Arthur Corentin, Ph.D.
En juin 2023, sortait dans la revue Geoscience Frontiers de l’éditeur Elsevier, un article du géophysicien Nicolas Scafetta, intitulé « Evaluation empirique du rôle du Soleil dans le changement climatique à l’aide d’enregistrements solaires multi-proxy équilibrés ». Si pour bon nombre de climato-réalistes il est évident que le Soleil est à l’origine des changements climatiques, il reste à essayer de le démontrer solidement pour que cette affirmation puisse être prise au sérieux. C’est à cette tâche que se sont attelés Nicolas Scafetta et bien d’autres géophysiciens depuis de nombreuses années, mais cette publication de juin 2023 constitue, selon moi, un tournant et elle ne peut pas être ignorée.
Comme il le dit dans son article, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) suggère que près de 100 % du réchauffement de la surface observé entre 1850-1900 et 2020 est dû aux émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Cependant, les conclusions du GIEC reposent uniquement sur des simulations informatiques réalisées à l’aide de modèles climatiques globaux forcés par un enregistrement de l’irradiation solaire totale (TSI), qui montre en fait une faible variabilité multidécennale et séculaire. Ces mêmes modèles supposent également que le Soleil n’affecte le système climatique que par le biais de ce forçage radiatif, alors que le climat pourrait également être affecté par d’autres processus solaires ». Ces processus sont regroupés sous le terme d’Activité Solaire Totale ou TSA, dont la TSI ne constitue qu’une partie. La TSA considère aussi l’effet du champ magnétique du Soleil, qui module les flux de rayons cosmiques à l’origine de la formation des nuages ou les changements de rayonnement UV qui ont un impact sur les concentrations en ozone dans la stratosphère, et probablement d’autres mécanismes.
Nicolas Scafetta, spécialiste du Soleil, a donc essayé de prendre en compte la TSA à l’aide, de jeux de données incluant trois nouveaux enregistrements de TSI allant de 1700 à 2022, déjà utilisés pour des études sur les changements climatiques. L’un d’eux, proposé il y a 30 ans, présente de fortes variations multidécennales et il a été complété par des données plus récentes acquises avec le radiomètre ACRIM de la NASA.
Pour modéliser l’effet de ces jeux de données, il a considéré que les températures terrestres globales et les températures de surface de la mer (SST) nommées T(t), sont déterminées par trois composantes : l’activité anthropique, l’activité volcanique et l’activité solaire. Puis, il a dérivé la fonction T dépendante du temps t, par rapport à ces trois composantes pour déterminer leurs coefficients de sensibilité respectifs, fonctions essentielles pour discriminer l’impact de chacune des composantes sur l’évolution de la température. Il s’est ensuite servi de ses trois jeux de données pour simuler des variations de température et observer la corrélation avec les enregistrements de T(t).
Pour s’assurer de la validité de ses simulations, il a reproduit tout d’abord, la simulation du GIEC à partir des données de son dernier rapport. Sans surprise, il est arrivé à la même conclusion : le rôle du Soleil est mineur et la composante anthropique est prépondérante sur les autres, du fait de la faible variabilité de la TSI du jeu de données utilisé. En utilisant les trois jeux prenant en compte la TSA, sa modélisation suggère qu’elle pourrait avoir un impact 4 à 7 fois plus important que l’impact de la TSI seule, ce qui implique que l’effet du Soleil sur le climat pourrait être dû à d’autres mécanismes que ceux du forçage par la TSI. Les personnes avisées le savaient déjà, mais il fallait le démontrer. Cette simulation montre aussi que l’effet des variations de l’activité solaire pourraient être comparable à la composante anthropique et que sa corrélation avec les enregistrements de température globale et de SST est meilleure que celle obtenue par le GIEC. Enfin, elle montre que la sensibilité climatique à l’équilibre ou ECS (résultat d’un doublement de la concentration en CO2), serait située entre 0,8 et 1,8 °C en prenant pour la simulation, uniquement les températures terrestres, et 0,6 à 1,6 °C avec uniquement les SST, alors que pour le GIEC, l’ECS est « probablement » situé entre 2,5 et 4 °C.
Cette publication vient donc en opposition frontale avec le sixième rapport du GIEC sur l’évaluation des changements climatiques, et elle ne peut être ignorée. Attendons les arguments qui lui seront opposés.
Les arguments qui lui seront opposés seront ceux qui sont systématiquement utilisés : il ne faut pas donner la parole aux hérétiques qui usent de leur raison pour douter de la Vérité absolue et nuisent aux efforts de nos dirigeants qui ne veulent que notre bien en nous obligeant à mettre notre chaudière à gaz à la poubelle et à rouler en bagnole à piles !
Les sources de chaleurs : si on regarde les compositions des roches du manteau, on remarque que le degré d’ionisation du Fer est plus faible qu’en surface. Par conséquent, lorsque ces roches sont mises au contact de l’atmosphère, une réaction chimique d’oxydation se fait, laquelle produit de la chaleur.
Le décalage des conditions chimiques entre l’intérieur du globe terrestre et son enveloppe gazeuse est donc source de chaleur.
D’où tout ces gisements de matières souterraines (pétrole, gaz, hydrogène), qu’il suffit d’oxyder pour récupérer de l’énergie.
Par exemple, l’oxydation d’une tonne d’ion Fe2+ en 1 Tonne d’ion Fe3+ produit une chaleur de 1GJ.
Il y a donc une dynamique chimique propre à la planète, où, littéralement, les roches du manteau, réductrices, sont “consumées” par l’atmosphère, oxydante.
Je ne comprends pas pourquoi les géophysiciens n’ont pas encore saisis cette dynamique d’ensemble.
C’est bien dommage, parce que cela explique pourquoi on trouve l’énergie sous nos pieds. Cela explique la formation d’hydrogène. Cela pourrait expliquer nombre d’autres choses.
Je dis ça, c’est une piste à explorer.
Jean-Paul a raison. Se battre sur le plan scientifique est inutile. En attendant que le débat purement scientifique revienne, ce qui risque de prendre du temps vu le lavage de cerveau généralisé, il faut se battre sur le plan politique, idéologique et médiatique.
Sur le plan scientifique il n’y a que deux sources de chaleur susceptibles de réchauffer la Terre, le soleil et le magma. Tout le reste n’est que littérature. Le magma lui refroidit peu à peu, le soleil peut avoir des périodes plus chaudes en vieillissant.
S’il se transforme petit à petit en étoile variable,ou pire, brusquement en supernova, là on est mal !
Dans 5 milliards d’années à peu de chose près
Les scientifiques, eux, apportent des réponses factuelles à ces questions. Oui, disent-ils, l’activité variable de notre Soleil a une influence sur les températures sur Terre. Au maximum d’un cycle, l’énergie solaire que nous recevons est en effet légèrement plus importante qu’au minium. De l’ordre de 0,1 %. Avec pour effet une augmentation des températures mondiales de +0,05 °C à +0,1 °C.
Tiens, ce cher “professeur” Cooper, qui ressasse ses croyances (sans poster de photos de femmes nues ici, comme il s’obstine à le faire sur d’autres forums).
“Les scienfifiques”, Monsieur, cela n’existe pas. De très nombreux scientifiques sont en désaccord total ou partiel avec votre assertion et il est probable que bon nombre d’entre eux vous dépassent de la tête et des épaules dans leur(s) matière(s).
Quels scientifiques ?
Cooper,
C’est tout ce que vous avez à répondre ?
Pour amorcer un débat faut déjà savoir de qui on parle…
Votre malhonnêteté intellectuelle ne vous honore pas. Le présent site en comporte un certain nombre et, surtout, publie de nombreux documents produits par des scientifiques largement reconnus.
Peut-être n’avez-vous pas encore eu le temps de prendre connaissance de ces textes ?
Le site https://www.science-climat-energie.be pourrait vous aider également à compléter votre information. Il n’en manque pas d’autres, en particulier si vous lisez et comprenez bien l’anglais.
Le jour où vous dévoilerez enfin qui vous êtes exactement, Monsieur le professeur de sciences physiques à l’université (de Strasbourg ?), une discussion réellement scientifique pourrait s’établir, avec échange d’arguments et non de petites phrases lapidaires, les vôtres étant malheureusement le plus souvent bourrées de fautes d’orthographe (voir d’autres forums).
N.B. : les fautes de frappe n’en sont pas de vraies. C’est le cas de mon “scienfifiques” et de votre “minium”.
Si vous voulez discuter sérieusement évitez de proposer des https://www.science-climat-energie.be
Sinon je note toujours une absence de noms.
Vous croyez raisonnablement que Sheldon Cooper, antisémite notoire et pourvoyeurs d’images pornos, va dévoiler son identité après le volume d’ordureries qu’il a déversé ces 3 ou 4 dernières années ?
C’est juste le prof lambda d’un établissement de seconde zone qui essaie d’exister. Il est incapable de soutenir le moindre débat, il ne l’a jamais fait, pas plus ici qu’ailleurs, et ne le fera jamais. Les rares fois où la discussion a pu s’engager sur un plan scientifique il a très vite perdu pied et ce fut pour lui une humiliation cinglante, suivie comme à chaque fois d’une fuite avec digression, déni et autres pirouettes dont il est coutumier.
Cette médiocrité suffit à son bonheur, soyez indulgent.
J’attends toujours…
Comme il n’y a pas moyen de répondre à votre remarque du 21 novembre 2024 à 18 h 25 min, je le fais ici. Si vous prenez la peine de consulter le site que je vous proposais d’aller inspecter, vous auriez trouvé le nom de chacun des auteurs qui y ont été publiés : https://www.science-climat-energie.be/auteurs-sce/
Je cite leur présentation générale (onglet “Home”) : “Nous sommes des scientifiques belges. Nous avons le titre de Professeur ou celui de Professeur émérite, et nous sommes issus de diverses universités. Ensemble, nous couvrons plusieurs domaine de la science : biologie, chimie, géologie, mais également physique et mathématiques”.
Les articles sont classés en trois catégories (je cite) :
“Article SCE : texte rédigé par un scientifique compétent (pas nécessairement universitaire ou enseignant), bien documenté, enrichi de graphiques ou de tableaux et accompagné de références.
Carte Blanche : texte de caractère plus général mais cohérent concernant le climat ou l’énergie, envisageant éventuellement des aspects économiques ou sociaux.
Opinion : texte court exprimant, sous la responsabilité de l’auteur, son opinion quant à la façon dont sont traités par les médias ou les décideurs politiques les problèmes concernant le climat ou l’énergie”.
Dans tous les cas, je vous lis depuis plusieurs années et rêve de vous voir débattre avec d’autres personnes que les lecteurs de sites comme celui-ci, mais bien avec les auteurs.
Ce sont par des articles scientifiques. Au sens ils ne sont pas publiés dans des revues à comité de lecture. Ce sont juste des articles qui expriment l’avis de leurs auteurs. Et dont 99 % ne sont des chercheurs dans le domaine du climat.
MLA sort de ce corps…..
Oui. Et ?
Le 18 novembre 2024 à 13 h 57 min, frederic Sommer a dit :
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/technologie-et-sciences/pourquoi-l-effondrement-de-l-amoc-un-courant-majeur-de-l-atlantique-inqui%C3%A8te-les-scientifiques/ar-AA1t54Nl
A lire absolument ou d’autres articles concernant cette réunion et ce sujet qui nous rappelle des perles laissées par Rahmstorf et Michael Mann qui ont participé à cette réunion ; sont-ils à Bakou en ce moment ?
Le CO2 comme tous les GES ne fait plus que changer le gradient dans l’atmosphère , il modifie les courants océaniques ; et surtout , à écouter les deux climatologues ci dessus il ne faut surtout pas changer les décisions politiques tels que les accords de Paris ou les conclusions de la prochaine COP
Comment, par peur d’une catastrophe hypothétique, produire une catastrophe économique et humanitaire ?
Demandez à nos politiques, hypnotisés par les délires climato-prophétiques !
Gardez vos prophètes de l’apocalypse pour vous. En science, on propose des hypothèses, qu’on s’attache à vérifier. Or que propose ces experts pour vérifier leurs assertions ? Rien.
La catastrophe économique et humanitaire ne concerne pas tout le monde et de la même façon
Du fossile à Bakou( bas coût) il n’y en aura plus pour cent ans au rythme actuel; donc il faut l’économiser , surtout pour nos jeunes politiques qui en ont besoin encore pour un certain temps pour passer 15 jours de vacances aux COP¨:mais de toute façon la catastrophe économique qui se présente à cause de la politique climatique , la raréfaction des fossiles , la peur du nucléaire ( qui peut aussi bien faire du bien ou du mal) sera humanitaire , mais pas pour tout le monde comme cela s’est passé dans les siècles et millénaires passés
Faudrait surtout que le monde évite de dépenser des sommes pharaoniques pour entretenir des guerres , des énergies renouvelables et des dévoppements économiques qui ne seront jamais amortis
Votre discours est assez confus. On croirait qu’après les fossiles il n’y aura plus rien. Bien sûr que si ! La physique trouvera d’autres sources d’énergie, par exemple les voyages par antigravitation. On y travaille déjà mais on n’en parle pas trop pour ne pas déstabiliser l’économie mondiale. A moyen et long terme l’homme circulera dans notre système solaire et dans la galaxie par des moyens bien différents des fusées actuelles. Ne pas comprendre cela c’est faire preuve d’un obscurantisme restreint scotché sur notre époque. Si tout le monde pensait comme vous et les écolos hystériques du CO2, on n’aurait plus qu’à se flinguer. Il faut faire confiance à la science, aux progrès de la physique et au destin de l’homme. D’ores et déjà les surgénérateurs avec nos réserves d’uranium appauvri nous promettent des millénaires d’électricité. Pour le reste cela déborde du contexte de ce site. Juste un indice, il y a des années-lumière entre « l’effet de serre » et la manipulation de l’espace-temps.
Je ne pense pas que le moment soit de parler d’un progrès hypothétique, et malgré le fait que je n’accorde pas plus que vous créance à ces confusions d’origine soit disant scientifique, je crois que parler ainsi serait contraire à la pensée d’un réaliste, qui ne considérerait les avancées que d’un point de vu actuel et non futuriste. Vous n’aimez pas les prophètes mais peut-être en avez vous le langage
Bonjour fredéric,
Je suis bien d’accord sur les énergies renouvelables, qui sont une véritable gabegie. Par exemple, j’ai découvert il y a peu qu’une loi impose aux grandes surfaces de faire des ombrières photovoltaïques sur 80% de leurs parking. Vu l’importance de l’investissement, nul doute que ce sont les clients qui vont financer.
Sur le pétrole : attention, qu’il soit “fossile”, c’est une hypothèse, non une vérité, qui s’est propagée depuis le début du xxème siècle. Mendeleïev, père de la Chimie, le pensait abiotique. C’est l’intérêt des compagnies de soutenir l’hypothèse fossile, car, ce qui est rare est cher.
Mais cette hypothèse est insoutenable pour le gaz. On sait bien que les hydrocarbures sont très présents dans l’espace et sur les autres planètes. Par exemple, Neptune et Uranus sont plein de méthane.
Donc, non, je ne partage pas ton pessimisme. Personne ne peut prédire pour l’heure la fin des hydrocarbures.
Encore un cas d’école de l’art user de la peur d’une catastrophe hypothétique pour engendrer une vraie catastrophe économique.
Quant à ceux qui s’en sortiront ? Les riches…
“80% du parking”
En fait 50% d’une superficie > 1500m2, mais c’est un détail qui n’ôte rien à votre propos.
@Zagros
“””” Si tout le monde pensait comme vous et les écolos hystériques du CO2, on n’aurait plus qu’à se flinguer.””””
Ne faites pas cela , il y en a qui s’enchargeront
@FM
“””Mais cette hypothèse est insoutenable pour le gaz. On sait bien que les hydrocarbures sont très présents dans l’espace et sur les autres planètes. Par exemple, Neptune et Uranus sont plein de méthane.
Donc, non, je ne partage pas ton pessimisme. Personne ne peut prédire pour l’heure la fin des hydrocarbures.””””
ET oui , l’atmosphère terrestre il y a 4 milliards d’années pesait 80 fois plus que celle d’aujourd’hui et était composée principalement de CO2 ; mais la vie est apparu a fixé ce CO2 et la sédimentation la intégré dans l’écorce terrestre , dans la croute carbonatée et un peu dans les fossiles ( gaz , pétrole charbon)
Vous me parlez d’une situation d’il y a 4 milliards d’années et de son évolution comme si c’était une évidence…
Je pense qu’il conviendrait d’être beaucoup plus modeste quant à la valeur de ces théories.
Non pas qu’elles ne soient pas intéressantes, mais ce serait dommage de s’aveugler à cause d’idées préconçues.
@FM
Faut prendre contact avec Elon Musk pour aller sur Mars dans un premier temps , puis sur Neptune et Uranus pour assurer notre futur énergétique
Nul besoin d’aller si loin : la solution est empirique, et c’est celle qui est aujourd’hui employée : il suffit de forer dans le sol.
Les ions Fe des roches du manteaux (ringwoodinte, olivine,…etc) sont à un degré d’oxydation inférieur à ceux de la surface. Une roche du manteau terrestre, lorsqu’elle est mise en surface, aux contacts de ses eaux ou de l’atmosphère, spontanément, s’oxyde, ce qui libère de l’énergie sous forme de chaleur.
C’est un phénomène absolument général qui n’a strictement rien à voir la vie du passé. Il y a un décalage entre les conditions chimiques souterraines et aériennes. A quoi c’est dû, c’est une énigme. Mais tout se passe comme si, littéralement, l’atmosphère oxydante, consumait les roches de la planète.
En particulier, dans certains cas, ce phénomène produit des dégazements naturels d’hydrogène.
C’est pourquoi, empiriquement, on trouve nos sources d’énergie en creusant.
Donc, oui, je le maintiens, je ne crois pas que l’énergie soit si rare pas plus que je ne pense que l’homme puisse en manquer à cours terme.
@FM
“”””C’est pourquoi, empiriquement, on trouve nos sources d’énergie en creusant.””””
Vous avez raison , cela c’est toujours passé ainsi : pour le lignite avec nos ancêtres , le charbon , le pétrole ( pour Pechelbron ils creusaient) après ils foraient; pour le lithium , la géothermie , l’uranium, le cuivre , il faut creuser et j’arrête là
tout compte fait , il n’y a que deux solutions; aller vivre au soleil ou près d’un volcan
Pour moi il me semble évident que l’on doive considérer l’impact du soleil en terme de tsa et non pas uniquement le tai. Je ne peux limiter la variabilité de la température du climat à un seul facteur comme le CO2. car il y’a trop de capacité thermique différentes sur la terre qui produisent des délais de transfert d’énergie…océans, humidité atmosphérique, masses continentales etc
Je pense que cette article pousse à réfléchir sur la recherche non pas d’un facteur linéaire, mais d’un ensemble de facteurs qui s’additionnent… facteur de plusieurs ordre.