Une évaluation du narratif habituel sur le réchauffement climatique mondial

D’après Richard Lindzen

Le texte qui suit est le résumé d’un article de Richard Lindzen publié par le GWPF(Global Warming Policy Foundation) sous le titre An assessment of the the conventionnal glogal warming narrative.

La version française du document est accessible en cliquant sur ce lien.

(Traduite par Camille Veyres).


Résumé

L’image unidimensionnelle de l’effet de serre et du rôle du dioxyde de carbone dans ce mécanisme domine les représentations actuelles du climat et du réchauffement climatique. Nous passons brièvement en revue cette image. Nous discutons ensuite des lacunes de cette approche lorsqu’il s’agit de traiter le système climatique tridimensionnel. L’un des problèmes consiste à déterminer quelle température sur la Terre réelle correspond à la température dans le traitement unidimensionnel. Cela conduit à bien voir
selon la conception traditionnelle que la Terre a, en fait, à l’heure actuelle, de nombreux climats. En outre, la différence de température entre les tropiques et les régions polaires a connu de profonds changements au cours des millénaires, mais dans le même temps, la température des régions tropicales a peu changé. Le narratif habituel suppose que les petits changements dans les tropiques sont amplifiés aux hautes latitudes. Cette hypothèse n’est pas fondée. La différence est plutôt déterminée par les flux de chaleur dynamiques dans l’atmosphère et les océans, le flux de contrôle étant dû à l’instabilité barocline dans l’atmosphère. Les changements de la température moyenne sont principalement dus aux changements de la différence tropique-pôle, et non aux changements de l’effet de serre. La stabilité des températures tropicales face à des flux de chaleur fortement variables en provenance de ces latitudes indique l’existence de fortes rétroactions négatives dans la réponse radiative-convective des tropiques.
Enfin, nous commenterons les prétendus impacts du changement climatique.

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5 réflexions au sujet de « Une évaluation du narratif habituel sur le réchauffement climatique mondial »

  1. Il me semble que le problème des travaux mis en avant par le GIEC est de traiter séparément les nuages et la vapeur d’eau. Aucun bilan global de la molécule H2O dans l’atmosphère, quelque soit son état.C’est il me semble pourtant le plus important.

    • D’autant que la nébulosité est intrinsèquement liée à la concentration de vapeur d’eau dans l’air, et qu’en agissant comme le fait un simple volet qui laisse passer plus ou moins le flux lumineux du soleil selon son degré d’ouverture, son influence sur les températures globales est d’autant plus mal évaluée qu’elle est elle même extrêmement mal quantifiée.

    • J’ai vu le film en question, un véritable chef d’œuvre dans son genre, les méchants climato-sceptiques d’un côté, et de l’autre les gentils militants qui veulent sauver la planète, un montage à la façon d’Elise Lucet. Encore que le débat qui a suivi ce documentaire était plus hallucinant, les quatre intervenants dont un membre du
      Giec défendaient les actions des fanatiques décérébrés qui se collent aux tableaux dans les musées, ou bloquent les routes. Par contre ils étaient scandalisés par G Darmanin qui a qualifié d’eco-terroristes ces gentils militants.

  2. J’ai vu le film en question, un véritable chef d’œuvre dans son genre, les méchants climato-sceptiques d’un côté, et de l’autre les gentils militants qui veulent sauver la planète, un montage à la façon d’Elise Lucet. Encore que le débat qui a suivi ce documentaire était plus hallucinant, les quatre intervenants dont un membre du
    Giec défendaient les actions des fanatiques décérébrés qui se collent aux tableaux dans les musées, ou bloquent les routes. Par contre ils étaient scandalisés par G Darmanin qui a qualifié d’eco-terroristes ces gentils militants.

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