réchauffement à 1,5 degré. Cela signifie que les émissions mondiales doivent diminuer d’au moins 45 % d’ici à 2030 et atteindre le niveau zéro d’ici à 2050. Les engagements doivent être assortis d’objectifs intermédiaires tous les cinq ans à partir de 2025. Ces objectifs doivent couvrir toutes les émissions de gaz à effet de serre et toutes les catégories d’émissions.

Selon le Global Carbon Project, atteindre zéro émission de CO2 d’ici 2050 signifie concrètement une diminution linéaire des émissions totales de CO2 d’environ 0,4 GtC (1,4 GtCO2) chaque année, soit une diminution comparable à celle enregistrée en 2020 en raison du confinement, ce qui donne une idée de l’ampleur du défi.

Une autre mesure de l’effort titanesque que représente le Zéro Net 2050 est de considérer qu’il faudra construire une centrale nucléaire ou 1 500 éoliennes sur 300 miles carrés tous les jours pendant les 30 prochaines années pour remplacer les énergies fossiles (à compter de 2020).  

Le tout-électrique suppose non seulement une prolifération d’éoliennes et de panneaux solaires mais également une extension considérable des réseaux de transport d’électricité. L’Agence internationale de l’énergie (EIA) estime que 49,7 millions de kilomètres de lignes de transport d’électricité — de quoi faire 2 000 fois le tour de la planète — devront être construits ou remplacés d’ici à 2040. Des dizaines de milliers de transformateurs électriques supplémentaires seront aussi nécessaires. 

Mais l’aveuglement des politiques est encore plus désespérant lorsqu’il s’agit de mettre un prix sur cette transition tous azimuts, qui concerne tous les principaux fondements de l’économie : énergie, industrie lourde, transport, bâtiment, agriculture, foresterie et gestion des déchets. Car la facture risque d’être faramineuse et devinez qui écopera. 

Une estimation a été avancée tout récemment par la Commission nationale des infrastructures du Royaume-Uni qui conclut que la réalisation de l’objectif de 2050 doublera approximativement le montant requis normalement pour les infrastructures au cours des 27 prochaines années, pour atteindre 2 000 milliards de livres sterling, soit 1 000 milliards de livres sterling supplémentaires consacrés à l’agenda vert. Un trillion de livres pour le seul Royaume-Uni, c’est tout simplement hénaurme… et probablement très sous-estimé. 

Imaginez un peu ce que cela représente à l’échelle mondiale : 200 mille milliards de dollars US selon une étude de Bloomberg, presque 10 fois le PIB des États-Unis !

La majeure partie de cet argent servira à remplacer les voitures à essence par des voitures électriques et les chaudières à gaz par des pompes à chaleur électriques, ainsi qu’à produire, transmettre et distribuer l’électricité supplémentaire nécessaire à ces deux usages. Il s’agit également d’une multitude d’autres projets d’investissement, notamment une meilleure isolation des habitations.

Tout cela nécessitera d’énormes quantités de métaux. Le cuivre et l’aluminium sont les principaux matériaux utilisés pour la fabrication des câbles et des lignes. Les lignes de transmission ont également besoin d’isolants, tels que le polyéthylène réticulé et le polymère d’éthylène-propylène, tous deux dérivés de combustibles fossiles. Le lithium, le nickel, le cobalt, le manganèse et le graphite entrent dans la fabrication des batteries, tandis que les terres rares sont essentielles pour les turbines et les moteurs électriques. La demande pour ces matériaux critiques explosera avec toutes les conséquences que cela implique, notamment pour l’environnement que les Verts prétendent vouloir sauvegarder. 

Il faut être naïf ou inconscient pour penser qu’il sera possible à l’humanité entière de mobiliser les ressources matérielles, humaines et financières nécessaires pour réaliser le Zéro Net en moins de trois décennies quand déjà elle n’arrive pas à fournir des conditions de vie décentes à des milliards d’êtres humains et qu’elle doit composer avec des crises réelles comme des pandémies, des guerres ou des catastrophes naturelles. Au fur à mesure que les échéances approchent, l’ampleur du défi apparaît de plus en plus irréaliste. 

Comme si cela ne suffisait pas, l’humanité ne dispose pas encore des technologies requises pour compléter cette transition, et rien n’assure qu’elles seront disponibles à temps. En particulier, la faisabilité technique et économique de réseaux comprenant uniquement des renouvelables et des batteries reste à démontrer. D’autre part, le captage-stockage du CO2 et l’hydrogène vert ne sont pas encore des technologies ayant fait leurs preuves. 

« Tenter d’atteindre le Zéro Net sans une solution entièrement démontrée et chiffrée à l’énigme du stockage de l’énergie, c’est comme sauter d’un avion sans parachute, et espérer que le parachute sera inventé, livré et attaché en plein vol à temps pour vous sauver avant que vous ne touchiez le sol. » — Francis Menton, The Energy Storage Conundrum, GWPF.

Pour terminer, le cas de l’Allemagne est éloquent. Malgré des investissements massifs dans la transition énergétique (Energiewende), les émissions n’ont pas tant diminué, les tarifs d’électricité sont devenus insoutenables, l’économie pâtit, l’industrie se délocalise, etc. Le rêve des Verts est en train de se transformer en cauchemar. C’est le sort qui attend tous les autres pays qui s’aventureront aveuglément dans la voie utopique du Zéro Net 2050.

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117 réflexions au sujet de « Le climatisme (3/4) : Le Zéro Net 2050, un projet irréaliste, adopté sans réel débat »

  1. Une chose est « curieuse » : on nous parle sans arrêt de la dématérialisation (plus de ticket de caisse, etc.), au profit du tout numérique.
    Or, Internet est un énorme pollueur et personne ne s’en offusque !
    On nous demande de mettre à la casse notre bonne vieille voiture essence ou diesel, au profit de la voiture « e » qui ressemble à un sapin de Noël : des phares de partout, des écrans énormes (de plus en plus d’accidents à cause d’eux), résultat du pillage de la planète pour extraire les matériaux rares.
    Personne ne s’en offusque !
    Les gens ne sont plus capables de faire 2 ou 3 km à pied et on invente la trottinette électrique, qui rejoint ce que je dis ci-dessous.
    Personne ne s’en offusque !
    Et si on arrêtait de nous prendre pour des quiches ?

    • Je suis assez perplexe devant la trottinette et le vélo électrique. J’ai même surnommé le vélo électrique “vélo pour grossir”, nombreux utilisateurs pédalant largement dans le vide et s’imaginant qu’ensuite ils peuvent manger davantage. Bref, je suis une inconditionnelle de la marche à pied.
      Maintenant la question de la marche à pied soulève aujourd’hui la question de l’insécurité grandissante surtout quand on est une femme.
      Dans les grandes villes, il est devenu dangereux de marcher à pied la nuit venue, raison pour laquelle j’ai adopté, à grand regret, la voiture pour aller et revenir de ma gare de banlieue dans les années 2000. A 6h du matin et 20h le soir en particulier à la mauvaise saison, c’était trop dangereux d’être à pied.
      Un souci similaire se pose désormais dans les campagnes françaises que durant des années, j’ai arpenté à pied en tous sens et parfois seule. Marcher seule n’est plus quelque chose que je m’autorise. Aux prédateurs humains laissés en liberté par notre déplorable système judiciaire, se sont ajoutés les loups. En tant que femme, plus très jeune, si je marche seule en rase campagne, j’entre dans la catégorie des personnes susceptibles d’être attaquées par ces prédateurs dont la propagande actuelle a gommé les massacres passés : https://www.unicaen.fr/homme_et_loup/ac_rech.php.html
      Donc marcher ? oui bien sûr mais dans une autre France.

  2. Désolée de vous dire cela, mais votre “en l’absence de certitude scientifique”, dès la 2ème ligne, est faux, M.Girouard.
    Certes le premier rapport du GIEC en 1990 ne permettait pas encore de conclure avec une assurance suffisante à la responsabilité anthropique du réchauffement, car les données de l’époque ne permettaient encore de distinguer la part anthropique du bruit naturel.
    Mais savez vous, M.Girouard que nous sommes en 2023 et plus en 1990.
    Et après 1990, les températures ont continué à monter (voir ci-dessous la courbe de votre ami R.Spencer), les données à s’accumuler, et tous les rapports suivants, dès 1995, ont conclu à la cause anthropique du réchauffement.
    https://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/UAH_LT_1979_thru_October_2023_v6_20x9.jpg

    • Les rapports en question n’allaient certainement pas dire le contraire.
      Ils avaient pas envie d’avoir l’air con, les gugusses.

      Que cela vous plaise ou non, le Zero Net 2050 est une ânerie monumentale. Le tout électrique est une stupidité.

      Passer par le cycle de Carnot pour produire de l’électricité, l’acheminer par des lignes THT, et rabaisser la ddp en 380 pour alimenter des pompes à chaleur qui ne pompent rien quand il fait froid, c’est une connerie absolue. Des calories gratuites, n’importe quoi, et pourquoi pas des pâtisseries gratuites le dimanche ?
      En fait, les calories gratuites en question ne sont disponibles que quand on n’en pas besoin.

      Pour recharger des millions de voitures électriques, équipées de super batteries à recharge ultra rapide, (qui n’existent pas à ce jour) il faudra fournir des puissances instantanées colossales. Avec des éoliennes ? Des panneaux solaires ? Mais si vous connaissez un procédé pour transformer en énergie toute les conneries que vous racontez, on a peut-être une chance.

      Vous n’avez aucune idée de la quantité d’énergie contenue dans un litre d’essence ou de kérosène, et nous n’avons rien de mieux. Si c’était le cas, on s’en servirait déjà, on n’aurait pas attendu que vous débarquiez avec vos idioties.

      Voilà où nous amènent vos âneries: Idiocratie.

      • Il y a un peu plus de 30 MJoules dans un litre d’essence.
        Environ 9 kWh
        C’est beaucoup, et c’est effectivement très pratique d’utilisation.
        Raison de plus pour s’habituer à s’en passer vu qu’il va y en avoir de moins en moins de disponible (c’est physique).
        Quand on fonce droit dans un mur, on réfléchit à comment éviter de se le prendre en pleine face, ou on attend de se l’être pris pour se poser des questions ?

        • Précisément, ce serait bien de se poser des questions au lieu de gober puis ânonner bêtement les carabistouilles de l’escroquerie réchauffiste.

          Quant au pétrole, il n’y a aucun peak oil à craindre. Il y a toute la quantité nécessaire à disposition de l’humanité pour plusieurs centaines d’années, y compris en France si on s’en donnait la peine, sans compter les carburants de substitution qui prennent progressivement le relai. Il n’y a aucune urgence. On peut simplement discuter de la question de l’indépendance énergétique dans un monde conflictuel mais l’électrique pose des problèmes de même nature.

          Ca n’empêche pas la cohabitation des VT et VE en laissant chacun choisir librement entre contraintes et efficience. Ce qui est éminemment criticable, c’est la contrainte politicienne illégitime car décidée de manière contraire à la démocratie et injustifiable puisqu’elle repose sur les mensonges climatiques.

          Les horizons 2035 et 2050 seront de toute évidence abrogés, repoussés indéfiniment puis finalement oubliés de peur que la foule en colère châtie les politiciens coupables.

          • Bonsoir Roger,

            Comment pouvez-vous êtes certains qu’il reste assez gisements d’hydrocarbures pour que nous puissions continuer à exploiter les énergies fossiles pendant encore plusieurs centaines d’années ?
            Cela me semble très peu probable, voir même carrément utopique. Surtout si l’on tient compte du rythme auquel croit la population mondiale ainsi que l’accroissement du niveau de vie des populations des pays dit du Tiers-monde.

            En minimisant comme vous le faite le problème de la raréfaction des ressources naturelles vous faites passer les climato-sceptiques pour des irresponsables qui ne semblent pas être au fait des réalités, et vous décrédibilise.

          • Vous écrivez ” Il y a toute la quantité nécessaire de pétrole à disposition de l’humanité pour plusieurs centaines d’années”
            Pouvez vous nous indiquer vos calculs, estimations, et travaux,…qui vous amènent à cette conclusion, M.Roger ?
            Transmettez les aussi,à L’Agence International de l’Energie (pourtant pas connus pour être de dangereux activistes décroissantes) car ce n’est pas dut tout ce qu’elle dit.

          • “Comment pouvez-vous êtes certains qu’il reste assez de gisements”

            J’écoute les spécialistes du secteur, les vrais, ceux qui ne peuvent pas se tromper (trop souvent) parce que l’avenir de leurs entreprises en dépend, pas les déclarations catastrophistes des clowns idéologisés, notamment ceux qui ont mis la main sur l’AIE que plus personne n’écoute sérieusement. Je vous laisse réfléchir à plusieurs propositions : tous les pays producteurs indistinctement mentent sur leurs réserves réelles ; le coût mondial moyen d’extraction est inférieur à 20$ le baril ; des puits sont fermés alors que moins de 15 à 20% du pétrole disponible a été extrait.

            L’accroissement de la population n’est pas un problème insurmontable, loin de là. On doit se sortir de la tête que les ressources sont “naturelles”, expression trompeuse employée à tort. Les ressources n’ont rien de naturel et sont avant tout dépendantes du travail humain. C’est pourquoi plus le niveau de vie augmente, plus les ressources augmentent. Enfin, la population mondiale devrait se stabiliser vers 10 ou 11 milliards d’individus avant de régresser vers les niveaux actuels, et possiblement beaucoup moins. Laissons les gens vivre leur vie et tout se passera bien.

        • Vous êtes ridicule.
          Dans les années 1970, on annonçait déjà la fin du pétrole pour l’an 2000.

          Bien sûr qu’il faudra s’en passer un jour, mais il y a encore le temps, plusieurs décennies, et on ferait mieux d’investir dans la recherche, pour le remplacer, plutôt que de planter de stupides éoliennes et nous matraquer de pub pour des bagnoles à piles rechargeables incapables de prendre la route, en plus de coûter une blinde. Je connais bien les accus au lithium, ils sont très bien dans votre smartphone, mais faire rouler des bagnoles avec ça, c’est une ânerie.

          Dans le mur, c’est vous qui nous y emmenez.
          On a vu le travail, à propos du nucléaire.

          • Vous dites “Bien sûr qu’il faudra s’en passer un jour, mais il y a encore le temps, plusieurs décennies”…
            Combien de décennies, M.Homme des bois, d’après vos savantes estimations, et pouvez vous nous transmettre vos calculs vous permettant d’affirmer cela ?
            Transmettez les aussi à L’Agence International de l’Energie (pourtant pas connus pour être de dangereux activistes décroissantes) car ce n’est pas dut tout ce qu’elle dit.

        • Concernant le pétrole, ne pas confondre les réserves et les ressources.

          Personne ne connait la quantité totale de pétrole qu’il y a sous la croute terrestre.

          C’est le coût de la production qui dira si on arrête ou pas. Est-ce encore rentable ou pas ?

    • il n’y a pas de quoi fouetter un chat
      les 4 dernières années montrent une hausse, et personne ne le nie ,mais elle n’est pas catastrophique
      en quoi cette courbe montrerait que la cause est essentiellement anthropique?
      qu’est ce qui permet de dire qu’elle continuera de façon linéaire comme certains le prétendent jusqu’à la bêtise avec cette relation directe entre émission de CO2 et élévation de température alors qu’on n’est même pas fichu de mesure avec une précision significative cette quantité d’émission….
      quand on voit aujourd’hui que pour la moindre action on vous mesure la quantité de carbone émis, je pense que nous sommes dans un véritable asile d’aliénés; ça va parfaitement de pair avec le “consensus scientifique” qu’on nous balance à tort et à travers et dont on a pâti durement avec l’hystérie sanitaire

    • « Après 1990, les températures ont continué de monter…› et alors ? Cela prouverait que l’homme en est la cause ? Ainsi donc, le fait que les températures aient stagné partir de 1998 prouverait le contraire.

      En ce qui concerne les rapports du GIEC, lisez mon billet précédent.

    • Mais madame, vous vous trompez, aucun rapport n’a conclu à la certitude de la cause anthropique..Et c’est là le grand malentendu..le Giec lui même parle d’une” quasi “certitude sur une part (non chiffrée ) , pas sur une certitude absolue sur l’entièreté du réchauffement, et c’est une fameuse nuance..

      • Je vais faire une analogie:
        Si vous sautez par la fenêtre du 8ème étage, vous n’avez pas la certitude de vous faire très très mal, mais vous en avez la quasi certitude (on ne sait jamais, qu’un camion transportant des matelas passe par là) .
        Du coup, comme c’est juste “quasi-certain”, mais pas certain, vous sautez quand-même ?.

        • Au début, on pouvait avoir quelques doutes. Mais la science a désormais largement démontré que le CO2 est innocent du réchauffement et que l’effet de serre dans les conditions particulières de l’atmosphère terrestre n’existe pas. Il n’y a plus que les idéologues du GIEC, les politiciens corrompus et leurs complices pour affirmer le contraire. Plus le temps passe, plus les preuves s’accumulent, plus les idéologues sont isolés au milieu d’une population de moins en moins crédule des mensonges pseudo-scientifiques, en réalité purement politiques et médiatiques.

          Appliquer des politiques fondées sur les mensonges climatiques revient justement à sauter du 8e étage, sans raison. Maintenant que nous savons la vérité bien au-delà du doute raisonnable, ce n’est plus un suicide de maintenir ces politiques débiles, c’est un crime.

        • Vraiment n’importe quoi.

          Si nos lointains ancêtres avaient tenu un tel raisonnement, nous serions encore des hominidés transis de froid et de peur au fond d’une caverne. Ou bien nous aurions déjà disparu. Remplacés par une autre espèce, plus intelligente et plus courageuse.

          En domestiquant le feu, ils avaient la quasi-certitude de se brûler les doigts. En taillant des silex, ils avaient la quasi-certitude de se couper ou de se taper sur les doigts. En domestiquant le cheval, ils avaient la quasi certitude de se casser la figure. En inventant la métallurgie, ils avaient aussi la quasi certitude de se bruler gravement.
          En construisant des bateaux, ils avaient la quasi certitude de faire naufrage et de se noyer.
          Mais ils ont pris des risques, ils ont appris, progressé, perfectionné, en surmontant leurs peurs, et en tirant leçons de leurs erreurs…

          Sans leur courage, et leur leur intelligence, vous ne seriez sans doute pas là aujourd’hui à dégoiser des âneries devant votre ordi.
          Vous êtes une marchande de peur, et rien d’autre. C’est pitoyable.

        • C’est bien ce que je pensais. Vous êtes totalement détraqué intellectuellement.

          Je vous imagine dans une classe de science à donner aux élèves vos explications foireuses. Pour une nouvelle génération de débiles totaux.

          “Si vous sautez par la fenêtre du 8e étage, vous n’avez pas la certitude de vous faire très très mal, ”

          Si, n’importe qui, qui saute, tombe de cette hauteur, est certain de se faire très, très, très mal (au mieux), de mourir. C’est par ailleurs la raison pour laquelle des gens pour ce suicider sautent du 8e étages. C’est qu’ils sont certains qu’ils vont y passer.

          À moins d’un miracle.

          Ça arrive.

          Un parachutiste a fait une chute libre de plusieurs milliers de km, il a traversé le toit d’une grange pleine de foin. Zéro fracture, quelques égratignures.

          Un autre est tombé dans de la poudreuse. Zéro égratignure. Totalement indemne.

          L’un des amis de mon père a vu sa sœur durant un saut en parachute, s’écraser totalement au sol. C’est ce qui arrive à 99,9999999999 % quand les parachutes ne s’ouvrent pas ou se mettent en torche, à une telle altitude.

          • Je viens de tomber là-dessus :

            De quelle hauteur une personne peut-elle tomber et survivre ?

            “…

            Cela dépend non seulement de la hauteur, mais aussi de la façon dont on tombe et percute le sol. Beaucoup de victimes, morts ou paraplégiques, ne sont tombés que de leur propre hauteur (on pourrait dire, d’une hauteur nulle), mais en frappant leur crâne ou leur colonne vertébrale fatalement.

            Si l’on considère la meilleure façon d’atterrir, les pieds en bas, avec un roulé-boulé sur une surface pas trop dure, les lois de la physique et les contraintes anatomiques suggèrent que:

            Vous avez une bonne chance de survie en deçà de 12m/s de vitesse verticale, soit une chute de 7 mètres. Donc si vous chutez du 2ème ou 3ème étage de votre immeuble, ça devrait aller.

            Vous n’avez quasiment aucune chance de survie au delà de 17 m/s, soit une chute de 12 m. Si vous sautez du cinquième étage de chez vous, laissez une petite lettre avec vos dernières volontés.

            …”

            Via les statistiques, on est certain de mourir en sautant du 8e étage. C’est ce que l’on dit a quelqu’un qui voudrait essayer… On ne lui dit pas, je vous cite : “Si vous sautez par la fenêtre du 8e étage, vous n’avez pas la certitude de vous faire très très mal, ”

        • “Vous avez compris l’inverse de ce que j’ai écrit. C’est fascinant.”

          J’ai très bien compris. C’est vous qui ne saisissez pas le sens de mon intervention. Car vous êtes bête.

          Vous écrivez que du 8e étage, l’on n’est pas certain…

          Si, on est certain de mourir en sautant du 8e étage. Et pas de se faire très mal, mais de mourir tout simplement. Et pas quasi-certain, mais certain à 100 %. Qui n’est pas certain de mourir en sautant du 8e étage ? Vous en connaissez des gens qui avant de se suicider en sautant du 8e étage se sont dis “Je ne suis pas certain de mourir, mais je saute quand même…” Non, ça n’existe pas !

          Hai capito o vuoi che ti mostri un disegno?

          • Vous n’avez toujours pas compris l’analogie
            J’ai déjà remarqué que les climato-sceptiques n’arrivent jamais à comprendre avec les analogies, comme si cela dépassait vos capacités cognitives. C’est très frappant.

          • Et peut-on savoir de quelles analogies vous parlez au juste MLA ?

            Aussi je me demandais si l’une d’elles concernait la fois où (lorsque vous écriviez sous le pseudonyme de Brionne) vous compariez l’effet fertilisant du CO² à celui que le tabac pouvait avoir sur santé des êtres humains.
            Pour rappel :
            “Et trouveriez vous normal qu’on invite sur les plateaux télé des gens qui disent que le tabac est bon pour la santé ?
            Et bien un climato-sceptique c’est similaire à un type qui dit que le tabac n’est pas nocif”

            Sinon je me demandais également combien de temps vous comptez encore continuer à lire et réagir aux différents articles et commentaires publiés dans de ce que vous considérer être “une version numérique du bistrot du coin” ? J’avoue ne pas très bien comprendre vos motivations.

        • Bonjour,
          dans le cas des 8 étages on connait très bien la physique de l’expérience P = Mg etc. Dans le cas du climat qu’elle est la relation T = f(%Co2) et surtout sur quelle expérience est-elle validée et qu’elle prédictions peut-elle faire. La pesanteur permet la certitude du résultat [sauf si ce fameux camion avec matela(s) et probabilité de passage de l’ordre de 10^(à évaluer mais en tout cas très faible oK)] mais pas la relation T = f(CO2) (si elle existe réellement ce qui n’est pas prouvé au sens scientifique du terme c’est à dire admis provisoirement mais réfutable).
          Attention aux analogies c’est souvent source de grosses erreurs et surtout ça ne prouve jamais rien !

          • JefMah : “Dans le cas du climat qu’elle est la relation T = f(%Co2) et surtout sur quelle expérience est-elle validée et qu’elle prédictions peut-elle faire.”

            Voilà !

          • justement, c’est là que la fumisterie apparaît
            cette relation n’existe pas mais on essaie de faire en sorte qu’elle existe et c’est ça le crédit carbone
            j’ai vu une vidéo d’un directeur de recherche au CNRS qui a littéralement affirmé T= 0,0005Gt GT étant l’émission annuelle de CO2
            donc si on admet cela comme une loi et qu’on ne veut pas dépasser T =2° acté aux accords de Paris, vous voyez l’effort à faire à l’horizon 2050,
            Si cette relation existait en tant que vraie loi physique, elle devrait être indépendante du temps; or elle semble valide sur la période récente à partir des années 1960, mais fausse sur les années1910-1940, la température s’étant accrue pour une émission de CO2 nettement moindre ; et de ce fait, qu’est ce qui permet d’affirmer que cette belle formule serait encore valable sur les 50 années à venir??
            effectivement avec une telle loi rigide, il faudrait arriver à 0GT pour respecter ce maximum de +2°….. comment peut-on sortir de telles âneries? vous imaginez les mesures à prendre pour arriver à O Gt? et tout ça à partir d’une formule aussi grossièrement bidon, que celle que les épidémiologistes inventaient pour lié le taux d’immunité et l’indice Ro de transmission du virus, comme si chaque personne avait un pouvoir contaminant uniforme…
            pour moi, pas besoin de me brancher sur des publications techniques, intéressantes sans doute, mais illisibles pour un profane, pour prendre au sérieux cette arnaque climatique, qui ressemble étrangement à l’arnaque covid, fondée sur des modélisations foireuses.
            Les scientistes bâtissent des formules mirifiques pour expliquer à la population les mesures à prendre; ça pourrait être drôle si les conséquences n’étaient pas si catastrophiques….
            je n’ai pas regardé les expertises du GIEC ,trop illisibles pour moi, mais je doute qu’aucun de ces rapports osent exhiber une telle formule érigée en loi scientifique.Cependant c’est ce genre de formule non écrite qui justifient leur calcul de crédit carbone:dingue quand même.
            De surcroît, il y a un autre problème, c’est que contrairement à ce que prétend l’inévitable Marie Laure A ( brion?) on n’a pas du tout une précision sur cette quantité d’émission de CO2; alors si en plus on n’est pas capable de mesurer sérieusement cette variable, que reste-t-il de cette formule?
            j’ai répondu à marie laure A plus haut

  3. Au printemps, j’étais à Stockholm, le pays de Greta Thunberg.
    Les rues et avenues étaient éclairées toute la nuit. L’immeuble de bureau à côté de l’hôtel était resté éclairé (et vide) tout le week end. Les chauffages de terrasse étaient autorisés.
    Je suis aujourd’hui 13 novembre à Antalya (Turquie). Toutes les rues et avenues sont éclairées, y comprris la 2×2 voies qui va de Antalya à Belek. Les 9 derniers trous du golf d’Aspenos sont éclairés pour jouer la nuit …
    Dans deux jours, je retourne en France pour – enfin – retrouver la “sobriété énergétique”. Ouf, je me sens déjà moins coupable !

  4. Vraiment bien trouvé l’analogie du saut d’un avion sans parachute.
    En pointant, à travers cet article, le caractère pour le moins utopique de l’objectif net-zéro à l’horizon de 2050, monsieur Girouard montre du même coup tout l’intérêt de dénoncer l’alarmisme ambiant autour du climat et de faire savoir aux gens que, contrairement à ce qui est dit dans les médias ainsi que dans les divers sommets et conférences sur le climat, il n’y a en vérité pas de réelle urgence climatique et que le Co² est bon pour la planète.

    “Comment est-ce possible qu’un projet aussi radical et englobant que le Zéro Net 2050 soit ainsi passé comme une lettre à la poste ?” Et bien probablement parce que les gens ont pour la plupart considérés qu’il n’y avait là rien de choquant ou d’anormal, à ce qu’un projet d’une telle ampleur puisse être validé et mis en place sans que n’eût été organisé au préalable un véritable débat sur ce sujet.

    PS : Pour info 200 mille milliards de dollars c’est également 2 fois le PIB mondial, soit environ 600 fois le budget de État français !

    • “Comment est-ce possible qu’un projet aussi radical et englobant que le Zéro Net 2050 soit ainsi passé comme une lettre à la poste ?”

      Parce qu’il y a toujours une grande quantité de personnes capables d’accepter l’absurdité la plus totale. Pour ne pas faire de vague. Entrer en rébellion, c’est toujours risqué, donc “on” préfère suivre sans combattre. Et il y a eu un conditionnement pour accepter le socialo-étatisme et toute sa technocratie et sa planification, son planisme. J’ai vu des patrons de bistrot accepter sans broncher toutes les mesures délirantes durant la “crise” Covid. J’ai discuté avec deux d’entre eux, en leur disant qu’il devait se battre. J’ai eu en réponse : “Mais vous savez, on risque d’avoir des amendes.”.

      Zéro combat, rien, le néant.

      Les peuples ont des responsabilités. Aussi, le Français a été infantilisé et attend tout de l’état nounou.

      La situation en France est dramatique, par rapport a ce qui est payé par le contribuable. Il faut regarder l’addition, ce que beaucoup de Français ne font pas. Ils ne regardent pas s’il y a la qualité par rapport aux impôts prélevés. Ils n’ont plus le contrôle de leur argent. Qui lit le livre des compte publics ?

      Cette société est vouée à s’effondrer totalement. Et maintenant la nouvelle judéophobie qui hurle dans les rues qu’il faut rayer Israël de la carte. Un allié de l’occident, du monde libre.

      L’heure est grave. Et personne pour combattre.

      — “Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque pays, et bien sûr, aux Nations Unies. Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d’où l’impression que le courage a déserté la société toute entière.” – Alexandre Soljénitsyne : Le déclin du courage.

      • Bonjour.
        Des courants de pensée puissants veulent un gouvernement mondial : ONU, une coalition d’ONG et d’idéologies, droit international, finance internationale, etc. Même le Pape s’y met.
        Afin d’atteindre cet objectif, tout ce joli monde veut détruire les États-Nations, abolir les frontières.
        D’où la problématique de l’immigration et les tours de passe-passe des entreprises multinationales.
        Tous les arguments sont bons et le Zéro Net en fait partie.
        En ce moment même, il est intéressant d’observer ce qui se passe dans les pays anglo-saxons, qui nous donnent en permanence des leçons de communautarisme contre la laïcité. Par exemple, avec moins de musulmans et cinq fois plus d’habitants, les USA connaissent plus de violence que la France. Ceci prouve que le problème est ailleurs.
        Toutes les victimes décrites par le wokisme doivent être défendues. Notamment les palestiniens contre Israël, symbole du colonialisme blanc. Mais il y a un petit souci.
        Les anciens empires profitent des états d’âme occidentaux pour ressurgir : Russie, Turquie, Iran, Chine, etc. C’est la fin de “la fin de l’Histoire” annoncée par le libéralisme économique il y a un demi siècle.
        À cet égard, la COP28 pourrait être très instructive des vrais rapports de force. Car, bien sûr, tous les objectifs liés au réchauffement climatique sont largement dans les choux.

        • Très juste. L’Occident, les pays riches ne supportent pas de voir leur mainmise sur le monde s’émousser (on n’est plus au temps des colonies), et ils agitent l’étendard du RCA. Heureusement que l’on a Internet pour faire passer des messages. Mais pas tous.
          J’ai voulu envoyer un texte sur Linkedin, qui critique la doxa climatique : censuré !
          N’empêche, de plus en plus de gens flairent l’arnaque. Aux USA, je crois que la moitié des gens sont devenus climato-sceptiques.

        • Il y a des gens qui sont attirés par un gouvernement mondial, pensant que c’est ce qui serait de mieux pour toute l’humanité. Plus de guerres entre pays, car plus de pays…Plus de nations, un seul peuple : l’humain… etc… Mais ils devraient relire le mythe de la Tour de Babel et le méditer. Dieu dans le mythe comprend bien que si une entité diabolique prend le pouvoir là-dedans, elle aura beaucoup plus de facilité (et de moyen) à corrompre tout l’ensemble. Il faut donc diviser tout cela, créer des indépendances, des langues différentes. L’entité diabolique aura beaucoup plus de mal à corrompre la totalité du monde. Certains y voient le “diviser pour mieux régner” … Non, désolé, c’est juste que c’est plus viable comme cela.

          Il y a le “progressisme”, qui imagine que le bien de l’humanité ne peut venir que par le haut, via la bureaucratie, que la société se construit par le haut. On retrouve ça chez Platon, avec sa cité idéal, avec une élite qui va éclairer tout le monde. Là où je rejoins plutôt le courant conservateur, qui estime que la société se construit par le bas, et ne se sépare pas d’un ordre spontané (ni du droit coutumier), et soutient plus une décentralisation.

          Bref, il y a globalement deux visions qui s’opposent (c’est très flagrant aux États-Unis en ce moment entre les conservateurs et les “progressistes” gauchistes, et je reste convaincu que celle du camp des conservateurs reste la plus viable. Mais les “progressistes” de gauche ont des moyens considérables et sont intellectuellement, idéologiquement, plus violents que les conservateurs. La fin justifiant les moyens. “Nous allons apporter le paradis sur la terre” : le paradis contre le mal (les conservateurs), c’est le paradis qui gagne… 🙂

          A++

        • “Par exemple, avec moins de musulmans et cinq fois plus d’habitants, les USA connaissent plus de violence que la France.”

          Il faut concernant les États-Unis détailler totalement la donnée. Il faut regarder état par état, ville par ville. Quelles sont les quelques grandes villes par exemple qui font le plus augmenter le pourcentage totale de la criminalité du pays, et pourquoi… Alors que dans certains coins, vous pouvez sans peur laisser votre voiture les portes ouvertes sur un parking, voire la porte de votre maison ouverte.

          A++

        • Aussi, à méditer : “…

          « Nous devons créer une sorte de système solaire complet de petites organisations gravitant autour du Parti et travaillant dans son champ d’influence. » (3) Otto Kuusinen, maître à penser d’Andropov (4), était on ne peut plus clair. Une myriade d’associations subissaient la force d’attraction du PCUS et évoluaient dans son orbite. Elles formaient le système solaire… souvent sans le savoir et en détestant l’URSS et le parti communiste.

          …” – La machine soviétique (le lobby révolutionnaire) – Florence Comès

          3 – Cité par Jacques Vindex, ibidem
          4 – Directeur du KGB de 1967 à 1982. Secrétaire général du Comité central du PCUS de fin 1982 à début 1984.

    • Un coût total de 2 fois le PIB mondial actuel, réparti sur 25 ans ne fait que 4% de dépenses chaque année.
      En outre, ces nouvelles technologies vont en remplacer d’autres existantes dont les coûts correspondants vont disparaître.

      4% chaque année, ce n’est pas insurmontable.

      • Premièrement 200 mille milliards répartis sur 25 ans ça fait 8 mille milliards, ce qui représente 8% et non pas 4% du PIB mondial, puisque celui-ci est de 100 mille milliards.

        Aussi sachez que la part des dépenses consacrée à la R&D ne représente que 2,5% du PIB des pays de l’OCDE et qu’il existe nombre de pays où ce ratio est inférieur à 1%.
        Et que dans le cas de France, la part des dépenses en R&D consacré à l’énergie, c’est 0,065% du PIB (1,7 milliards), soit à peine 3% du budget consacré à la R&D.
        Donc votre raisonnement est inepte.

        • Mon raisonnement est erroné (effectivement, c’est 8% et c’est … plus difficile à surmonter) mais il n’est pas inepte car il permet de mettre en perspective l’effort sur le temps long et non d’être tétanisé par un mur qui serait infranchissable.

          • Il est inepte car même si un pays comme la France consacrait l’ensemble de son budget R&D énergétique aux énergies dites renouvelables cela ne représenterait que que 0,065% de son PIB (1,725/2642).

      • Une politique publique raisonnable doit se fonder sur l’existant et non sur d’hypothétiques nouvelles technologies à venir, notamment la promesse d’une batterie miraculeuse. Même si on la découvrait aujourd’hui dans un laboratoire, le temps pour son industrialisation manquerait. Or, c’est précisément ce fol espoir qui rend ineptes les échéances 2035 et 2050 et c’est pourquoi ces politiques déraisonnables seront finalement abandonnées avant terme. Par ailleurs, on ne va pas dépenser 4 à 8% du PIB pendant des décennies pour inventer des dispositifs coûteux et inutiles tant qu’ils ne feront pas mieux que le pétrole. Une telle gabegie n’a pas d’avenir.

  5. La responsabilité anthropique reste encore à démontrer ne vous en déplaise.

    Moi j’appelle ça de la mégalomanie de penser que l’homme peut influer sur le climat

    • Le réchauffement particulier de 2023 démontre amplement l’innocence de l’humanité et met définitivement à bas la thèse du CO2. La nature qui est bien faite donne régulièrement des leçons d’humilité aux réchauffistes prétentieux et autres dépressifs malthusiens.

      • Lorsque les températures stagnent, les rechauffistes se trompent et quand elles montent, ils se trompent aussi. Donc ils vont toujours se tromper quoi qu’il arrive.

        • Il est particulièrement savoureux d’observer que c’est un réchauffement naturel spectaculaire qui a définitivement décrédibilisé la thèse anthropique des réchauffistes.

          D’une façon générale, les malthusiens sont voués à se tromper éternellement. C’est la boussole qui indique le sud.

    • C’est tout simplement penser que l’humain est arrivé au comble de sa puissance, alors qu’on ne connaît que très peu les fonds marins (environ 80% des mers encor inconnues), qui ne sont pas au dessus de nos têtes et qu’on étudie depuis à peine 60 ans, mais à nos côtés et que nous tentons d’expliquer depuis des milliers d’années.

    • La responsabilité anthropique reste encore à démontrer ? Vous viviez dans une grotte ces dernières années ? Le premier volume du sixième rapport du GIEC de 2021, a été écrit par 234 experts scientifiques, qui ont synthétisé plus de 14 000 études en huit ans. Une des conclusions de ce rapport est que c’est un fait établi et sans équivoque que le réchauffement de l’atmosphère, des océans et des terres est dû aux activités humaines ! Aucune étude scientifique n’a remis en question les conclusions du rapport du GIEC de 2021. Merci d’éviter de vous exprimer sur une discipline qui dépasse votre domaine de compétences.

      • “Aucune étude scientifique n’a remis en question les conclusions du rapport du GIEC de 2021”.
        Ah oui et que vous faites monsieur Kibkalooo de cette étude qui montre qu’une part non négligeable du réchauffement qui s’est produit au cours de ces 150 dernières pourrait être simplement du au fait que les courbes retraçant l’évolution de la température ont été quelque peu biaisées par l’effet de chaleur urbain ?
        https://www.ceres-science.com/post/new-study-suggests-global-warming-could-be-mostly-an-urban-problem

        Ou bien d’une autre étude également publié cette année (paru dans le Bulletin of the American Meteorological Society), qui nous dit que la partie ouest de l’Antarctique s’est refroidie entre 1998 et 2018 ; démontrant ainsi que l’idée selon laquelle le réchauffement climatique affecterait uniformément la planète est erronée.
        https://www.antarctica.gov.au/news/2023/cool-change-for-west-antarctica/

        Enfin pour ce qu est de la question de la sensibilité climatique, sachez qu’il existe des dizaines d’études qui évaluent la sensibilité climatique au CO, c’est-à-dire l’augmentation de la température en cas de doublement de la concentration de CO² atmosphérique, à seulement quelques dizaines de degrés.
        https://notrickszone.com/50-papers-low-sensitivity/

        Donc, que cela vous plaise ou non Alex, il existe bel et bien des études scientifiques qui remettent en cause les dernières conclusions du rapport du GIEC.

        Bonne journée à vous,

        • C’est tout ce que vous avez mon cher Sébastien, une étude publiée dans une revue MDI dont la qualité de relecture par les pairs est fortement contestée ? L’auteur principal Willie Soon est un climato-dénialiste, qui conteste la compréhension scientifique du changement climatique et soutient que la majeure partie du réchauffement climatique est causée par les variations solaires plutôt que par l’activité humaine. Je parlais d’études scientifiques sérieuses, publiées dans des revues majeures.

          L’étude scientifique «  Significant West Antarctic Cooling in the Past Two Decades Driven by Tropical Pacific Forcing »  ne contredit pas les conclusions du GIEC c’est même l’inverse ! L’étude fait même référence du CMIP6 et affirme que la fiabilité des modèles est relativement élevée pour les changements de température à l’échelle mondiale, mais que leurs représentations des transitions climatologiques inter-décennales sur l’Antarctique sont généralement moins précises. Vous êtes très amusant, mon cher Sébastien. Vous devriez lire les études que vous donnez en référence.

          Pour finir, votre lien vers le site NoTricksZone est encore plus risible, on y trouve des études datant de 1975 et 1981 ! Vous raclez les fonds de de tiroirs de mon cher Sébastien. Les auteurs du GIEC faisant font synthèse critique des études scientifiques récentes, ce ne sont pas des archéologues.

          Votre réponse ne fait que confirmer mon premier commentaire, aucune étude scientifique n’a remis en question les conclusions du rapport du GIEC de 2021.

          • c’est vous qui décidez de ce qu’est une revue majeure et une étude sérieuse…?
            ah oui, fameux” consensus scientifique”!
            le problème est que la “science” est parasitée par des influences qui la dépassent et que le consensus se fait sur les conflits d’intérêts
            qu’un chercheur autour n’aille pas dans ce consensus et il en subira des conséquences; par contre l’opportunisme aidant si vous voulez publier un article dans une revue ( même majeure) allez dans le sens du poil et vous n’aurez aucun problème pour ça; les réseaux fonctionnent bien
            je sais de quoi je parle, je suis scientifique, heureusement dans une science où on ne raconte pas n’importe quoi car non liée au fric mais malgré tout je sais comment fonctionnent les “communautés”
            pour ce qui est de la climatologie, discipline récente et qui est aux interfaces de plusieurs sous spécialités elle prétend aborder des sujets d’une complexité énorme qui rendent toute modélisation illusoire, ou disons qu’à un modèle peut se substituer une autre modèle qui aboutira à l’opposée du précédent
            on a exactement le même problème en médecine – épidémiologie et on arrive aux mêmes conséquences.. le “consensus scientifique” dit que….et ceux qui ne sont pas d’accord.. “out”…..
            votre style de réponse ne fait que confirmer ma première impression, vous êtes un cuistre..ressemblant furieusement à Eloi par ailleurs

          • “Je parlais d’études scientifiques sérieuses, publiées dans des revues majeures.” Le problème mon cher Alex c’est que ces revues majeures n’acceptent généralement pas de publier des études allant à l’encontre des conclusions des du GIEC (c.f cas de Patrick Brown). Il me semblait pourtant vous l’avoir dit dans un précédent message, mais peut-être avez quelques problèmes de mémoire. Tenez pour rappel : https://www.climato-realistes.fr/jai-sacrifie-la-verite-pour-que-mon-article-sur-le-changement-climatique-soit-publie/

            Aussi je vous remercie d’avoir mis en lumière cette contradiction pour le moins flagrante des auteurs de l’étude au sujet de la fiabilité des modèles climatiques actuels. En effet, comment ces derniers pourraient-ils permettre de prévoir les changements de températures à l’échelle mondiale, tout en omettant de tenir compte des divers mécanismes pouvant influencer le climat des différentes régions du globe ? Ça n’a aucun sens.

            Enfin votre réponse au sujet des différents études figurant sur le site NoTrkcksZone montre toute l’étendue de votre mauvaise foi. En effet la majorité des études figurant sur le site ont été publiées il y a moins d’une dizaine d’année. Qui plus est cet article date de l’année 2021, et depuis de nouvelles études ont été ajouté à la liste.
            https://notrickszone.com/2022/01/13/nearly-140-scientific-papers-detail-the-minuscule-effect-co2-has-on-earths-temperature/

            Par ailleurs si vous voulez d’autres études qui remettent en cause les conclusions du dernier rapport GIEC, je peux vous en fournir d’autres. Ce n’est pas ça qui manque croyez-moi
            Tenez en voici une parue le mois dernier dans l’une des plus anciennes revues scientifique du monde (la première en terme de longévité) “The Philosophical Transactions of the Royal Society” et intitulé “Can we trust projections of AMOC weakening based on climate models that cannot reproduce the past” ?

            Et voici ce qu’on peut lire en conclusion de l’article (c’est de la traduction Deepl) : Nous terminons par une déclaration pessimiste : s’il n’est pas possible de réconcilier les modèles climatiques et les observations de l’AMOC au cours de la période historique, nous pensons que les déclarations concernant la confiance future dans l’évolution de l’AMOC devraient être révisées.
            Un manque de confiance dans le passé devrait se traduire par un manque de confiance dans l’avenir ! Le rapport AR6 du GIEC estime qu’il est très probable que l’AMOC diminue dans un climat changeant. Mais si ces modèles ne peuvent pas reproduire les variations passées, pourquoi devrions-nous être si confiants dans leur capacité à prédire l’avenir ?
            De même, le rapport AR6 du GIEC fait état d’une confiance moyenne dans le fait qu’il n’y aura pas d’effondrement de l’AMOC. Or, en l’absence de dynamique de la glace et de l’eau douce, il est peu probable que l’on puisse simuler les processus susceptibles de provoquer un effondrement.
            Nous pensons qu’il faut progresser dans la compréhension des raisons pour lesquelles les modèles ne reproduisent pas la variabilité passée de l’AMOC et que c’est la clé pour avoir confiance dans l’évolution future de cette variable climatique clé.

            Capito ?

      • “Le premier volume du sixième rapport du GIEC de 2021, a été écrit par 234 experts scientifiques,”

        Et donc ? Les 234 experts scientifiques concluent tous dans leurs études : “c’est certain à 100%, Nous l’avons prouvé par l’expérimentation, c’est le CO2 de l’activité humaine qui via une “back radiation” réchauffe la surface, et qui a pris le dessus sur tous les autres phénomènes d’ordres terrestres et cosmiques.”

        Vous nous prenez pour des cons.

        Allez vous acheter un nouveau cerveau et allez troller ailleurs.

        Strictement aucune expérimentation, aucune mesure expérimentale ne démontrent, prouvent, que le CO2 de l’activité humaine peut réchauffer toute la planète.

        Et la physique pure, la physique du climat, la chimie quantique, remet totalement en question cette hypothèse totalement foireuse.

        Allez faire votre propagande à deux balles ailleurs Kibkalooo et compagnie.

        C’est vous qui vivez dans une grottte et voulez y amener tout le monde.

        Dans votre obscurantisme le plus total.

        Le CO2 de l’activité humaine réchauffe la planète… HA HA HA !

        Il faut vraiment être un demeuré pour croire a une connerie pseudo-scientifique pareille.

        • Mon cher Nicolas, vous devriez pourtant savoir que pour prouver le sens irréfutable du réchauffement anthropique il faudrait avoir une centaine de planètes Terre identiques puis il faudrait soumettre cinquante de ces planètes à un forçage de CO2 anthropique et les comparer aux cinquante autres. Il faudrait une étude comme on en fait en médecine, avec cent patients qu’on peut soumettre à un protocole expérimental. Ce qui est impossible en géosciences et astronomie. Donc les climatologues se basent sur des preuves.

          Le premier faisceau est de constater que ce qui était prédit il y a cinquante ans s’est avéré. On a une théorie sur laquelle on fait une prédiction qui s’avère ou non. C’est ce qui s’est passé avec la théorie de la gravitation et c’est pareil pour le réchauffement climatique.

          Le deuxième faisceau est la méthode de modélisation. On crée un modèle qui correspond au climat qu’on observe avec tous les facteurs nécessaires. En conclusion, il est sans équivoque que l’influence humaine a réchauffé l’atmosphère, les océans et la terre. Puisque le le réchauffement observé entre 1850 et aujourd’hui ne peut-être simulé que lorsque que l’influence humaine est prise en compte dans les modèles de climat.

          Un autre faisceau de preuves est l’empreinte digitale de l’effet de serre. Par exemple, le réchauffement climatique est fort dans la basse atmosphère et on observe un refroidissement dans la haute atmosphère. Ce phénomène est dû au mécanisme de l’atmosphère qui garde la chaleur en bas. C’est pour la mise au point de ces travaux d’empreinte digitale que Klaus Hasselmann a reçu le prix Nobel de physique.

          Un autre faisceau de preuves est l’empreinte digital vient des satellites qui mesurent la radiation infrarouge qui s’échappe hors de notre atmosphère vers l’espace. La comparaison des données entre 1970 et 1996 montre que moins d’énergie s’échappe de notre atmosphère vers l’espace aux longueurs d’onde que les gaz à effet de serre absorbent. Les chercheurs décrivent ce phénomène comme : une preuve évidente directe et expérimentale d’une augmentation significative des gaz à effet de serre sur la terre. Ce résultat a été confirmé par d’autres mesures plus récentes effectuées par d’autres satellites.

          L’étude scientifique « Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing » publiée dans la revues scientifique Geophysical Research Letters en 2021 a mesuré des preuves directes que l’homme est à l’origine du changement climatique. Cette étude est le premier calcul du forçage radiatif total de la Terre à partir d’observations mondiales, en tenant compte des effets des aérosols et des gaz à effet de serre. Cette étude utilise le projet CERES (Clouds and the Earth’s Radiant Energy System) de la NASA qui étudie le flux de rayonnement au sommet de l’atmosphère terrestre. Une série d’instruments CERES sont embarqués en permanence sur des satellites depuis 1997.

          • Beaucoup de blablabla…

            Désolé, le CO2 de l’activité humaine qui réchauffe la planète, c’est une hypothèse, et il se trouve que la physque du climat remet totalement en question cette hypothèse.

            Concernant “Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing”,

            Il est question des donnée satellitaires :

            Ryan J. Kramer, ayant travaille à la NASA, spécialiste de la question, a bien affirmé, pour que cela soit claire, concernant les donnée satellitaires et l’ancienne méthode, en 2021 : “it doesn’t tell us what factors are causing changes in the energy balance.” / “Cela ne nous dit pas quels facteurs provoquent des changements dans le bilan énergétique.”

            Ce qui n’empêchait pas des gens comme vous d’affirmer que les données satellitaires prouvaient…

            L’ancienne technique dont il parle et qui ne prouverait rien, qui selon lui n’amènerait pas à pouvoir dire quels sont exactement les facteurs causant des changements dans la balance énergétique :

            — “NASA’s Clouds and the Earth’s Radiant Energy System (CERES) project studies the flow of radiation at the top of Earth’s atmosphere. A series of CERES instruments have continuously flown on satellites since 1997. Each measures how much energy enters Earth’s system and how much leaves, giving the overall net change in radiation. That data, in combination with other data sources such as ocean heat measurements, shows that there’s an energy imbalance on our planet.”

            ////////////////////////////////////

            Il a donc travaillé avec une nouvelle méthode qui soi-disant prouverait que c’est bien le CO2.

            Mais … Car il y a toujours un mais… Et c’est ça que vous écartez.

            Concernant l’étude de 2021 / Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing – 2021

            Selon Kramer et al. 2021, les résultats de leurs recherches seraient la preuve directe que les activités humaines modifient le bilan énergétique de la Terre. Et bien entendu les alarmistes climatiques se sont emparés de ces résultats pour pointer du doigt les émissions de CO2…

            Pour comprendre cette étude très technique il faut savoir que les auteurs se basent sur le projet CERES (Clouds and the Earth’s Radiant Energy System) de la NASA, qui étudie le flux de rayonnement au sommet de l’atmosphère terrestre (TOA, Top of the Atmosphere). En effet, une série d’instruments CERES fonctionnent en continu sur des satellites depuis 1997. Chacun mesure la quantité d’énergie qui entre dans le système terrestre (des ondes courtes, en provenance du soleil) et la quantité qui en sort sous forme d’infra-rouges à ondes plus longues, donnant le changement net global du rayonnement. Ces données, combinées à d’autres sources de données telles que les mesures de la chaleur des océans, suggèrent qu’il existerait un déséquilibre énergétique sur notre planète.

            Cependant, si ce déséquilibre existe, les données CERES ne nous disent pas quels seraient les facteurs qui provoqueraient ces changements observés dans le bilan énergétique.

            Et c’est ici qu’intervient l’étude de Kramer et al 2021. Ces auteurs ont utilisé une nouvelle technique pour analyser la part du changement énergétique total qui serait causée par les humains… Les chercheurs ont calculé dans quelle mesure le déséquilibre était causé par des fluctuations de facteurs naturels, tels que la vapeur d’eau, les nuages, la température et l’albédo de surface (essentiellement la luminosité ou la réflectivité de la surface de la Terre). Par exemple, l’instrument Atmospheric Infrared Sounder (AIRS) du satellite Aqua de la NASA mesure la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre. La vapeur d’eau absorbe l’énergie sous forme de chaleur, de sorte que les changements dans la vapeur d’eau affectent la quantité d’énergie qui quitte finalement le système terrestre. Les chercheurs ont ainsi calculé le changement d’énergie causé par chacun des facteurs naturels, puis ils ont soustrait les valeurs du total. La partie restante est le forçage radiatif qui serait causé par les humains.

            Nous sommes donc face à un traitement mathématique particulier de données obtenues par satellites, données elles-mêmes entachées d’erreurs instrumentales…

            Après avoir effectué leur calcul, les chercheurs ont découvert que les activités humaines auraient entraîné une augmentation du forçage radiatif sur Terre de (seulement) 0.53 ± 0.11 W/m2 entre 2003 et 2018, soit sur 15 ans. Selon eux, cette augmentation proviendrait principalement des émissions de gaz à effet de serre provenant d’éléments tels que la production d’électricité, les transports et la fabrication industrielle. Les aérosols réfléchissants (qui ont diminué ces dernières années) contribuent également au déséquilibre.

            Venons-en maintenant aux problèmes :

            – Est-il possible, à l’échelle mondiale et par des observations instrumentales, de distinguer les causes d’un écart de forçage radiatif de seulement 0,53 W m-2 sur une période aussi courte de 15 ans ? Il faut savoir par exemple que la précision des instruments mesurant la TSI (Total Solar Irradiance) varie entre ± 0.5 et ± 1.3 W/m2. Remarquons dès lors l’exploit des chercheurs qui obtiennent 0,53 ± 0.11 W/m2… Ceci n’est pas très sérieux…

            – Un changement si faible (0.53 W/m2) pourrait aussi être causé par une variation de la quantité de nuages dans la troposphère. Il suffirait que la couverture nuageuse ait varié de seulement 0.27% (voyez la discussion sur le blog de Judith Curry : https://judithcurry.com/2021/03/28/a-pertinent-climate-question/). Mais ceci n’est pas mesurable. Même une variation de seulement 1% de la couverture nuageuse n’est pas détectable à l’échelle mondiale… Les auteurs attribuent donc la variation détectée au taux de CO2 (car c’est politiquement correct) mais cela pourrait très bien être causé par une variation de la quantité de nuages.

            – Et même si tout ceci était vrai, et que les 0.5 W/m2 seraient bien causé par du CO2, rappelez-vous que le CO2 humain ne représente que 4% des émissions annuelles de CO2 (qui sont essentiellement naturelles)… Et n’oublions pas non plus que c’est l’eau qui est le facteur le plus important dans tous les phénomènes de transport de chaleur (avec une terre couverte à 70% par des océans). Non, cette étude de Kramer ne nous convainc pas!!

            Pour terminer, remarquons que les alarmistes climatiques n’aiment pas les satellites qui mesurent la température de la basse troposphère (par exemple les satellites RSS et UAH) car ceux-ci nous montrent que le réchauffement global n’est pas très important. Par contre, ils adorent les satellites lorsqu’ils démontrent qu’il y aurait un déséquilibre radiatif, comme dans le cas de Kramer et al. 2021…

          • Je cite Brionne: “Le deuxième faisceau est la méthode de modélisation. On crée un modèle qui correspond au climat qu’on observe avec tous les facteurs nécessaires. En conclusion, il est sans équivoque que l’influence humaine a réchauffé l’atmosphère, les océans et la terre. Puisque le le réchauffement observé entre 1850 et aujourd’hui ne peut-être simulé que lorsque que l’influence humaine est prise en compte dans les modèles de climat.”

            – “Tous les facteurs nécessaires” ? C’est la question ! Ils sont inconnus. La formation des nuages, les courants marins, sont des questions largement ouvertes.

            – Si vous voulez je vous écris un programme en Python qui vous prédit au dixème de degré près la variation des temperatures entre 1850 et 2023, en fonction du nombre de fromages produits dans les vosges sur cette période, du nombre de paires de chaussures moyen par habitant et du nombre de mariages mixtes. On appelle cela un serpent qui se mord la queue : on fournit au modèle des données de 1850 à 2023, on paramètre un bon “over-fitting”, et on a la preuve de la théorie ?
            Si j’enlève les mariages mixtes de mon modèle over-fitté, forcément il marchera moins bien. Votre raisonnement n’a aucun sens.

      • c’est Eloi qui ressort de sa grotte….
        déjà ça serait intéressant de voir comment est faite cette synthèse;14000 études qui iraient toutes dans le même sens, ou bien on ne retient ce dont on a besoin pour perpétuer la supercherie?
        un fait établi et sans équivoque? que l’on autorise au moins des débats publiques entre “experts” et “experts”.. et qu’on se dise que la minorité n’a pas forcément tort….
        et oser dire “qu’aucune étude ” n’a contredit les conclusions du GIEC montre que vous n’êtes pas sérieux; ça n’a rien à voir avec une quelconque compétence scientifique, mais simplement une affirmation maquillée en principe d’autorité

  6. Si, ces 2 courbes, si vous les comprenez, disent que:

    1. La hausse du CO2 de 280 ppm à 420 ppm est due entièrement aux activités humaines depuis la révolution industrielle.
    https://climate.nasa.gov/rails/active_storage/blobs/redirect/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaHBBK2xrQWc9PSIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoiYmxvYl9pZCJ9fQ==–36e66c856d97392a97346c0d0735e3abd7ed1d87/co2-graph-083122_scaled_scrunched.jpg?disposition=inline

    2. Le CO2 est un Gaz à Effet de Serre dont la présence dans l’atmosphère a pour effet de réduire le refroidissement et dont de réchauffer l’atmosphère.
    https://journals.openedition.org/bibnum/docannexe/image/468/img-4.png?fbclid=IwAR2fthAFOhzb6o4T9TKDbbubGo3b0iA6WR92L2zofoOWDAGffP-ra4HLkKM

    Niez vous ces 2 évidences ?

    Ensuite, on pourra rentrer dans le détail si vous en avez le courage.

    • C’est vraiment une obsession, votre petit croquis tracé en 1979, d’après les mesures du satellite Nimbus4, en orbite à 1100 km d’altitude. Il représente le spectre IR de l’atmosphère c’est vrai, mais au-dessus de l’équateur.
      Ah le trou à 15µm ! Après l’eau dilatée…

      Saviez-vous que plus il y a de skieurs à Val d’Isère, plus il neige ?
      Saviez-vous aussi que plus on consomme de crèmes glacées, plus il fait chaud ?
      Et oui ! il n’y a pas que le CO2 qui influence la T°, vous pouvez vérifier, c’est parfaitement corrélé… Donc factuellement irréfutable.

      Évitez toutefois les années 2020 et 2021, elle ont été fortement perturbées par une autre crise d’hystérie.
      En effet, on a constaté que le nombre de “cas” augmentait avec le nombre de tests… alors comme ça augmentait, on a fait encore plus de tests, et on a trouvé encore plus de cas, et finalement, on est devenus fous…

  7. Bonjour,
    C’est à se demander pourquoi les réchauffistes ont mandatés des trolls professionnels pour polluer ce site.
    Cela paraît évident que ce ne sont pas des “citoyens lambda”.
    N’oubliez pas : don’t feed the troll

    • Mon cher Petrol, j’ignorais que discuter gentiment avec des climato-irréalistes en leur fournissant des preuves scientifiques contredisant leurs croyances irrationnelles était assimilé à être un troll professionnel. Ne vous en déplaise, je suis juste un citoyen lambda. Soyez sérieux deux minutes, qui serait prêt à payer quelqu’un pour laisser des commentaires sur ce site ?

  8. Bonjour.

    L’auteur fait état d’un élément central dans sa démonstration:
    “the climate system can respond to many forcings and it remains to be proven that the greenhouse signal is sufficiently distinguishable from other signals to be detected except as a gross increase in tropospheric temperature that is so large that other explanations are not likely”.
    En voici la traduction:
    “le système climatique peut répondre à de nombreux forçages et il reste à prouver que le signal de l’effet de serre se distingue suffisamment des autres signaux pour être détecté, sauf sous la forme d’une augmentation brutale de la température troposphérique qui est si importante que d’autres explications ne sont pas probables”

    Il n’y a à mon avis aucune incertitude dans ce texte.

    Le GIEC affirme que l’effet de serre est la cause la plus probable de la forte augmentation de t° de la troposphère.

    • @Etronslibres Savez vous lire l’anglais ?
      From Wikipedia
      The IPCC supplementary report of 1992 was published to contribute to the debate on the United Nations Framework Convention on Climate Change at the 1992 Earth Summit, held in Rio de Janeiro.[1]

      The report updated and revised some of the data contained in the IPCC First Assessment Report, and included six new climate change scenarios, including an update of the 1990 reference scenario.[2]

      The major conclusion was that research since 1990 did “not affect our fundamental understanding of the science of the greenhouse effect and either confirm or do not justify alteration of the major conclusions of the first IPCC scientific assessment”.

      • Et donc ? Ce que vous citez est une déclaration du GIEC par laquelle celui-ci confirme ses conclusions antérieures.

        Si vous n’êtes pas d’accord avec ma traduction, allez-y, mouillez vous, proposez la vôtre.

      • Robert Girouard, les trolls embrouilleur de fils de discussion sont là…

        E.libres, trouvez moi un climatologue qui affirme : “c’est certain à 100%, Nous l’avons prouvé par l’expérimentation, c’est le CO2 de l’activité humaine qui via une “back radiation” réchauffe la surface, et qui a pris le dessus sur tous les autres phénomènes d’ordres terrestres et cosmiques.”

        Une hypothèse n’est pas un fait scientifique. Où est l’équation : tel taux de CO2 anthropique dans l’atmosphère = telle température à la surface ?

        Aucune expérimentation, aucune mesure expérimentale n’ont prouvé que le CO2 de l’activité humaine pouvait réchauffer toute la planète. Et les résultats des modèles ne forment strictement en rien des preuves expérimentales.

        Tout le reste n’est que blablabla…

        • Je reprends votre phrase “Où est l’équation : tel taux de CO2 anthropique dans l’atmosphère = telle température à la surface ?” en faisant une analogie.

          Présentez vous devant une autoroute à une heure circulation dense et rapide, genre sortie de Paris à 16h30, avant les bouchons. Vouloir la traverser à pied serait suicidaire, j’espère que vous êtes d’accord.

          Vous ne tenterez pas la traversée si vous avez un minimum de jugeote, ce qui semble être le cas, et pourtant il n’y a pas de formule qui établit que vous êtes certain de mourir en tentant la traversée. Au mieux, un spécialiste vous donnera une probabilité et … vous trouverez toujours des machins-réalistes pour contester. Et pourtant, traverserez-vous ?

          Voilà où nous en sommes. Il est très probable que l’avenir de l’humanité soit compromis si nous continuons à émettre du CO2 car celui-ci presque certainement provoque l’augmentation des t°. J’ai choisi mon camp, celui de ceux qui, tout bien pesé, veulent prendre des précautions pour le bien des générations futures (perso, je m’en fous, je suis trop âgé pour subir les conséquences de nos erreurs).

          • c’est pourtant avec une équation ( non écrite explicitement par crainte du ridicule) qu’on ose calculer les “crédits carbone” pour ne pas dépasser le seuil de 2° d’augmentation de température..
            Vous avez choisi effectivement un camp et vous en avez le droit si c’est votre conviction, mais dire qu’il est “probable” que… et que le CO2 “certainement” provoque l’augmentation des t° , il en faudra plus pour me convaincre…

          • E.libre aécrit : “Il est très probable que l’avenir de l’humanité soit compromis si nous continuons à émettre du CO2”

            J’entends ça depuis que je suis né… et c’est marrant, mais depuis que je suis né, l’humanité globalement a de bien meilleures conditions de vie, la grande misère a diminué de manière drastique dans le monde. Jamais en Occident (Europe, Amérique), les gens n’ont eu une aussi bonne qualité de vie. Et en Afrique, ça va mieux également.

            Encore au 19e en France, des gens mourraient de faim.

            Vous êtes libre de croire à ce que vous voulez, mais pas de m’obliger à changer radicalement ma manière de vivre (tout en me demandant de payer des impôts), en vous basant sur une hypothèse.

            Il faut prendre conscience de la chance que nous avons de vivre en Occident, et ce grâce à des millions et millions de personnes qui ont durement travaillé pour construire tout ça, sans parlé de ceux qui sont morts à la guerre pour le défendre. C’est pas pour nous voir en dépression dans le catastrophisme.

            La physique pure, la chimie quantique, la physique du climat, remettent totalement en question cette hypothèse foireuse.

            Aucun grand climatologue ne vous dira : “c’est certain à 100 %, nous l’avons prouvé par l’expérimentation, c’est le CO2 de l’activité humaine qui via une “back radiation” réchauffe la surface, et qui a pris le dessus sur tous les autres phénomènes d’ordres terrestres et cosmiques.”

            Tout ça va finir par s’effondrer totalement. Et ça n’a en rien empêché le CO2 d’augmenter dans l’atmosphère, alors que cela nous a déjà coûté des milliards et milliards de dollars.

            Tout ça pour ça …

            Il y aura toujours assez d’imbéciles pour soutenir ce qui va les asservir, tout en payant des impôts, et fort heureusement, il y aura toujours des gens pour se battre contre l’asservissement et la destruction des libertés fondamentales. La fin de l’histoire n’existe pas, et le véhicule à essence a encore de beaux jours devant lui.

    • Je vois que vous ne comprenez pas mieux le sujet énergétique que le sujet climatique
      Ce n’est pas une question de quantité totale dans le sous-sol. Il s’agit de quantité disponible. Relisez ce que j’ai écris.
      On arrêtera d’en extraire non pas quand il n’y en aura plus du tout, mais quand (et même un peu avant) on obtiendra moins d’énergie d’un baril qu’il faudra d’énergie pour extraire ce baril.
      Ca a même un nom, ça s’appelle l’EROI.
      Et l’EROI a été divisé par un facteur de l’ordre de 10 entre le pétrole conventionnel et les non-conventionnels.
      Votre addiction aux vapeurs de gasoil aveuglent votre jugement, Homme des bois.
      Je vois que même Sebastien G est d’accord sur ce sujet de la raréfaction du pétrole, c’est dire.

      • “Ce n’est pas une question de quantité totale dans le sous-sol. Il s’agit de quantité disponible.’

        Il est question dans l’article des réserves, et non pas des ressources (quantité totale).

        — “Nous sommes maintenant dans une situation où les réserves possibles de pétrole dépassent la consommation.” … “ce sont des volumes de pétrole que l’on a identifiés et qu’on sait produire avec les technologies d’aujourd’hui,”

        Et avec la technologie et si c’est encore rentable, la recherche des ressources va continuer.

        Tant qu’il y a du pétrole et tant que c’est rentable, on continuera à utiliser du pétrole.

        • Mais le pétrole qui reste, peu importe que vous l’appelez réserves ou ressources, est de plus en plus difficile à extraire et exploiter.
          Ca se caractérise par le ratio EROI dont je parlais ci-dessus, et ce ratio baisse.
          Vous n’avez pas remarqué que le baril brut coute 4 à 5 fois plus qu’il y a 20 ans, depuis qu’on a passé le pic du pétrole conventionnel au milieu des années 2000 ?
          Donc on a 2 choix:
          – Soit on fait l’autruche en niant cette réalité et faire comme si de rien n’était. Cela semble être votre choix.(décidément le déni, c’est une manie chez vous)
          – Soit on réfléchit, on regarde la réalité en face et on se prépare à cet inéluctable déclin des ressources fossiles exploitables et on s’y prépare, en réduisant nos consommations (surtout) et (pour le reste des besoins) en développant des alternatives.

          • Le pétrole extrait aujourd’hui revient à moins de 20$ le baril en moyenne mondiale contre 5$ il y a quelques décennies.

            En France et dans de nombreux pays développés, nous payons un prix de l’essence équivalent à un baril (fiscal) à plus de 250$. Les brionnes/MLA auront des dents avant que le coût d’extraction soit multiplié par 50. Un tel prix ouvrirait l’accès à des ressources de pétrole pour plusieurs millénaires de consommation au rythme actuel, sans compter les pétroles agricoles, aquacoles et autres carburants synthétiques qui auront été rentabilisés bien avant. Il n’y aura pas de peak oil global, jamais, même pas en rêve. L’âge du pétrole ne prendra pas fin par manque de pétrole, pas plus que l’âge de pierre a pris fin par manque de pierres.

            Arrêtez de raconter n’importe quoi avec votre EROI, invention escrologiste qui oublie opportunément toute possibilité de substitution en négation de la science économique la plus élémentaire. Comment a-t-on fait pour extraire du pétrole lorsqu’on n’avait pas de pétrole ? Selon la théorie stupide du EROI, il aurait été impossible d’extraire la moindre goutte de pétrole. Le ratio EROI est une invention inepte à tout point de vue, de la pseudo-science chimiquement pure.

          • Vous êtes de mauvaise foi, les cours du pétrole sont surtout soumis aux conjonctures géopolitiques. Quant au ratio EROI, c’est le problème des ingénieurs des compagnies pétrolières. Vous, vous êtes incompétente.
            S’il n’y avait plus de pétrole utilisable dans le monde, ce serait autrement la panique, et le peu qu’il resterait serait à 5000 dollars le baril.
            Vous avez le droit d’être contre le pétrole, pas celui de prendre les gens pour des cons.
            Curieusement, je vous ai indiqué, à deux reprises, l’origine du spectre IR que vous brandissez comme la preuve absolue du RCA, et vous ne répondez rien la-dessus. Vous partez en quête d’un autre pigeon prêt à gober vos âneries.

            Je ne suis absolument pas un spécialiste de toutes ces questions, c’est vrai, mais je possède un socle de connaissances scientifiques suffisant pour aller voir de plus près ce que vous racontez, apprendre, et réfléchir. Force est de constater que ça ne tient pas la route. En fait, vous ne trompez que les gens scientifiquement incultes, ou trop paresseux pour réfléchir.

            Vous êtes complètement hystérique, ça, vous avez réussi à m’en convaincre.

          • “Le pétrole extrait aujourd’hui revient à moins de 20$ le baril en moyenne mondiale contre 5$ il y a quelques décennies.”
            Roger ce que vous dîtes est peut-être vrai pour le Moyen-Orient conventionnels extrait Moyen Orient mais assurément pas pour l’ensemble des pays producteurs de pétrole.
            De plus comme l’explique cet article les nouvelles techniques d’extraction du pétrole, telles que la fracturation hydraulique comporte un “certain nombre de risques pour l’environnement et la santé”. https://safetyculture.com/fr/themes/fracturation-hydraulique/

            Aussi si vous pourriez nous indiquer les données sur lesquels vos estimations se basent pour affirmer qu’il n’y pas lieu de s’inquiéter au sujet des réserves de pétrole ce serait fort aimable à vous.

          • Les accumulations de ressources bien connues restent en majorité inexploitées. On extrait de l’ordre de 20% en moyenne des accumulations détectées, avec une variabilité comprise entre 10% pour les situations les moins favorables et 60% dans le meilleur des cas. Ces 20% constituent les réserves récupérables prouvées, probables et possibles selon leur probabilité d’exploitation anticipé. Il existe un ordre de grandeur de différence entre chaque type de réserves : avec 50 ans de réserves prouvées, je vous laisse faire le calcul des réserves probables et possibles. Pour ces dernières, la Russie et le Canada qui ont la main sur d’immenses territoires y compris l’Arctique sont très bien placées. Au-delà des 20% en moyenne, il n’est plus concurrentiel de poursuivre l’exploitation aux conditions actuelles, tant pour des raisons de coût, de technologie que de qualité. Ainsi, il reste dans le sol 80% environ de la ressource potentiellement exploitable à l’avenir sans qu’elle soit aujourd’hui décomptée dans les réserves. Autrement dit, comme dans le pire des cauchemars écologistes, vous pouvez encore multiplier par 5 les quantités visées plus haut. Question coût d’extraction, la moyenne mondiale est de l’ordre d’un peu moins de 20$, avec une variabilité entre 5$ et 45$ le baril. Certains opérateurs refusent de travailler à plus de 35$, même quand les tests sont positifs. Ce qui signifie qu’il existe encore plus de ressources inexploitées à ce jour que ce qu’on imagine habituellement. Il n’existe pas d’activité sans risque. Jusqu’à preuve du contraire, le schiste n’a pas provoqué les catastrophes annoncées à grand renfort d’alarmisme gémissant surjoué et de larmes de crocodile de victimes imaginaires. Nous cesserons sans doute un jour d’exploiter les fossiles, mais ce sera bien avant d’avoir épuisé la ressource disponible. Il va falloir se faire une raison. Tant qu’on n’aura pas trouvé plus efficient que les fossiles, on continuera de les exploiter dans le monde entier. Quant aux sources, il suffit d’avoir des yeux, des oreilles et un cerveau. Vous ne pensez pas qu’on va faire le travail à votre place, non ?

          • “Jusqu’à preuve du contraire, le schiste n’a pas provoqué les catastrophes annoncées”.
            Et bien on dirait visiblement qu’il faut une première à tout..
            https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/developpement-durable-puissant-seisme-provoque-exploitation-energies-fossiles-43473/

            “Victimes imaginaires, vous dîtes ? Ça n’est pas vraiment ce qui ressort de la conclusion de cette étude parue dans la revue Environmental Health Perspectives, qui pointe un risque accru de développer une leucémie pour les enfants vivant à proximité d’exploitations pétrolières et gazières non-conventionnelles.
            https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/40354-Vivre-proximite-sites-de-fracturations-hydrauliques-augmente-risque-de-leucemie-infantile

            Aussi si j’étais vous je ne miserais pas trop sur le pétrole américain, vous risqueriez d’être quelque peu déçus dans vos attentes.
            https://elucid.media/environnement/securite-energetique-europe-petrole-schiste-americain-forage-bientot-crise
            https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/petrole-de-schiste-un-geant-aux-pieds-d-argile-860363.html

            “Quant aux sources, il suffit d’avoir des yeux, des oreilles et un cerveau. Vous ne pensez pas qu’on va faire le travail à votre place, non ?”
            C’est également ce que vous disiez à vos professeurs au moment de rendre votre exposé ?

        • Si, et si vous le lisez vraiment et en essayant de faire abstraction de vos biais cognitifs, vous verrez qu’il confirme que ce que je dis au sujet des pétroles non-conventionnels.
          A votre avis, Ohmdeboi, pourquoi le prix du baril de brut a été multiplié par 4 ou 5 en 20 ans, depuis le passage du pic conventionnel ?
          Il va falloir consommer moins, Ohmdeboi, dans notre propre intérêt C’est physique.
          Je comprends que ça vous chagrine, mais vous verrez, même vous sortirez un jour du déni. Mais plus vous attendez, plus cela sera douloureux.

          • Pffff !…

            C’est ça, avec des bagnoles à piles rechargeables et des pompes à chaleur… ?
            Vous êtes encore plus bête que je ne le croyais.
            On abandonnera le pétrole quand on aura trouvé mieux. Comme le dit Roger, il n’a jamais manqué de cailloux, c’est juste qu’on a découvert la métallurgie.
            On a abandonné la machine à vapeur quand on a inventé le moteur à combustion interne. Personnellement, je suis partisan des voitures à thermogénérateur nucléaire.
            Oh ! Nucléaire ! Le mot qui rend hystériques tous les verdâtres !

            Après l’eau dilatée, le trou à 15µm, le peak oil, ça va être quoi ?

          • “passage du pic conventionnel” : peak oil obsessionnel pour écologistes impatients.

            Au début, il y avait le peak oil simple. Mais comme il ne se produisait jamais (ça fait 50 ans que le monde entier dispose de 50 ans de réserves prouvées, tout en ayant doublé sa consommation), les écologistes impatients ont inventé des peak oil imaginaires (peak oil conventionnel, peak oil de consommation) pour faire paniquer les faibles d’esprit, avec l’assentiment de certains acteurs mondiaux qui y voyaient un bon moyen de maintenir élevés les prix de marché.

            Il ya bien eu un semblant de peak oil aux USA avec les puits les plus anciens mais c’était un peak oil essentiellement économique et stratégique. Il était en effet devenu moins cher d’importer du pétrole du Moyen-Orient (là où il suffit de planter un doigt dans le sable pour faire jaillir du pétrole) à la place des 80% de la ressource restante de moins bonne qualité qu’il fallait désormais pomper à grands frais, la pression dans les puits ayant trop chuté. Ce fut également une décision stratégique de conserver l’essentiel des réserves dans le sol américain en cas de conditions géostratégiques trop instables. En outre, avec le temps, le progrès technologique ne manquerait pas de réduire leur coût d’extraction. Entre temps est apparu le pétrole de schiste, dont il est très compliqué de mesurer les réserves effectives même si on suppose qu’elles sont encore plus importantes, mais qui fait l’affaire en attendant.

            Bref, toujours pas le moindre peak oil en vue ! Il n’y a aucune raison de se passer du pétrole avant qu’une ressource plus efficiente permette son abandon, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Même la France possède des réserves majeures non seulement en Métropole mais également dans son immense zone maritime exclusive (ce serait étonnant que ce soit la seule zone maritime majeure dépourvue de pétrole), mais se refuse de les exploiter, sans doute par peur de devoir se battre pour les défendre face à l’avidité du monde.

          • Marie Laure A,

            Le pétrole, c’est rentable, et ça donne du travail à des millions et millions de personnes dans le monde.

            Tant que cela est rentable, et que cela permet à des millions et millions de personne de vivre, d’avoir de meilleurs conditions de vie, cela sera utilisé, et avec la technologie, une voiture à essence consommera encore beaucoup moins qu’elle ne le fait aujourd’hui. Et peut être qu’un génie va nous inventer autre chose.

            Aussi : Qu’est-ce qui ne va pas avec l’éolien et le solaire ? Mark Mills, chercheur au Manhattan Instituten: https://www.youtube.com/watch?v=cOvAQft_0Nc

  9. Rions encore …

    Le GIEC (Groupe d’Illuminés Experts en Corrélations) a collecté une liste très représentative des études très scientifiques sur le service des tennismen professionnels.
    Ces études très scientifiques ont décortiqué avec grande précision la corrélation entre le mouvement de la raquette vers l’avant et le mouvement de la balle vers l’avant.
    Cette démarche très scientifique a d’abord conclu que le mouvement de la balle vers l’avant était intimement corrélé au “mouvement anthropique du bras du joueur vers l’avant”, préférentiellement à d’autres paramètres ( … même ceux qui ne sont pas connus !!!!!! soit, dans ce cas particulier …).

    Cette corrélation a établi indubitablement que le mouvement “anthropique” du bras du joueur vers l’avant était “la cause avec 95 % de probabilité” du mouvement de la balle vers l’avant.
    Ces corrélations ont été vérifiées par l’argument impératif et très scientifique du Big Data !!!

    Sur base de ces observations très scientifiques et finement subtiles (et des modèles informatiques liés)
    le groupe très scientifiques du GIEC préconise (péremptoirement) aux “décideurs”, comme stratégie cherchant à provoquer un retour de la balle vers l’arrière, d’élaborer des stratégies mondiales de mouvement de la raquette vers l’arrière.
    Ps. Vous n’êtes pas ici invités à rire de la crétinerie de cette pseudo-conclusion : le mouvement de la balle en avant met l’Humanité en péril et représente les “Forces du Mal” alors que le mouvement de la raquette vers l’arrière va sauver l’Humanité et représente les “Forces du “Bien”.

    Qui n’aurait pas compris ici que le GIEC (Groupe des Illuminés Experts en Corrélations) est un manifeste reliquat des vieilles inquisitions religieuses irrationnelles et paranoïaques est invité ici à consulter un psy …
    Toute tentative d’échange rationnel avec de tels olibrius est vaine.

    Vous pouvez rire ici … l’Inquisition vous le permet encore …

    • La modélisation numérique, aidée ou non de l’outil du big data, ne peut a priori déceler le caractère d’irréversibilité d’un phénomène physique.
      En théorie, rien d’impossible mais les aptitudes intellectuelles des informaticiens se montrent aujourd’hui nettement lacunaires pour cette acrobatie.
      Mathématiquement, c’est basique. Il suffit d’implémenter le signe du délai en fonction du sens de la ligne du temps.
      Mais les informaticiens de 2023 (surtout ceux recensés par le GIEC) sont trop cons pour ces considérations pourtant basiques.

      • Le problème (moins évident) consiste à modéliser la “fonction du signe du délai” ! 🙂
        Ah ! Ah !
        Le jour où un climatologie de la clique du GIEC exprimera cette fonction, ma grand-mère sera pilote de soucoupe-volante !!!

        • Tout ceci sans compter que (d’un point-de-vue fondamental en épistémologie) corrélation, même avec délai, ne signifie pas causalité.

          D’abord, si A , B et C surviennent dans l’ordre, il reste impossible de conclure a priori :
          – si A est cause de B et C
          – ou si B est cause de C
          – ou si aucun lien de causalité n’existe.

          Donc si A reste inconnu, l’antériorité historique de B sur C n’en fait pas sa cause.
          Comme dans les phénomènes complexes, la relation observée entre B et C n’exclut jamais totalement l’existence antérieure et inconnue d’un éventuel phénomène A, l’antériorité historique de B sur C n’en constituera jamais la preuve absolue d’un lien de causalité.

          Tout ceci, avec le recul du paradigme de l’univers-bloc 3D de Minkowski, laissant apparaître que toute interprétation de corrélation, même avec délai systématique dans un sens donné, ne sera jamais qu’élucubration subjective …
          Ceci est une autre histoire. 🙂

    • “est un manifeste reliquat des vieilles inquisitions religieuses irrationnelles et paranoïaques”

      Cela n’a strictement rien à voir. L’inquisition n’a strictement rien à voir avec ce dont vous parlez. Réduire des siècles d’inquisition à : “vielles inquisitions religieuses irrationnelles et paranoïaques”… et comparé cela au mouvement pro-GIEC actuelle

      No comment. Vraiment. Au secours !!!

      Allez vous instruire sur ce qu’ont vraiment été “LES” inquisitions en Europe durant des siècles. Le pourquoi du comment.

      — La légende noire de l’inquisition / KTO TV : https://www.youtube.com/watch?v=ChR8NRfGZRg

      — L’Inquisition médiévale, au-delà de la légende noire : https://www.lefigaro.fr/histoire/2018/04/19/26001-20180419ARTFIG00291-l-inquisition-medievale-au-dela-de-la-legende-noire.php

      Aussi, au passage, car il en est souvent question ici :

      — L’affaire Galilée : un mythe fabriqué par les anticléricaux : https://www.dreuz.info/2018/07/laffaire-galilee-un-mythe-fabrique-par-les-anticlericaux-168375.html

      • Merci pour les liens Nicolas. Il est certain que l’affaire Galilée aura grandement contribué à jeter le discrédit sur cette institution pourtant bienfaisante que fut l’Église.
        L’histoire n’est pas aussi simpliste et manichéenne que celle que l’on nous a apprise à l’école, avec les méchants obscurantistes d’un côté et les partisans du progrès de l’autre.

        PS : Vous voyez qu’il est utile de s’instruire.

  10. @MarieLaure A
    Je voulais revenir sur votre affirmation qu’on mesurait très précisément la quantité de CO2 émise annuellement, ce qui permettrait d’évaluer le “crédit carbone” à utiliser pour limiter l’augmentation de température à un niveau déterminé ( par exemple le fameux +2° des accords de Paris 21)
    J’affirme le contraire, je n’ai pas dit ça sans référence; alors je vous la donne, car elle provient d’un auteur qui est parfaitement dans la ligne “réchauffiste “.
    Je cite,Gilles Rotillon page 27 de l’ouvrage ” le climat et la fin du mois” ,édition Maia,2020 :
    ” le chiffre en question est objet de nombreuses incertitudes; des études utilisant des méthodologie différentes donnent des chiffres très différents. Si le chiffre de 40/42 revient assez souvent, certains parlent de 54Gt/an d’autres de 35Gt/an… une paille!
    comme rigueur i l y a mieux
    les évaluations ne se contentent pas de donner un montant à ne pas dépasser, elles l’associent à un seuil de température et une probabilité de le respecter.
    Ainsi on on trouve des montants allant de -192GT à +779GT pour maintenir le réchauffement sous les 1,5° avec une probabilité de 66%
    d’autres études pour une probabilité de 50% pour la même augmentation de t° vont de -17 à 977GT !
    alors franchement ce crédit carbone, moi ça me fait bien rigoler.. en fait pas tant que ça car ça rend les gens idiots à force de nous balancer ça à la figure

    • C’est parceque vous confondez les tonnes de CO2 et les tonnes.eq.CO2, qui incluent les autres GES (méthane, protoxyde d’azote).
      1 tonne de méthane, c’est 28 t.eq.CO2, 1 t de N2O c’est 298 t.eq.CO2.
      Les émission de CO2 lui-même, issues de la combustion du charbon, du pétrole, et du gaz, sont connues assez précisément, et c’est environ 37 Gtonnes de CO2 par an ces années ci.
      Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir de vous aider.

      • je ne confonds rien du tout, je cite des chiffres officiels figurant dans u livre qui n’est pas de moi, et dont je ne partage pas la teneur, lisez au moins ce qu’on vous écrit, au lieu d’afficher cette condescendance très brionnesque

        • Et bien, je vous ai répondu et ai clarifié vos incompréhensions…
          Et vous, au lieu de me remercier, vous m’agressez.
          C’est fou.
          C’est à me dégouter de rendre service.
          Incroyable !

          • Ce genre de ”service ” je m’en passe…Ainsi vous ne serez plus dégoûtée et tout le monde s’en portera mieux
            Vous n’avez pas répondu à ma remarque concernant les divergences sur les chiffres selon les sources,mais par contre votre condescendance est omniprésente

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