Le pic de chaleur de 2023, un épisode dont les causes sont multifactorielles

Il y a débat sur les causes du pic de chaleur de 2023, notamment en septembre (+0,9°C selon les mesures satellitaires UAH). Une partie de la communauté scientifique s’interroge sur une possible conjonction de facteurs autres que le RCA (Réchauffement climatique anthropique) qui pourrait expliquer cet écart exceptionnel, comme l’explique dans l’article ci-dessous Marie-Hélène Althaus.


Par Marie-Hélène Althaus

Article publié le 5 octobre 2023 par le groupe Facebook Le climat, c’est aussi cyclique !

Comme le sujet me passionne, je vous propose cette synthèse de mes lectures sur les données de température mondiale et la tendance 2023 qui montre un écart exceptionnel qui n’était pas prévu. Pour ceux qui le suivent (pour rappel, il n’est pas suivi par les pairs), même Roy Spencer s’en est étonné en août dernier !

Je vous partage pour commencer le commentaire traduit et illustré d’un graphique de Mika Rantanen sur X-Twitter, un chercheur climatologue à l’Institut de météorologie finlandais (Ilmatieteen laitos) :

« Les données mensuelles ERA5 de septembre 2023 sont disponibles. J’ai encore du mal à comprendre comment une seule année peut marquer une telle augmentation par rapport aux années précédentes. En ajoutant simplement les dernières données, la tendance linéaire au réchauffement depuis 1979 a augmenté de 10%. »

Concernant cette situation exceptionnelle, il y avait déjà débat en août 2023 parmi les scientifiques du climat, certains pensent qu’il y a forcément plusieurs facteurs en jeu: le RCA, la fin d’une longue période La Niña et le retour d’un important El Niño qui a déjà des conséquences mondiales. L’exceptionnelle éruption du volcan sous-marin Honga Tonga en janvier 2022 avec une projection extraordinaire de vapeur d’eau; une baisse notable des sables du Sahara et de la pollution produite par les transports maritimes (aérosols refroidissants) et même le soleil (cycle 25 beaucoup plus fort que prévu, avec un nombre de tâches solaires le plus élevé depuis 21 ans. D’autres affirment qu’il ne faut pas chercher plus loin que le RCA qui s’accélère et le retour d’El Niño.

Concernant le Honga Tonga, une étude récente remet en cause son impact réchauffant car on aurait oublié le souffre émis aussi qui l’a en grande partie compensé.

Reste que nous assistons à un réchauffement exceptionnel des océans qui a provoqué d’importantes vagues de chaleur marines et surtout, encore et toujours El Niño, extrait :

« Le facteur le plus important qui a contribué à faire grimper les températures de la surface de la mer à un niveau record en 2023 a été l’ évolution d’El Niño dans le Pacifique, selon Willis. Il est arrivé à cette conclusion en analysant le moment et l’intensité des anomalies de température de surface de la mer dans plusieurs régions et en les comparant à la tendance mondiale. »

J’ajoute encore l’augmentation des blocages anticycloniques en nombre et durée dans l’Hémisphère Nord, provoqués par des changements dans les courants jet qui se sont déplacés, attribuée le plus souvent à l’homme mais aussi, concernant les anticyclones, au forçage solaire, selon une publication récente (6 mars 2023) de Nature.

Une autre étude publiée en juillet 2023 dans Nature donne des clés de compréhension sur la complexité de l’accélération du réchauffement climatique dans les régions méditerranéennes. Induite majoritairement par des facteurs humains, elle se compose aussi d’une variabilité naturelle comme l’absence d’éruptions volcaniques majeures au cours des deux dernières décennies.

Et pour terminer, la communication de l’agence européenne Copernicus du 5 octobre, concernant septembre 2023 et l’année 2023 jusqu’ici, qui montre les résultats exceptionnels, extraits traduits :

  • Septembre 2023 a été le mois de septembre le plus chaud jamais enregistré dans le monde, avec une température moyenne de l’air en surface de 16,38°C, 0,93°C au-dessus de la moyenne 1991-2020 pour septembre et 0,5°C au-dessus de la température du mois de septembre le plus chaud précédent, en 2020.
  • De janvier à septembre 2023, la température moyenne mondiale pour 2023 à ce jour est supérieure de 1,40 °C à la moyenne préindustrielle (1850-1900).
  • La température moyenne de la surface de la mer en septembre entre 60°S et 60°N a atteint 20,92°C, la plus élevée jamais enregistrée pour septembre et la deuxième plus élevée de tous les mois, derrière août 2023.
  • Les conditions El Niño ont continué de se développer dans le Pacifique oriental équatorial.
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144 réflexions au sujet de « Le pic de chaleur de 2023, un épisode dont les causes sont multifactorielles »

  1. “””””””””Les conditions El Niño ont continué de se développer dans le Pacifique oriental équatorial.””””””
    Impeccable; El Nino nous chauffe et El Nino est lié aux alysées qui sont liés à la rotation de la terre qui n’a rien à voir avec le CO2

    • On peut aussi traduire ces événements exceptionnels comme la preuve définitive que les modèles de prévisions basés sur le RCA ne fonctionnent pas puisqu’ils n’ont rien vu venir.
      Restons tous modestes devant la complexité des phénomènes.

      Et puis sachez que vos blagues à 2 balles ne font rire que vous et ne peuvent que vous décrédibiliser.

    • Je ne sais plus où cela panique le plus ; mais je ne donne plus longtemps au GIEC , ses conférences chez les pétroliers , au climato réchauffisme pour entretenir une transition énergétique ridicule qui continue de nous pomper des taxes et notre pouvoir d’achat qui tôt ou tard réveillera et fera comprendre au peuple la défaillance dans laquelle nous à entrainé cette politique et nos gouvernements

    • François Brionne vous êtes toujours à troller par là vous ? En ce qui me concerne, je ne fais pas partie des Réalistes mais j’ai accepté leur demande amicale de publier sur leur site ma synthèse de la situation climatique actuelle qui est intéressante et questionne les chercheurs. Je m’appuie exclusivement sur de récentes études scientifiques révisées par les pairs. Question panique, on va dire que plusieurs chercheurs sont assez inquiets de cet écart qui n’a pas été anticipé, parmi eux un scientifique du Potsdam Institut, dont voici le commentaire traduit tiré de son post sur X/Twitter: « Nous comprenons le réchauffement climatique causé par les combustibles fossiles : depuis quatre décennies, il se déroule comme prévu.
      Mais nous ne comprenons pas la hausse surprise qui se produit actuellement.
      Et ça m’inquiète. »
      https://x.com/rahmstorf/status/1709979785626046722?s=46&t=OY4pFbgNAmajXcBNRnmplA

      • ” le réchauffement climatique causé par les combustibles fossiles, depuis quatre décennies, se déroule comme prévu.”
        Moi, je suis d’accord.
        Mais on va voir si vos amis (mal-nommés) climato-réalistes sont d’accord avec S.Rahmstorf….

        • Il n’y a pas de profession de foi plus anti-scientifique que ce « se déroule comme prévu ! »
          Prévu par Qui et Comment ?

          … les modèles ont largement fait la preuve de leur côté systémiques et fallacieux, annonçant des évolutions de températures… 3 fois plus élevées que les observations.

          Leur seule légitimité est la vague et chaotique coïncidence de progression depuis 170 :
          – des températures … en sortie dès l’intro »anomalie » Petit Âge Glaciaire
          – du CO2
          Monter une machinerie à incrémentation automatique sur une si infime base d’observation, est une escroquerie alors qu’on dispose de données paléo-climatiques sur des centaines de millions d’années, lesquelles invalident
          … TOUTES … cette théorie simpliste et orientée par l’exploitation politique qu’elle a permis d’introduire.

          Tout ceci alors que les analyse de causalité détruisent définitivement le concept de « Sensibilité Climatique au CO2 « 

          https://www.researchgate.net/publication/360839267_Revisiting_causality_using_stochastics_2_Applications

          https://www.mdpi.com/2225-1154/5/4/76

      • Bonjour Madame

        Ce qui se passe est effectivement étonnant, et montre que les modèles du GIEC ne sont pas valables, ils n’ont rien vu venir.
        Le cycle solaire 25 est effectivement plus actif que prévu, mais il culmine à peine au niveau du cycle 20, vers 1970, et les suivants, 21, 22, et 23 étaient plus intenses.
        El Niño n’est pas exceptionnel, depuis que je m’intéresse à cette histoire de RCA, j’ai appris qu’il s’agit d’un phénomène cyclique connu des scientifiques.
        Et si l’éruption du Tonga-Hunga n’y est pour rien, alors que se passe-t-il ?

        A-t-on trouvé trace d’évènements semblables dans les reconstitutions climatiques du passé ?
        Manifestement, beaucoup de choses nous échappent, et cette histoire de CO2 me semble bien bancale pour tout expliquer…

        En tout cas, merci pour cet exposé clair et concis.

        • Merci de votre message! Soleil: cycle 25 assez fort mais son forçage sur le climat terrestre n’est pas très important. Le volcan Tonga: dernièrement Zeke Hausfather un climatologue de Frontier l’inclut dans les facteurs naturels (je l’ai lu après avoir posté ma synthèse), il dit aussi que les 2 El Niño les plus forts, soit ceux de 1998 et 2016, ont fortement contribué au réchauffement de nos hivers. Il explique également que nous vivons actuellement un rebond de la température mondiale après 3 ans de La Niña la phase froide du Niño (toutes deux réunis sous l’acronyme ENSO).
          Tous ces facteurs réunis sur fond de RCA qui reste le plus important, fait que nous avons ce pic exceptionnel selon ce chercheur. Concernant le CO2, il est le facteur qui explique jusqu’à présent la plus grande partie de l’augmentation de la température mondiale sur le long terme.
          Pour votre info encore, les événements ENSO sont plus intenses depuis env 1970.

          • Bonjour à vous.

            En tout cas, le CO2 ne semble pas être le seul facteur qui pilote le climat, nous en avons la démonstration. Effectivement, ça chauffe, pour autant, cela ne provoque pas la moindre catastrophe, pour l’instant.

            On affirme que le réchauffement observé est anormal -de notre faute- en prenant comme référence la seule série de T° que nous avons. En gros, de 1850 à la fin du 20e siècle.
            Qu’est-ce qui nous dit que la Terre n’était pas “anormalement” froide avant l’ère industrielle ? Existe-t-il une T° “normale” que nous devons absolument maintenir coûte que coûte ?
            Lorsque j’ai fait mes études à l’école militaire, j’ai appris que suite à l’ explosion d’une bombe atomique, il se produit ce que l’on appelle un “hiver nucléaire”. Une éruption volcanique de grande ampleur produit le même effet.
            On veut massivement dépolluer, et même carrément proscrire l’usage du charbon et du pétrole, pourquoi pas. Mais le “zéro émission” absolu ne pourrait-il pas finalement avoir l’effet inverse de ce que nous prétendons vouloir obtenir ?

            Il y a quand même quelque chose qui m’échappe dans tout ça.
            Cet épisode de réchauffement brutal et exceptionnel devrait nous ramener à un peu plus de circonspection. Il semble bien que la Nature se fiche pas de nos prédictions et injonctions.

          • On ne peut pas dire pendant des décennies que le CO2 est le pilote de la température et que 100% du CO2 supplémentaire est anthropique puis affirmer, dès qu’un malencontreux accroc statistique se présente, qu’il y aurait peut-être d’autres causes mais que, peu importe, l’activité humaine reste la coupable. S’il y a aujourd’hui d’autres causes, il y en avait évidemment d’autres hier, au moins autant sinon plus.

            On peut comprendre que des spécialistes travaillant depuis des années ou des décennies sur un modèle établi aient du mal à admettre subitement la vacuité de leur travail. Pourtant, n’avoir qu’un modèle aux explications figées, pratiquement un dogme, donc sans aucune marge de manœuvre, est précisément ce qui rend un travail extrêmement fragile face aux aléas des séries chronologiques. Je vous le dis en toute sincérité après 4 décennies consacrées à travailler des statistiques : la thèse du RCA n’avait aucune chance d’être vraie. Plus le temps passera, plus les preuves contre elle s’accumuleront inéluctablement.

            Alors, et c’est humain, les spécialistes cherchent désespérément un moyen de faire rentrer le carré dans le triangle. Mais devant la preuve indubitable, il faudra tôt ou tard se résigner à admettre que l’explication centrée sur le CO2 anthropique est tout simplement fausse. Il faudra se résigner à admettre que le modèle ne fonctionne plus, qu’il n’a en réalité jamais fonctionné et, qu’en conséquence, les politiques qu’on veut nous imposer au prétexte de ce modèle sont ineptes.

            Ainsi, avec une ironie cinglante dont l’histoire a le secret, c’est un réchauffement qui aura mis fin au réchauffisme.

    • Plus il fait chaud et mieux je me porte 😎 👌
      Je n’ai toujours pas allumé le moindre radiateur électrique chez moi.
      Alors quoi? vive le réchauffement, et pourvu que ça dure!!!!
      Oui, décidément, nous vivons une époque formidable et tant pis (ou plutôt tant mieux) si cette époque bénie donne des boutons aux réchauffistes écolocollapsos 🤪

    • @Brionne, non, non, non, l’ami, tu n’as pas du tout du tout du tout du tout du tout compris 🙄

      Ce n’est pas la hausse des températures qui panique ou énerve les climato-réalistes (perso, plus il fait chaud et mieux je me porte😏), non, ce qui nous énerve franchement ce sont les mesures stupides et bètes prises par nos gouvernants pour tenter de faire croire à la population qu’il suffit simplement de manger des carottes rappées, supprimer le ticket de caisse du supermarché ou faire pipi sous la douche pour faire baisser le thermomètre….là oui, franchement ça m’énerve car on nous prend vraiment vraiment vraiment pour des cons

      Par contre, tu remarqueras que JAMAIS les écolocollapsos n’ont protesté contre ce type de mesures abracadabrantesques…et c’est bien normal car ils adorent prendre les gens pour des cons

    • Madame ou Monsieur Brionne,

      Vous avez raison.

      La climatologie est une science simple, largement comprise, et les accents pour justifier le catastrophisme ambiant, parfaitement justifiés.

      Devant cette simplicité, il est normal que les médias traitent les climato sceptique de la sorte, en les excluant de tout débat, puisqu’il n’y a plus nécessité de débat.

      Prenons un exemple, tous les climatologues ont parfaitement intégré les causes du petit âge glaciaire, qui résistait telle une épine bio dans le pied, aux explications des sachants-qui-ont-le-droit-de-s’exprimer.

      Il est donc normal que nous fassions subir des mutations douloureuses à nos sociétés, normal de faire un endoctrinement massif dans les médias, normal de peser un bébé à son coût de CO2 (la natalité sera LE sujet des prochaines années).

      Il ne me viendrait jamais à l’idée de discuter de modèles scientifiques moins sociétaux, par exemple le moment magnétique du muon, puisque en effet je n’y comprends guère, et qu’il s’agit d’une affaire de spécialistes. Mais en qualité de scientifique, je crois normal de m’intéresser à une science hautement sociétale (qui nourrit les discussions de café), qui n’est que rarement dans la nuance, qui ne donne QUE les mauvais effets d’un réchauffement.

      Les scientifiques du climat sont des gens normaux, passionnés, et souvent passionnants. Il ne leur manquerait que deux choses : l’humilité face à certaines prédictions, et la résistance lorsqu’on sent les premiers stigmates d’un endoctrinement massif, à tous les étages, à commencer par les écoles. Et qui rappelle les heures funestes de l’eugénisme, autre science sociétale, autre forme d’endoctrinement, avec un but, améliorer la race humaine, que l’on pourrait comparer à ‘sauver la planète’.

      Vous m’avez l’air d’une bonne constitution scientifique, normalement cérébré pour reprendre l’un de vos hérauts. Pourquoi porter votre estocade souvent habile à cette communauté de personnes avisées, et rétives aux simplifications, et pas à ceux qui alimentent la peur jour après jour, qui démotivent nos jeunes. Vous croyez ‘réellement’ à une catastrophe climatique ?

      • Ah oui, nous courrons à la catastrophe….
        Réinjecter dans l’atmosphère en quelques dizaines d’années plusieurs centaines de milliards de tonnes de CO2 qui en avait été soustrait lentement, et stocké dans le sous sol, en quelques dizaines de millions d’années, c’est un déséquilibre extrêmement brutal, à l’échelle géologique.
        La dernière fois que le CO2 avait été au dessous de 400 ppm c’était il y a plus de 3 millions d’années et la calotte de glace du Groenland n’existait pas.
        Nous sommes en train de faire une expérience inédite à grande échelle, d’une brutalité inouie.
        Tout aussi inoui que le déni de réalité dans lequel s’enferrent les climato-septiques (sans c)
        https://climate.nasa.gov/rails/active_storage/blobs/redirect/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaHBBK2xrQWc9PSIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoiYmxvYl9pZCJ9fQ==–36e66c856d97392a97346c0d0735e3abd7ed1d87/co2-graph-083122_scaled_scrunched.jpg?disposition=inline

          • Oui. Mais vous non, manifestement. A droite c’est la période actuelle, à gauche, le passé.
            Faut vraiment tout vous expliquez, Ferry.

        • Oh on a bien des labos pharmaceutiques qui font des expériences avec des virus pour mieux vendre leurs “vaxins”, on n’est plus à ça près 🙂
          La chaleur sera bien le dernier des soucis pour bon nombre de personnes.

        • Brionnette, c’est rigolo de voir un petit donneur de leçon de votre espèce se faire avoir par un graphique pseudo-scientifique truqué.

          Brionnette, où se trouve le trucage dans ce graphique ? Qu’est-ce qui ne va pas avec ce graphique Brionnette ? Pourquoi c’est pseudo-scientfique ? Pourquoi c’est une hérésie scientifique ?

          Allez, un peu de réflexion, de recherche, et vous trouverez.

          Bonne chance.

          • Carras qui ne comprend pas le principe de conservation de l’Energie va expliquer à la NASA comment faire un graphique ?

        • Brionette : “Carras qui ne comprend pas le principe de conservation de l’Energie va expliquer à la NASA comment faire un graphique ?”

          Vous vous faites avoir par un trucage. Cherchez, et vous trouverez peut-être.

          Concernant la loi de conservation de l’énergie, vous persistez avec ça ?

          Vous êtes malade ou quoi ? Dites nous si vous avez des problèmes d’ordres cognitifs, on comprendra.

          Vous ne savez pas que la loi de conservation de l’énergie n’est d’application que pour un système isolé ? Je vous l’ai expliqué par A+B.

          L’atmosphère n’étant pas un système isolé, la loi de conservation de l’énergie n’y est pas d’application.

          Retournez à l’école Brionne. Au lieu de prendre les gens ici pour des imbéciles.

          Concernant la loi de conservation de l’énergie :

          — Conservation de l’énergie:

          La conservation de l’énergie est un principe physique, selon lequel l’énergie totale d’un système isolé est invariante au cours du temps1. Ce principe, largement vérifié expérimentalement, est de première importance en physique, et impose que pour tout phénomène physique l’énergie totale initiale du système isolé soit égale à l’énergie totale finale, donc que de l’énergie passe d’une forme à une autre durant le déroulement du phénomène, sans création ni disparition d’énergie.

          Définition : Un système isolé se compose d’un ensemble d’objets physiques (généralement des particules : atomes, photons, etc.). Il est dit « isolé » s’il n’échange avec l’extérieur ni énergie par l’intermédiaire de forces (par exemple : gravité, magnétisme), ni matière (on n’enlève ni n’ajoute de particules ayant une masse au système). En particulier, le système isolé n’échange pas de photons avec un autre système.

          Ce principe, émis en physique newtonienne, suppose implicitement que le référentiel du système est inertiel. Dans un référentiel non inertiel, ce principe n’est pas valable, un mouvement pouvant y apparaître spontanément1.” – Wikipedia

          Donc l’atmosphère n’étant pas un système isolé, (de l’espace, cosmos) la loi de conservation de l’énergie n’est pas d’application.

          ////////////////////////////////////////

          — “En thermodynamique on appelle « système » l’objet que l’on étudie et « environnement » tout le reste de l’univers. On distingue ensuite trois types de système :

          – « ouvert » qui peut échanger avec l’environnement de l’énergie ET de la matière
          – « fermé » qui peut échanger avec l’environnement de l’énergie mais PAS de la matière
          – « isolé » qui ne peut échanger avec l’environnement NI énergie, NI matière.

          La nature du système doit évidemment être bien définie avant toute discussion. Ainsi, le système Terre, en tant que « globe terrestre » est un système ouvert puisqu’il échange avec son environnement matière ET énergie (vapeur d’eau et rayonnement, par exemple). Par contre, le système Terre-Atmosphère est un système fermé puisqu’il ne peut PAS échanger de matière avec son environnement (le reste de l’univers) mais il peut échanger de l’énergie (reçue du Soleil et réémise sous forme de rayonnement détecté par satellite). Ni l’un, ni l’autre ne sont des systèmes isolés

          Ce n’est qu’au sein d’un système isolé que le 1er principe de la thermodynamique est d’application : il y a conservation de l’énergie mais elle peut se convertir en différentes formes (électrique, mécanique, thermique ou rayonnement, par exemple). Il est clair que le principe de conservation de l’énergie ne peut PAS s’appliquer au système Terre-Atmosphère qui n’est PAS un système isolé.” – Prof Geuskens

          • La conservation de l”énergie dit que la variation de la quantité d’énergie d’un système est égale au cumul des entrées moins le cumul des sorties.
            C’est nul dans le cas d’un système isolé, non nul dans le cas d’un système non isolé.
            Si vous acceptiez d’utiliser votre cerveau et de répondre à cette question, vous le comprendriez.; Si on apporte de la chaleur à un système de manière constante, mais qu’on baisse sa perte de chaleur, sa température va augmenter ?.
            Si vous êtes sûr de vous, vous n’avez rien à craindre, Carras, hein ? De quoi avez vous peur ?.

          • Brionette :

            Si le système n’est pas isolé, il ne peut pas y avoir conservation de l’énergie.

            Vous êtes stupide à ce point ?

            Puisqu’il y a de l’énergie qui s’échappe du système : vers espace, cosmos.

            Même mon neveu en CAP électricien qui aime les sciences a été capable de me l’expliquer.

            Vous n’allez pas ici réinventer les lois physiques.

            Vous avez affirmé que la loi de conservation de l’énergie prouve que le CO2 de l’activité humaine réchauffe la planète.

            Vous êtes totalement demeuré Brionette. Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons (et du LSD).

            HA HA HA !

        • Brionnette qui réinvente les lois physiques, après la loi de conservation de la masse, la loi de conservation de l’énergie.

          Selon lui, la loi de conservation de l’énergie, qui n’est donc pas d’application dans l’atmosphère car n’étant pas un système isolé (de l’espace, cosmos), pourrait prouver que le CO2 de l’activité humaine “réchauffe” la planète.

          HA HA HA !

          Bionnette, vous passez votre temps ici à nous prendre ouvertement pour des abrutis.

          Juste une question : are you real ? Ou êtes vous un membre du cirque Bouglione ?

        • Vous affirmez: “La dernière fois que le CO2 avait été au dessous de 400 ppm c’était il y a plus de 3 millions d’années et la calotte de glace du Groenland n’existait pas.”
          Bravo Brionne !
          Je vous ai démontré que le CO2 est resté aux environs de 280 ppm pendant 18 siècles entre l’époque romaine et la fin du Petit Age Glaciaire, mais vous l’avez déjà oublié pour sortir vos balivernes !

          • Et comme si l’on pouvait connaitre avec exactitude le niveau de CO2 d’il y a 3 millions d’années.

            Il n’arrive pas à comprendre en quoi la courbe qu’il a postée est de la pseudo-science, et il vient faire la leçon.

            Brionnette, ça va ? Vous prenez quoi ? Ça a l’air costaud en tout les cas.

            HA HA HA !

    • Dis donc, trou du cul, t’as personne d’autre à venir emmerder ? Tu te sens seul dans la vie ? Ta femme t’a abandonné en te laissant les gosses à charge ? T’es au chômage longue durée ? Va plutôt emmerder quelqu’un d’autre, on s’en bat les couilles de tes pseudo arguments bidons !

    • Bonjour Mister Bean ! Il semblerait que la panique serait plutot du coté de l’escrologie dont toutes les affirmations mensongères sont systématiquement démontées par les observations .

  2. ces chiffres se référant aux moyennes sont une indication certes, mais ces perpétuelles mentions des moyennes n’est-elle pas trop réductrice gommant des disparités possibles selon les endroits?
    ma réflexion est forcément naïve, mais faire des moyennes sur des échantillonnages énormes est souvent source de biais grossiers

    • @gillot

      Je suis de votre avis, cette obsession des moyennes est peut-être excessive. Mais si toutes ces moyennes sont calculées selon la même procédure, et donc comparables entre elles, ça permet de se faire une idée.

      D’après meteo&radar, en ce moment à Reykjavík, la T° est de 1°C, et 5°C à Moscou…

      Vous avez raison, Mr Brionne, c’est probablement plutôt quelques pets de bovins en supplément, les responsables.

  3. Ah les prévisions, les modèles, c’st bien dificile de prédire l’avenir et compliqué d’interprêter le passé.
    Dernier exemple d’actualité : El Nino
    Le 6 octobre dernier, Meteo France a écrit : “l’épisode El Nino est prévu de se renforcer au cours des prochains mois. Il pourrait appartenir à la catégorie des évènements forts”.
    Mais le 3 Octobre, la NOAA (l’agence américaine pour le climat et la météo) a écrit : “a moderagte strength El Nino is favored”
    Alors El Nino ? fort ou pas fort ?

  4. Bonjour. J attire l attention de l association sur l auteur de cette publication, Mme ‘‘révisée par ses pairs’’ Marie Hélène Althaus. Si ses synthèses sont souvent intéressantes ( meme si elle ne fait qu’aller chercher des articles ailleurs) son côté fantasque et tres peu ouvert a la discussion la rend finalement peu crédible. Je me suis fait exclure hier de son groupe Facebook parce que ( en résumé) j avais osé poser un avis qu elle ne partageait pas… elle m’a meme accusé de tenir des propos diffamatoires….! Son obsession ( je n’ai pas trouvé d autre terme) pour le ‘’révisé par ses pairs’’ la rend presque ridicule et sa tendance a la sur interprétation de ce qu’on dit dessert complètement ses propos qui, a la base, restent intéressants.

    • Vous avez été exclu du groupe que je gère parce que la règle qui y prévaut aujourd’hui veut que pour les sciences du climat, il faut des sources fiables, ce que vous n’arrivez ni à comprendre, encore moins à respecter. Pour rappel, un groupe sur fb c’est un peu comme une société dans la vie physique, il y a des règles internes. De coup, c’est vous au départ qui vouliez quitter le groupe après votre question dont les propos, dans l’échange qui a suivi, ont dégénéré. J’invite ceux qui sont dans ledit groupe à vérifier. Mais comme vous tardiez, je vous ai un peu devancé.
      Et voilà que je vous retrouve (exceptionnellement pour moi ici) à continuer de propager des propos inexactes et accusateurs à mon égard. Définitivement affligeant.

    • @laurent lamatiere
      Et je vous cite : « Si ses synthèses sont souvent intéressantes (meme si elle ne fait qu’aller chercher des articles ailleurs) » … OMG 😳 c’est ici et à ma grande surprise que je vois votre ignorance totale de ce qu’il se passe dans le groupe auquel heureusement vous n’appartenez plus. Où auriez-vous souhaité que j’aille chercher les articles sinon en dehors du groupe ? 😳

      Mais savez-vous seulement quels articles je vais chercher ailleurs ?? Ce sont le plus souvent des publications et études scientifiques complexes les plus récentes possibles, qu’il faut savoir souvent lire en anglais car la traduction automatique peut être piégeante. Puis bien les comprendre et les rendre le plus accessibles possible pour les membres. Que sélectionner, résumer et commenter sans trahir le contenu scientifique est très difficile.

      Mais cet investissement vaut la peine, d’une part parce que le sujet est passionnant, d’autre part parce qu’ainsi les membres sont au courant de manière fiable de ce qui se passe aujourd’hui dans le sujet climat.

      C’est sûr que ce n’est pas à la portée de tout le monde, qu’il est plus facile de se défouler dans des conversations de café du commerce au ras des pâquerettes, dans lesquelles on n’a rien besoin de prouver.

      En fait je m’aperçois, grâce à cette histoire, que vous n’avez absolument rien compris de la démarche (plébiscitée pour rappel par sondage). J’avoue être perplexe par tant de limite, je ne pensais quand même pas que c’était à ce point. Désolée de vous avoir dérangé, quoi dire d’autre là ? 🤭

  5. La mesure satellitaire comparée aux trois dernières décennies proposée par Spencer (une des mesures les plus fiables parce qu’elle évite l’écueil des ICU) montre un léger refroidissement en janvier dernier suivi d’un réchauffement à +0,9 °C en quelques mois. Ce dernier est tellement rapide qu’il ne peut être que naturel. Qui l’eût cru ? C’est par un réchauffement que la pseudo-science réchauffiste est tombée. Le réchauffement spectaculaire des derniers mois est en effet proprement révolutionnaire pour la science climatique soi-disant établie. Toutes les quilles théoriques sont tombées d’un coup. Strike !

    Plusieurs remarques :

    – nous savons désormais que les modèles incapables de modéliser le refroidissement / réchauffement des derniers mois sont caducs. Il va falloir remplir la poubelle puis trouver autre chose d’un peu plus puissant, des théories qui ne s’effondrent pas lamentablement au premier petit accroc révélé par les séries chronologiques.

    – puisqu’elle est naturelle, d’autres variations aussi spectaculaires ont forcément existé dans le passé et les proxies qui n’en font pas mention d’une manière ou d’une autre montrent qu’ils sont faux ou vulgairement imprécis. Poubelle à nouveau ; elle est bien pleine maintenant mais il reste encore de la place pour l’ego démesuré de certains réchauffistes, qu’ils soient scientifiques, politiciens ou journaleux.

    – en même temps que la température refroidit puis rebondit, on observe un léger ralentissement de la croissance du CO2 à Mauna Loa qui poursuit son rythme saisonnier, pépère. Il n’y à l’évidence aucune corrélation de court terme entre les températures et le CO2. Le pouvoir réchauffant du CO2 apparaît ainsi au moins surestimé sinon nul, sans quoi le refroidissement de janvier dernier suivi d’un tel rebond n’aurait pas été possible.

    Je vous propose un petit exercice mental. En oubliant complètement le CO2, quels facteurs pourraient raisonnablement expliquer l’évolution des températures du siècle dernier jusqu’à aujourd’hui ? C’est en répondant à cette question qu’on aura une chance de mettre un peu d’ordre dans la compréhension de variations climatiques par nature chaotiques. ACP, séries de Fourrier, etc. : les outils statistiques ne manquent pas pour constituer les bases objectives du raisonnement.

    • @Roger

      Votre point de vue est très pertinent, hélas, je crains que cet épisode exceptionnel et mal compris ne fasse que renforcer l’hystérie climato-réchauffiste. Les climatologues du GIEC, l’air penaud, expliqueront qu’ils ont juste été un peu trop prudents, mais qu’ils avaient raison. Et les journaleux vont s’en donner à cœur joie. Je ne donne pas cher de la peau des climato-sceptiques.

      “Regardez, ça s’accélère, il y a urgence !!!”
      Le pauvre CO2 aura beau faire et beau dire pour se disculper, jurer qu’il n’y est pour rien, ce sera en pure perte… La foule ivre à la fois de colère et de terreur le clouera au pilori sans autre forme de procès.

      J’espère que je me trompe. J’espère.

  6. Merci à l’auteur(e)
    Perso, n’étant pas (de formation) scientifique, et bien que “formé” par divers blogs que l’on peut qualifier de “réalistes” (je me couvre la tête de cendres), mais pas que,
    une question me turlupine , concernant les vagues/dômes de chaleur :
    en quoi le CO2 peut-il être (le seul) responsable des ces phénomènes qui, si j’ai bien compris, résultent de hautes pressions conduisant à des blocages d’air chaud (en provenance du Sahara pour l’Europe), sachant par ailleurs que je lis que le CO2 est “well mixed” sur toute la planète (je parle de concentration, pas des émissions) ?
    Pour finir, malgré ces anomalies, dans un premier temps météorologies, je persiste à dire, et ce n’est pas facile à entendre par beaucoup de mes proches, que nous ne sommes pas dans du “dérèglement” climatique (n’ayant pas trouvé quel(les) année(s) pouvaient être considérées comme “réglées” (cela doit être ma formation littéraire ,)
    Et à propos de “dérèglement”, le jour où la température maxi de Cherbourg ou Brest sera la même que celle de Nice ou de Perpignan, et ce pendant plusieurs jours/saisons, oui, là je serai le premier à parler de “dérèglement climatique” (nous avons eu ce cas UN jour en septembre 2023 entre Cherbourg et Nice, et encore Nice était tout de même +1° de plus que Cherbourg)

    • @JLVERDEAUX

      Là, vous évoquez une situation météorologique ponctuelle, qui, il est vrai, s’éternise quelque peu.
      Il se produit bien un réchauffement général exceptionnel qui influence forcément la météo. Et on ne sait pas bien pourquoi, à priori.

      Lorsque l’on regarde les séries de T° depuis 1850, on constate qu’il fait chaud l’été et froid l’hiver. Pour l’hémisphère nord, s’entend. Cela n’a pas varié. Il n’y a donc pas de dérèglement climatique. On constate tout au plus une légère augmentation des moyennes, sous réserve de la fiabilité et de la précision des mesures du passé. C’est vrai qu’en France, les hivers sont moins froids, mais ce n’est pas le cas partout dans le monde.
      Il ne faut pas non plus se laisser impressionner par les graphiques présentés, tout est question d’échelle.
      En fait, la querelle ne porte que sur quelques 1/10e de degrés. Nos descendants vont peut-être bien en rigoler.
      Quant au CO2, bien qu’étant de formation scientifique, mais non spécialiste du climat, ni même de la cinétique des gaz, je suis comme vous, assez perplexe. Et je ne trouve pas réponse à mes questions, concernant le bilan énergétique de tout ce processus. Je ne comprends même pas comment un truc plus froid et moins dense, moins massif, peut réchauffer un truc plus chaud et plus dense. Ce n’est pas ce que j’ai appris en physique. Mais bon, n’étant pas spécialiste…

      Il semble évident, en tout cas, que science et politique ne font pas bon ménage…
      Bonne soirée à vous.

  7. Je m’interrogeais sur les évènements terrestres connus qui pourraient expliquer, au moins en partie, ce pic de septembre, précédé déjà par une hausse significative des températures planétaires en juillet et août.
    Et il y a, bien sûr, les incendies énormes du Canada : 18 Mha de forêt partis en fumée dégagent approximativement 1,8 Gtep (giga tonnes équivalent pétrole) sur la base de 330 t de bois à l’hectare et 0,3 tep/tbois.
    Si on compare ces 1,8 Gtep aux 4 Gtep d’énergie primaire consommée par l’humanité (~16 Gtep/an) sur 3 mois, c’est très loin d’être négligeable.
    Approximativement, on peut dire que l’humanité a brûlé 50% d’énergie en plus pendant le 3° trimestre 2023 et ce n’est pas rien.
    Alors, je sais bien, ces 6 Gtep diffusés en 3 mois ne sont absolument rien devant l’énergie solaire reçue pendant cette période (de l’ordre de 30.000 Gtep). Mais quand même, cette concomitance interpelle.
    C’est pour cela que je soumets ma réflexion à vos commentaires réfléchis.

    • L’épisode de réchauffement récent a débuté vers février / mars. Ca semble un peu tôt pour les feux au Canada. Concernant les causes, bien sûr, il y a des criminels incendiaires. Toutefois, ces feux sont plus souvent naturels, conséquence d’épisodes de sécheresse suivis d’orages sévères. Dans une forêt très sèche non entretenue, la foudre ne pardonne pas. Il est donc compliqué d’attribuer l’ensemble de ces feux à l’activité humaine. Il faudrait faire un lien douteux entre sécheresse et réchauffement dû au CO2 émis par l’homme, mais on sait que le CO2 est la conséquence du réchauffement, non sa cause, et qu’il ne contribue pas à la hausse des températures sauf éventuellement à la marge. Dans ce cadre, les incendies canadiens ont peut-être renforcé la hausse spectaculaire des températures de ces derniers mois. Votre hypothèse est intéressante et semble conforme à l’observation du caractère naturel de la hausse. Enfin, les feux émettent des particules qui pourraient favoriser la formation des nuages réduisant l’insolation, avec ici plutôt un effet de refroidissement. On pourrait ainsi assister à un recul des températures tout aussi spectaculaire au cours des prochains mois.

      • Concernant les données satellitaires,

        Même Ryan J. Kramer, ayant travaille à la NASA, spécialiste de la question, a affirmé en 2021 : “it doesn’t tell us what factors are causing changes in the energy balance.” / “Cela ne nous dit pas quels facteurs provoquent des changements dans le bilan énergétique.”

        L’ancienne technique dont il parle et qui ne prouverait rien, qui selon lui n’amènerait pas à pouvoir dire quels sont exactement les facteurs causant des changements dans la balance énergétique :

        “NASA’s Clouds and the Earth’s Radiant Energy System (CERES) project studies the flow of radiation at the top of Earth’s atmosphere. A series of CERES instruments have continuously flown on satellites since 1997. Each measures how much energy enters Earth’s system and how much leaves, giving the overall net change in radiation. That data, in combination with other data sources such as ocean heat measurements, shows that there’s an energy imbalance on our planet.”

        ////////////////////////////////////

        Il a donc travaillé avec une nouvelle méthode qui soi-disant prouverait que c’est bien le CO2.

        Mais … Car il y a toujours un mais…

        Concernant l’étude de 2021 / Observational Evidence of Increasing Global Radiative Forcing – 2021

        Selon Kramer et al. 2021, les résultats de leurs recherches seraient la preuve directe que les activités humaines modifient le bilan énergétique de la Terre. Et bien entendu les alarmistes climatiques se sont emparés de ces résultats pour pointer du doigt les émissions de CO2…

        Pour comprendre cette étude très technique il faut savoir que les auteurs se basent sur le projet CERES (Clouds and the Earth’s Radiant Energy System) de la NASA, qui étudie le flux de rayonnement au sommet de l’atmosphère terrestre (TOA, Top of the Atmosphere). En effet, une série d’instruments CERES fonctionnent en continu sur des satellites depuis 1997. Chacun mesure la quantité d’énergie qui entre dans le système terrestre (des ondes courtes, en provenance du soleil) et la quantité qui en sort sous forme d’infra-rouges à ondes plus longues, donnant le changement net global du rayonnement. Ces données, combinées à d’autres sources de données telles que les mesures de la chaleur des océans, suggèrent qu’il existerait un déséquilibre énergétique sur notre planète.

        Cependant, si ce déséquilibre existe, les données CERES ne nous disent pas quels seraient les facteurs qui provoqueraient ces changements observés dans le bilan énergétique.

        Et c’est ici qu’intervient l’étude de Kramer et al 2021. Ces auteurs ont utilisé une nouvelle technique pour analyser la part du changement énergétique total qui serait causée par les humains… Les chercheurs ont calculé dans quelle mesure le déséquilibre était causé par des fluctuations de facteurs naturels, tels que la vapeur d’eau, les nuages, la température et l’albédo de surface (essentiellement la luminosité ou la réflectivité de la surface de la Terre). Par exemple, l’instrument Atmospheric Infrared Sounder (AIRS) du satellite Aqua de la NASA mesure la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre. La vapeur d’eau absorbe l’énergie sous forme de chaleur, de sorte que les changements dans la vapeur d’eau affectent la quantité d’énergie qui quitte finalement le système terrestre. Les chercheurs ont ainsi calculé le changement d’énergie causé par chacun des facteurs naturels, puis ils ont soustrait les valeurs du total. La partie restante est le forçage radiatif qui serait causé par les humains.

        Nous sommes donc face à un traitement mathématique particulier de données obtenues par satellites, données elles-mêmes entachées d’erreurs instrumentales…

        Après avoir effectué leur calcul, les chercheurs ont découvert que les activités humaines auraient entraîné une augmentation du forçage radiatif sur Terre de (seulement) 0.53 ± 0.11 W/m2 entre 2003 et 2018, soit sur 15 ans. Selon eux, cette augmentation proviendrait principalement des émissions de gaz à effet de serre provenant d’éléments tels que la production d’électricité, les transports et la fabrication industrielle. Les aérosols réfléchissants (qui ont diminué ces dernières années) contribuent également au déséquilibre.

        Venons-en maintenant aux problèmes :

        – Est-il possible, à l’échelle mondiale et par des observations instrumentales, de distinguer les causes d’un écart de forçage radiatif de seulement 0,53 W m-2 sur une période aussi courte de 15 ans ? Il faut savoir par exemple que la précision des instruments mesurant la TSI (Total Solar Irradiance) varie entre ± 0.5 et ± 1.3 W/m2. Remarquons dès lors l’exploit des chercheurs qui obtiennent 0,53 ± 0.11 W/m2… Ceci n’est pas très sérieux…

        – Un changement si faible (0.53 W/m2) pourrait aussi être causé par une variation de la quantité de nuages dans la troposphère. Il suffirait que la couverture nuageuse ait varié de seulement 0.27% (voyez la discussion sur le blog de Judith Curry : https://judithcurry.com/2021/03/28/a-pertinent-climate-question/). Mais ceci n’est pas mesurable. Même une variation de seulement 1% de la couverture nuageuse n’est pas détectable à l’échelle mondiale… Les auteurs attribuent donc la variation détectée au taux de CO2 (car c’est politiquement correct) mais cela pourrait très bien être causé par une variation de la quantité de nuages.

        – Et même si tout ceci était vrai, et que les 0.5 W/m2 seraient bien causé par du CO2, rappelez-vous que le CO2 humain ne représente que 4% des émissions annuelles de CO2 (qui sont essentiellement naturelles)… Et n’oublions pas non plus que c’est l’eau qui est le facteur le plus important dans tous les phénomènes de transport de chaleur (avec une terre couverte à 70% par des océans). Non, cette étude de Kramer ne nous convainc pas!!

        Pour terminer, remarquons que les alarmistes climatiques n’aiment pas les satellites qui mesurent la température de la basse troposphère (par exemple les satellites RSS et UAH) car ceux-ci nous montrent que le réchauffement global n’est pas très important. Par contre, ils adorent les satellites lorsqu’ils démontrent qu’il y aurait un déséquilibre radiatif, comme dans le cas de Kramer et al. 2021…

          • Brionne

            Apprenez à lire, et un commentaire, et un graphique.

            Concernant les données satellitaires : Ryan J. Kramer, ayant travaille à la NASA, spécialiste de la question, a affirmé en 2021 : “it doesn’t tell us what factors are causing changes in the energy balance.” / “Cela ne nous dit pas quels facteurs provoquent des changements dans le bilan énergétique.”

            Il faut savoir qu’avant 2021, des croyants comme vous nous disaient que les données satellitaires prouvaient…

            Et certain abrutis de votre espèce ont cru que l’étude de Kramer dont il est question dans mon commentaire était la preuve.

            Il se trouve qu’elle ne prouve rien.

            Try harder.

          • Concernant le réchauffement (ça n’était pas la raison de mon commentaire.), non, pas très important. Rien de bien grave.

            Pas d’hécatombes, des centaines et centaines de milliers de morts à cause de cela.

            En fait, les conditions de vie n’ont fait que globalement nettement s’améliorer ces deux dernier siècles.

            Le réchauffement n’a en rien empêché cela.

            En Occident, jamais nos conditions de vie n’ont été aussi bonnes qu’aujourd’hui.

            En Afrique, également les conditions de vie se sont nettement amélioré ces dernière décennies, malgré des guerres et des dictatures. Et rien ne montre que cela va aller dans le sens contraire.

            Terrible ce réchauffement. Vous l’utilisez pour faire votre petite propagande à deux francs six sous. C’est tout. À part quelques demeurés comme vous, et de pauvres naïfs se laissant manipuler, qui croit réellement que c’est un danger pour l’humanité ?

  8. La figure illustrant l’article est rigolote et un peu surprenante (0,5 degré d’un coup, ce n’est pas rien).
    Et pour le mois de juillet, a-t-on toujours cet espèce de remake de la crosse de hockey ? Car on a eu droit à une canicule aussi en juillet.

      • Et hop, deux petits lapins sortis du chapeau coup sur coup pour faire savant. Aucun rapport avec le sujet, c’est juste pour faire savant.
        Il me revient ce vieux proverbe ottoman parfaitement adapté. Lorsque qu’un clown entre dans un palais il ne devient pas roi, c’est le palais qui devient un cirque.

        • Aucun rapport ?
          Pourtant, vous avez posé la question pour le mois de Juillet, n’est-ce pas Ferry. Et bien, la réponse est sur le graphe que je vous ai indiqué.
          C’est quoi votre problème, Ferry:.
          1. Vous ne rappelez plus la question que vous avez posé, Ferry ?
          2. Vous ne savez pas lire un graphe ?
          (réponses multiples possibles)

          • @brionne @ Nicolas
            Arrêtez de pourrir ce blog ; confondre météo et climat ne vous fait pas grandir et Nicolas Carras ne répondez plus à ce genre d’individu dont le seul but est de pourrir ce blog ; on avait Robert dans le temps et on a réussi en suivant cette règle

  9. @brionne @ Nicolas
    Arrêtez de pourrir ce blog ; confondre météo et climat ne vous fait pas grandir et Nicolas Carras ne répondez plus à ce genre d’individu dont le seul but est de pourrir ce blog ; on avait Robert dans le temps et on a réussi en suivant cette règle

    • Bonsoir,
      Je suis le modérateur de ce site et je suis d’accord avec Fritz
      Il faut arrêter ces échanges qui n’ont plus aucun sens
      Merci de passer à autre chose
      Cordialement à tous
      PG

    • Fritz, bonjour

      Je pourri ce blog ?

      Vous devez mal lire mes commentaires.

      Brionne, Eloi, écrivent ici des choses, je leur réponds.

      Eloi se permet de rabaisser les gens ici, de les prendre pour des abrutis continuellement, entre autre écrire un nombre incalculable de bêtises, je lui réponds.

      Si la modération ne veut pas que l’on réponde à Brionne ou à Eloi, que la modération bloque Eloi et Brionne.

      Je ne crois pas que ni Brionne, ni Eloi, détruisent ce blog, contrairement à ce que vous affirmez dans un autre commentaire.

      Ils sont là, avec d’autres “croyant”, c’est tout. Il y en aura d’autres. Ils y a des gens qui lisent les commentaires, on ne peut pas laisser des Brionne et des Eloi écrire n’importe quoi sans intervenir.

      Bonne journée

      • Et voilà.. l’appel à la censure.
        C’est curieux ces climato-septiques qui appellent au “débat” tout le temps mais qui ne supportent pas qu’on les contredisent…
        Je comprends bien que votre rêve, Carras , n’est que de parler à des gens aussi ignorants du sujet que vous qui gobent vos inepties sans moufter, et sans vous débunker…
        Parlez vous à vous -même devant votre miroir, vous serez sûr de ne pas être contredit.
        Donc désolé, mais tant que vous direz des âneries contraires aux principes de conservation de la matière et de l’énergie, Carras, je vous débunkerai.
        Et si le seul moyen que vous avez, c’est la censure, et bien,,allez-y…

        • vous avez lu un peu vite son message il dit au contraire qu’il veut vous répondre
          je suis intéressé par cet échange entre argumentaire opposé, ça peut permettre de mieux comprendre où se situent les oppositions
          en ce qui vous concerne, votre ton méprisant fait qu’on n’a moins envie de vous lire c’est certain, mais si vous êtes vraiment convaincu par votre position, je trouve normal que vous la défendiez,comme Carras défend la sienne…
          Mon impression quand même, à travers la déferlante propagandiste médiatique, c’est que j’ai plus l’impression qu’on veut vendre un produit que de vouloir sauver la planète, et que ceux qui invoquent la science ressemblent étrangement à ceux qui l’invoquaient pour la folie sanitaire et dont on sait clairement aujourd’hui qu’ils ont menti sur toute la ligne
          dans quel type de système le principe de conservation de l’énergie s’applique t il?
          je me méfie d’affirmations trop générales pour être directement pertinente.
          ça me fait penser parfois en mathématiques quelqu’un à qui on demande une démonstration précise d’un résultat et qui vous répond ” d’après les résultats bien connus sur le s groupes cristallographiques, il apparaît que “, sauf que la personne ne s’était pas rendu compte que les objets au coeur de l’étude étaient des groupes NON cristallographique… pas de chance !
          ou “d’après la structure des espaces de Sobolev “.. ah, ça fait savant c’est sûr, mais en grattant ?

          • Ben, il dit qu’il qu’il veut répondre, mais j’attends toujours la réponse de ce Carras à ma question pourtant pas bien compliquée
            “Quand un système reçoit un flux constant d’énergie et qu’on réduit ses pertes thermiques, sa température augmente”.
            Oui ou non, Carras ?
            Une fois que Carras aura enfin compris ça, je pourrai lui expliquer pourquoi la hausse du CO2 induit un réchauffement.
            Ca fait juste 10 fois que je lui pose la question…mais il répond pas, je ne sais pas pourquoi . La peur, sans doute.
            Allez, Carras, un peu de courage, pour changer.

          • Brionne,

            Votre spectre ne démontre pas qu’ajouter du CO2 diminue la quantité de chaleur évacuée par la planète et de toute manière c’est bien sûr faux à l’équilibre. Ce que l’on voit est que le CO2 refroidit l’atmophère. S’il refroidit l’atmosphère c’est que celle-ci serait plus chaude sans gaz à effet de serre.

            Ce que votre spectre illustre est le caracctère pseudo-scientifique de la climatologie moderne puisque sa théorie est construite sur l’affirmation absurde d’une atmosphère chauffée par les GES.

            L’effet de serre est bien réel mais aucune théorie n’en permet le calcul car le flux déterminant la température de surface est convectif et non modélisable.

            L’arnaque climatique est fondée sur une astuce prétendant évacuer la thermodynamique du calcul de l’effet de serre, elle est initiée dans Manabe et Wetherald 1967. Jamais stupidité n’aura connu un si beau succès.

        • Brionne

          Vous avez affirmez sur ce cite que la loi de conservation de l’énergie pouvait prouver que le CO2 de l’activité humaine réchauffait la planète.

          Donc on attend votre démonstration scientifique, mathématique, physique.

          Vous pouvez gagner le prix Nobel avec ça !

          Abruti

          • j’ai en fait été dégoûté de la physique au lycée et à la fac quand j’ai été confronté à un manque de rigueur permanent et notamment ce foutu “principe de conservation de l’énergie ” invoqué par le prof
            un élève assez inquisiteur lui demande ” dans cette situation là, ce principe s’applique t il?” le prof fut très embarrassé et bredouilla, on peut considérer qu’il s’applique car sinon le problème deviendrait très compliqué ! je ne m’en suis jamais remis de ce genre de palabre; non que je considère la physique comme une fumisterie, c’est même passionnant et important que des gens “honnêtes intellectuellement” s’y adonnent, mais cette propension à négliger tous les paramètres embarrassants “compliquant le problème”,jamais démentie, moi ça me pose un problème et j’ai bien l’impression que les modélisations pèchent précisément par cette façon de procéderont jamais oublier qu’une implication en logique A implique B est vraie ,même si A est faux…..et alors on mettre sur B n’importe quoi
            bref, j’ai préféré faire des maths, au moins pas d’embrouille de ce genre

          • Enchanté, moi, c’est Brionne.
            Ca fait des jours que j’essaye de vous le démontrer, mais vous ne me laissez pas faire car vous fuyez à chaque fois.
            1ère étape, préalable indispensable: Il faut que vous compreniez que quand un système reçoit un flux constant d’énergie et qu’on réduit ses pertes thermiques, sa température augmente.
            Si vous ne comprenez pas ça, aucune chance que vous compreniez ce qu’est de l’absorption IR et un bilan radiatif…, donc ce n’est même pas la peine de continuer….
            Et accessoirement, si vous ne comprenez pas ça, il faudra penser à retourner à l’école primaire, Carras..
            Donc je vous repose, pour la nième fois, la question:
            “Quand un système reçoit un flux constant d’énergie et qu’on réduit ses pertes thermiques, sa température augmente”.
            Oui ou non, Carras ?
            C’est si compliqué que ça comme question, Carras ?
            Vous avez peur du ridicule à ce point pour refuser de répondre, Carras ?

  10. A propos de la loi de conservation de l’énergie, monsieur Carras devrait demander au “professeur Geuskens ce qu’il pense tu théorème de Noether.

    Brionne @
    La loi de conservation de l’énergie s’applique partout et en tout lieu, la prendre comme justification pour les propriétés du CO2 est une erreur, car cette loi s’applique également à la molécule de CO2 qui aura été excitée par une collision avec une molécule de diazote ou de dioxygène. Puisqu’on parle de collisions, j’ai demandé à monsieur Carras comment étaient thermalisés (chauffés) N2 et O2, je n’ai jamais eu de réponse.

    • Le premier principe de la thermodynamique précise que dans un système isolé et seulement dans ce cas l’énergie se conserve.

      Ça n’est pas Geuskens qui a inventé cela. Ni moi.

      Je ne vois pas ce que vient faire le théorème de Noether là dedans, ni en quoi il remet en question cela.

      Vous trouverez certainement un bistrot à côté de chez vous pour entamer des discussions de bistrot.

      • Et concernant le Théorème de Noether et et ce qui est nommé l’invariant par translation dans le temps, c’est bien pour un système isolé dont les transformations restent constante durant ses transformations.

        Le Théorème de Noether ne remet en rien en question le fait que le premier principe de la thermodynamique précise bien que dans un système isolé et uniquement dans ce cas, l’énergie se conserve.

        – Propriété du système physique : système indépendant du temps

        – Symétrie : invariance par translation dans le temps (les lois sont les même tout le temps)

        – Invariant : conservation de l’énergie.

        — Démonstration : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_Noether_(physique)#D%C3%A9monstrations

        — Détail : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_Noether_(physique)#%C3%89nergie

        • “…

          Les conséquences de ces trois propriétés sont respectivement :

          ♦ Conservation de l’énergie : les différentes parties d’un SYSTÈME ISOLÉ peuvent échanger entre elles de l’énergie, mais l’énergie de tout ce système est constante.

          …”

          — LES THÉORÈMES DE NOETHER / Gérard SERRA : Union des professeurs de physuique et de chimie – Extrait

          “Les lois de la physique, pour rester invariantes, doivent s’exprimer dans des référentiels galiléens qui sont caractérisés par les propriétés suivantes :

          ♦ Le temps y est uniforme : un processus se déroule de la même façon si on l’observe,
          toutes choses égales par ailleurs, à une autre époque. Une translation dans le temps
          montre qu’il n’y a pas d’origine absolue pour le temps.

          ♦ L’espace est homogène : un processus se déroule de la même façon si on l’observe,
          toutes choses égales par ailleurs, en un autre lieu. Une translation dans l’espace montre
          qu’il n’y a pas d’origine absolue de l’espace.

          ♦ L’espace est isotrope : un processus se déroule de la même façon si on l’observe,
          toutes choses égales par ailleurs, en l’orientant dans une autre direction. Une rotation
          dans l’espace montre qu’il n’y a pas de direction privilégiée dans l’espace.

          Les conséquences de ces trois propriétés sont respectivement :

          ♦ Conservation de l’énergie : les différentes parties d’un SYSTÈME ISOLÉ peuvent échanger
          entre elles de l’énergie, mais l’énergie de tout ce système est constante.

          ♦ Conservation de la quantité de mouvement : les différentes parties d’un SYSTÈME ISOLÉ peuvent modifier leurs quantités de mouvement respectives, mais la quantité de
          mouvement de tout ce système est constante.

          ♦ Conservation du moment cinétique : les différentes parties d’un SYSTÈME ISOLÉ peuvent modifier leurs moments cinétiques respectifs, mais le moment cinétique de tout ce système est constant.”

          • Le pauvre, il n’a toujours pas compris que LOI et PRINCIPE ne veulent pas dire la même chose. Quant au théorème de Noether il est totalement noyé mais veut faire croire qu’il y comprend quelque chose. Dans le genre ***** on ne fait pas m!eux.

            Encore une fois E=mc²

          • Eloi, à ce niveau, cela ne relève plus d’un détraquage intellectuel, mais de la maladie mentale.

            Allez vous faire soigner.

      • Vous êtes intervenu dans une discussion entre Brionne et moi. Brionne qui affirmait que la loi de conservation de l’énergie pouvait prouver que le CO2 anthropique réchauffait la planète. Je lui ai dit que la loi de conservation de l’énergie n’étant pas d’application dans le système globe/atmosphère, car pas isolé, ne pouvait pas le prouver. Vous avez tenté de faire croire que ce que j’affirmais, suite à ma question au Professeur Geuskens, concernant la loi de conservation de l’énergie lié au premier principe de la thermodynamique et aux systèmes isolés, était faux. Vous avez ensuite posté deux exposés pour me contredire, les deux exposés me donnent raison. Vous avez ensuite affirmé que je remettais en question E=MC2 avec ce que j’affirmais sur la loi de conversation de l’énergie. Donc, implicitement, vous avez affirmé que E=MC2 contredisait le premier principe de la thermodynamique qui précise que dans un système isolé et seulement dans ce cas l’énergie se conserve. Ça va loin… Pour au final me donner raison concernant le fait que la loi de conservation de l’énergie ne pouvait pas prouver que le CO2 anthropique “réchauffait” la planète. Extraordinaire. Je vous ai ensuite posé une question : “A méditer : “En particulier, les lois de conservation peuvent être présumées exactes lorsqu’elles se réfèrent à un système isolé.” Pourquoi ?” Vous n’avez pas répondu à la question tout en affirmant que je ne comprenais pas, moi, le sens de ce qui était dit dans MA question. Vous nous parlez maintenant des théorèmes de Noether. Je vous prouve que les théorèmes de Noether ne ramettent en rien en question ce que j’ai pu dire concernant la loi de conservation de l’énergie et les systèmes isolés. Et vous m’écrivez que je ne comprends rien aux théorèmes de Noether.

        Vous n’avez pas juste un détraquage intellectuel et d’ordres cognitif Eloi, vous êtes également de toute évidence, mentalement malade.

        Je vous conseille d’aller régler vos problèmes et de revenir nous voir.

    • Votre lien dit mot pour mot ce que j’ai écrit, et ce qu’a écrit Geuskens. Vous nous avez fait passer pour des crétins.

      “…

      On peut définir trois grandes catégories de systèmes physiques, selon la nature de leurs échanges avec leur environnement.

      – Un système est dit « isolé » s’il ne peut échanger ni énergie, ni matière avec son environnement.
      – Il est « fermé » s’il ne peut échanger que de l’énergie.
      – Il est « ouvert » s’il peut échanger de la matière et de l’énergie.

      Cette distinction est particulièrement pertinente en physique statistique4 : les systèmes isolés sont étudiés dans le cadre des ensembles microcanoniques, alors que les systèmes fermés relèvent des ensembles canoniques (ils peuvent échanger de la chaleur avec un thermostat) ; les systèmes ouverts relèvent des ensembles grand-canoniques (ils peuvent échanger de la chaleur et des particules).

      …”

  11. Aussi : “Un peu de bon sens suffit, me semble-t-il pour comprendre que le principe de conservation de l’énergie ne peut s’appliquer qu’a un système qui n’échange PAS d’énergie avec le milieu extérieur. Il est très important car il permet aussi de comprendre que :

    – la quantité d’énergie absorbée ou libérée pour passer d’un état A à un état B est indépendante du chemin (c’est-à-dire du mécanisme) suivi sans préciser quel chemin est possible.

    – la quantité d’énergie libérée par exemple par la transformation de CH4 + 2 O2 en CO2 + 2 H2O devra être fournie pour que la transformation inverse puisse se produire sans préciser si elle est possible.” – Professeur Geuskens

    La molécule de CO2 dont vous parlez plus haut n’est pas un système isolé.

    Il va falloir vous mettre à jour Eloi, avant de faire passer vos interlocuteurs pour des crétins.

    Soit vous êtes un “fake” total, et vous êtes en train de vous foutre de notre gueule, et de nous provoquer, soit vous avez de gros problèmes d’ordres cognitifs, et vu votre attitude perverse, à prendre continuellement les gens pour des cons, à les rabaisser, également d’ordres mentaux, psychologiques.

    Donc oui, je vous invite a régler vos problème, et ensuite revenez nous voir.

    • Bingo, il insiste encore bien que j’ai prouvé à quel point il est ignorant tout comme son mentor.

      Vous lui mettez ça sous les yeux :”Les systèmes n’existent pas dans la nature, mais sont des projections de l’esprit humain pour la modélisation et l’analyse des phénomènes naturels.” il persiste dans son délire. A contrario la loi de conservation de l’énergie s’observe en permanence dans la vie réelle….
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me

      Et après ça il conseille aux autres d’aller se faire soigner. Les climatoréalistes ont là une sacrée recrue.

      • Le système fermé, globe/atmosphère n’existe pas… C’est une projection de l’esprit…

        Et il est isolé de l’espace/cosmos…

        Oui, oui Eloi, on y croit. HA HA HA !

        Vous avez tenté de nous faire passer Prof Geuskens et moi pour des guignols ici.

        Vous postez un lien qui affirme EXACTEMENT ce que j’ai affirmé et ce qu’affirme Prof Geuskens, mot pour mot, affirmation dont vous vous êtes moqué ici ouvertement, sous le dernier article de Monsieur Benoït Rittaud. Vous persistez ici.

        Vous êtes complètement détraqué intellectuellement Eloi.

        Le climatisme est bourré de gens de votre espèce. Retournez dans votre secte de demeurés.

        Le fait est qu’il est impossible d’appliquer la loi de conservation de l’énergie à l’ensemble globe/atmosphère PARCE QUE ÇA N’EST PAS UN SYSTÈME ISOLÉ, de espace/cosmos…

        Tenez : https://www.youtube.com/watch?v=D9S6tlSrJH4

        • Monsieur Carras;

          Citation :”Vous avez tenté de nous faire passer Prof Geuskens et moi pour des guignols ici”.

          Mais vous n’êtes pas autre chose jusqu’à preuve du contraire. Pour me démentir vous allez me donner un exemple de système isolé (hors univers) dans le monde réel et m’expliquer en quoi c’est un système isolé.

          • Il n’y a aucun système qui soit TOTALEMENT isolé, on parle de système isolé, comme concept idéalisé.

            Et il y a des système pseudo-isolés.

            Le concept est utile en physique théorique.

            Et en mécanique également, on parle bien de système isolé, même s’il n’est pas à 100 % totalement isolé.

            Mais la question portait sur le système globe/atmosphère, qui n’est pas isolé de espace/cosmos. et là ça n’est pas une idéalisation, c’est bien une réalité physique.

          • Et ce qu’il faut comprendre, c’est que dans cette affaire, c’est bien vous le guignol. Comme beaucoup de vos amis réchauffistes qui vont nous réinventer les loi de la physiques que bien souvent ils ne connaissent pas, étant déconnectés de la réalité physique du climat.

            Je vous cite, c’est énorme : “La loi de conservation de l’énergie s’applique partout et en tout lieu, la prendre comme justification pour les propriétés du CO2 est une erreur, car cette loi s’applique également à la molécule de CO2 qui aura été excitée par une collision avec une molécule de diazote ou de dioxygène.”

            La loi de conservation de l’énergie, ce n’est pas pour une molécule de CO2 Eloi…

            “s’applique partout et en tout lieu,” …

            Un système est qualifié d’isolé si tout ce qu’il s’y passe qui est prévisibles avec le seul contenu du système, les champs inclus.

            Une fluctuation du vide n’est pas prévisible.

            On parle de variabilité inhérente à la nature, le principe d’indétermination d’Heisenberg, postulant que l’imprécision, l’incertitude liée à l’observation d’une particule quantique résulte de la nature même de cette particule, principe d’indétermination qui est inconnue en physique classique, mais qui est inévitable et imprévisible en physique quantique. Dans des systèmes physiques de la taille d’un atome ou moins.

            Vous êtes juste un mythomane Eloi, incapable de reconnaître quand il s’est trompé, et qui persiste dans son plantage tout en prenant ses interlocuteur ouvertement pour des crétin. Vous n’avez jamais réfuté Geuskens contrairement a ce que vous avez affirmé. Vous en êtes totalement incapable.

            “s’applique partout et en tout lieu,” … HA HA HA !

        • Monsieur Carras

          citation :”Le système fermé, globe/atmosphère n’existe pas… C’est une projection de l’esprit…”
          C’est effectivement une construction de l’esprit je peux créer un système terre sans atmosphère et un système atmosphère sans terre.

          Et il est isolé de l’espace/cosmos…”

          C’est faux, il est soumis à la gravitation et subit l’influence de la lune et du soleil (les marées)..

          • Vous semblez ne pas avoir saisi l’ironie dans mon dernier commentaire.

            C’est bien tout le contraire que j’affirme depuis le début : le système globe/atmosphère est un système fermé : il ne peut échanger que de l’énergie avec son environnement espace/cosmos.

            Il n’est pas isolé, donc, pour la dernière fois : il est impossible d’appliquer la loi de conservation de l’énergie à l’ensemble globe/atmosphère.

            C’est tout ce qu’il fallait comprendre. Et ça n’est pas une construction de l’esprit, c’est une réalité physique factuelle.

          • Un système est qualifié d’isolé si tout ce qu’il s’y passe est prévisibles avec le seul contenu du système, les champs inclus.

      • “Comme le corps noir le système n’existe pas dans le monde réel.” Ah bon ? Et moi qui pensait que, de par ses activités, l’homme pouvait venir perturber voire même carrément bouleverser l’équilibre des différents écosystèmes de notre planète. Et moi qui angoissait à ce sujet, me voilà plus rassuré maintenant.

        Mais peut-être que ce que vouliez dire Eloi, c’est qu’il n’existe au sein de l’Univers pas de systèmes qui soit véritablement isolés et que tout est interconnecté, je me trompe ?

        C’est bien gentil à vous de ne vouloir laisser autrui “baigner dans son ignorance”, mais peut-être vous faudrait-il en premier lieu songer par faire le ménage devant votre porte et éviter de confondre les notions de système et de modèle.

        “Modèle scientifique : représentation abstraite des relations entre les paramètres caractéristiques d’un phénomène ou d’un processus. Le modèle scientifique (par exemple celui du système solaire) vise à simplifier le phénomène étudié (passage de la théorie de Ptolémée à celle, plus simple, de Kepler), à unifier des phénomènes a priori sans rapport (loi de la gravitation universelle de Newton) et à prédire des phénomènes nouveaux (découverte de la planète Neptune à partir des anomalies constatées dans les mouvements des autres planètes).”

        • Sébastien

          P….n que c’est dur de faire comprendre quelque chose à des gens qui font systématiquement de la négation de principe et qui ne comprennent rien à rien en matière de physique.

          le corps noir et les systèmes qu’il soient isolé ouvert ou fermé n’existent pas dans le monde réel, point barre. ce sont des inventions humaines permettant d’expliquer certains phénomènes physiques. Vous pouvez inventer tous les systèmes que vous voulez, ils n’ont aucune réalité physique alors que la loi de conservation de l’énergie en a une sinon vous ne seriez pas vivant. Les écosystèmes bien entendu n’échappent pas à cette règle. Dans l’univers, tout est lié d’une manière ou d’une autre.

          https://fr.wikipedia.org/wiki/Corps_noir

          https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me

          • Eloi : ” alors que la loi de conservation de l’énergie en a une”

            La loi de conservation c’est pour des système ayant été classé isolé.

            — “En physique, une loi de conservation exprime qu’une propriété mesurable particulière d’un système physique reste constante au cours de l’évolution de ce système. Certaines lois de conservation n’ont jamais été mises en défaut :

            – conservation de l’énergie : La conservation de l’énergie est un principe physique, selon lequel l’énergie totale d’un SYSTÈME ISOLÉ est invariante au cours du temps.”

            Vous savez lire ou pas… SYSTÈME ISOLÉ.

            C’est sa la définition.

          • Eloi, vous êtes en train de réinventer le premier principe de thermodynamique.

            Sérieux ?

            La de conservation de l’énergie ne s’applique pas à tout un écosystèmes.

            Vous racontez n’importe quoi.

            Ni au système corps humain…

            Le corps humain n’est pas un système où tout ce qu’il s’y passe est prévisibles avec le seul contenu du système, les champs inclus.

            Et vous m’avez affirmé que vous étiez scientifique ?

          • “c’est dur de faire comprendre quelque chose à des gens qui font systématiquement de la négation de principe et qui ne comprennent rien à rien en matière de physique.” dixit le type qui ignorait que l’électromagnétisme était une branche de la physique et non une force. Hahaha ce que vous êtes trop drôle Eloi.

            Tenez voici deux pour apprendre les bases de l’écologie, car je sens que vous en avez grandement besoin :
            “Un écosystème est un ensemble vivant formé par un groupement de différentes espèces en interrelations (nutrition, reproduction, prédation…), entre elles et avec leur environnement (minéraux, air, eau), sur une échelle spatiale donnée. L’écosystème regroupe des conditions particulières (physico-chimique, température, pH, humidité…) et permet le maintien de la vie. Et réciproquement, cette vie constitue et maintient l’écosystème.”
            https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosbiodiv/index.php?pid=decouv_chapA&zoom_id=zoom_a1_3

            En tant que support à la continuité du vivant, tout écosystème se caractérise 1) par une structure (définie par le biotope, ou milieu physique, et la biocénose, ou assemblage d’espèces présentes en un lieu défini) ; 2) par un ensemble de processus dont la fonction est de promouvoir des flux d’énergie et de matière dans le système. Ces flux entretiennent les cycles biogéochimiques essentiels à la vie. Dans sa plus simple expression, un écosystème se compose d’au moins deux espèces : l’une qui produit sa propre nourriture à partir de composés inorganiques présents dans le biotope (typiquement : par photosynthèse), et l’autre qui assure la décomposition des déchets produits par la première. Le troisième ingrédient est toujours la présence d’un milieu fluide (eau, air, ou les deux à la fois).
            http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/a-la-une/notion-a-la-une/notion-a-la-une-ecosysteme

            Aussi comment auriez-vous voulu qu’on puisse retracer l’histoire de la formation de notre système solaire, si celui-ci n’était qu’une invention humaine, pauvre andouille ? https://www.asc-csa.gc.ca/fra/blogue/2021/08/06/comment-se-forment-les-systemes-solaires.asp
            Comme je vous l’ai dit dans mon précédent message vous confondez les notion de système et de modèle.
            “Modèle scientifique : représentation abstraite des relations entre les paramètres caractéristiques d’un phénomène ou d’un processus. Le modèle scientifique (par exemple celui du système solaire) vise à simplifier le phénomène étudié (passage de la théorie de Ptolémée à celle, plus simple, de Kepler), à unifier des phénomènes a priori sans rapport (loi de la gravitation universelle de Newton) et à prédire des phénomènes nouveaux (découverte de la planète Neptune à partir des anomalies constatées dans les mouvements des autres planètes).”

            Ah qu’est-ce que c’est dur de faire comprendre des choses pourtant basiques à des cuistres dans votre genre.

            Ciao Eloi,

        • @Sébastien.G,

          Le système, comme représentation abstraite, peut dans certains cas en physique être utilisé, pour isoler de manière abstraite donc, un objet d’étude, de son environnement. Cela permet d’étudier l’évolution de l’énergie d’un système sans tenir compte des effets de l’environnement. C’est un outil théorique utilisé en thermodynamique. Pour étudier l’énergie interne d’un système.

          Et pour la création de système isolé en ingénierie, mécanique, afin de calculer la conservation de l’énergie, pour des systèmes ayant besoin de conserver l’énergie.

          Dans la réalité, il y a bien, hors nature où les systèmes isolés sont très rares, des systèmes que l’on classe comme étant isolés, et pseudo-isolés, même si rien ne peut être dans ce bas monde TOTALEMENT isolé de quoi que ce soit. Eloi tente de noyer le poisson…

          • “Cela permet d’étudier l’évolution de l’énergie d’un système sans tenir compte des effets de l’environnement.”

            Ce qui est bien entendu impossible de faire avec l’ensemble du système globe/atmosphère, de par sa haute complexité. Tout y étant continuellement “perturbé”, et en partie de manière totalement imprévisible, par des forces externes au système, extrêmement puissantes, et des forces internes, puissantes également, et imprévisibles, chaotiques.

            Ça n’est pas comme une simple mécanique avec un piston…

          • Bonjour monsieur Carras,

            Pouvez vous me dire dans quels cas on peut utiliser le système comme représentation abstraite ? Et surtout pourquoi.

            Citation :”Et pour la création de système isolé en ingénierie, mécanique, afin de calculer la conservation de l’énergie, pour des systèmes ayant besoin de conserver l’énergie.”

            Donnez un exemple svp.

            Citation :”Dans la réalité, il y a bien, hors nature où les systèmes isolés sont très rares, des systèmes que l’on classe comme étant isolés, et pseudo-isolés, même si rien ne peut être dans ce bas monde TOTALEMENT isolé de quoi que ce soit”

            Développez, c’est quoi un système pseudo isolé ? Je note également que vous dites le contraire de ce que vous affirmiez il y a 2 jours.

          • Comme vous le savez, aucun système n’est isolé à 100 %, on dit que l’on fait une isolation par la pensée. On isole des systèmes en mécanique, ingénierie, qui interagissent entre eux, mais ne recevant rien d’un système tiers ne faisant pas partie de cette isolation que l’on a fait par la pensée. Cela permet d’étudier l’évolution de l’énergie d’un système sans tenir compte des effets de l’environnement, de vérifier la conservation de l’énergie.

            Un bouchon en liège peut être classé pseudo-isolé, il a les mêmes caractéristiques qu’un système isolé, la somme de ses forces extérieures = 0, sauf qu’il est soumis à des forces, mais ces forces se compensent. Le bouchon que vous posez debout dans la paume de votre main (en l’air) est soumis à deux forces, son poids, direction verticale dirigée vers le bas, et la réaction de la main qui est le support, mais qui est dirigée vers le haut. Ces deux forces se compensent. On en arrive à ce que la quantité de mouvement est constante, car si la dérivée de quelque chose qui par rapport au temps est égale à zéro, cela signifie que la quantité de mouvement est constante : https://nicolascarras.files.wordpress.com/2023/10/capture-decran-2023-10-17-a-10.53.40.png

            Remettez votre nez dans vos cours de lycée. Les bases s’y trouvent.

          • “de vérifier la conservation de l’énergie

            Des systèmes donc qui sont internent à l’isolation.

            Si c’est pas clair, contactez un ingénieur, il vous expliquera tout cela bien mieux que moi.

  12. Vous écrivez “des changements dans les courants jet qui se sont déplacés, attribuée le plus souvent à l’homme”.
    L’homme est capable de déplacer les courants jets en faisant passer le taux de CO2 de 0,03 à 0,04% ?
    Et à 0,06% ils se déplacent à quelle latitude les courants jets ?

  13. Bonjour Sébastien,

    Qui définit un écosystème ? Nous, en fonction de certains critères choisis arbitrairement. Par exemple la peau de votre avant-bras est un écosystème votre intestin en est un autre, le système bancaire encore un autre (les déclinaisons sont quasi infinies). Encore un fois la notion d’écosystème n’existe pas dans la nature ce terme a été inventé en 1935 par Arthur Tansley.

  14. Pour aider monsieur Carras dans ses explications, voici la définition d’énergie :

    En science physique, l’énergie, mesurée en joules, est une mesure de la capacité d’un système à modifier un état, à produire un travail entraînant un mouvement, un rayonnement électromagnétique ou de la chaleur.

  15. Monsieur Carras

    citation :”La loi de conservation de l’énergie, ce n’est pas pour une molécule de CO2 Eloi…”

    Ah bon ? Et pourquoi je vous prie ?

    • Vous m’avez pour bien affirmé que vous étiez scientifique ?

      Un scientifique qui n’a même pas une logique scientifique élémentaire d’un lycéen en première S.

      Si vous voulez, je peux vous mettre en contact avec mon neveu qui est en CAP électricien. Il vous expliquer tout cela bien mieux que moi.

      HA HA HA !

      Pour moi la discussion est close Eloi, vous êtes un rigolo doublé d’un cuistre et d’un mythomane.

      Bonne chance.

  16. Monsieur Carras,

    Vous n’avez répondu qu’à une seule question, pour le système pseudo-isolé, Google a bien fonctionné mais pour le reste et en particulier le fait que la loi de conservation de l’énergie ne s’appliquerait pas à une molécule de CO2, c’est nada. Vous avez un énorme problème vous essayez de vous faire passer pour un sachant mais vous ne savez pas ce qu’est l’énergie et pourquoi elle se conserve en toutes circonstances y compris pour une molécule de CO2. Je note également que toute honte bue vous n’hésitez pas à changer d’avis pour avoir le dernier mot (système isolé). Vous devriez dire à Geuskens de retourner à l’école, lui comme vous devrait savoir que matière = énergie.

  17. Nous sommes quelques-uns sur ce blog à exprimer notre scepticisme depuis plusieurs années quant au rôle du CO2 anthropique sur évalué plus ou moins volontairement dans le réchauffement.
    Je ne suis qu’un ancien pilote pro, féru de météo et très au fait des évènements climatiques que je suis depuis le début des années 80. Mais encore une fois je réitère mes interrogations.
    Pour qui veut bien sortir des alarmes médiatiques, dans la littérature scientifique, on trouve tout et son contraire, jusqu’à des affirmations telles que celles Georges Geuskens « Le CO2 ne peut contribuer en aucune manière à un réchauffement ni de la surface terrestre ni des basses couches atmosphériques.
    La théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique basée sur l’existence d’un effet de serre n’a aucune justification ni théorique ni expérimentale ».
    https://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/
    L’argument utilisé par la doxa est la relation augmentation CO2 depuis l’industrialisation et température. Il est donc tentant d’utiliser les données des archives paléoclimatiques pour tester le lien entre variations des températures et variations du CO2 sur des exemples réels.
    Dès les années 1980, les carottes prélevées dans les glaces de l’Antarctique a VOSTOK ont permis de mettre en évidence la corrélation très étroite, qui a prévalu par le passé, entre la concentration en CO2 et la température en Antarctique. Cette observation semble ainsi confirmer la théorie de l’effet de serre.
    Cependant il faut rester prudent et précis : cette corrélation entre CO2 et température ne signifie pas que le CO2 est la cause des variations de température. On sait qu’une part majeure de ces fluctuations est liée à des processus astronomiques. Et la température peut également être la cause des variations de CO2 via les échanges de CO2 entre l’atmosphère, l’océan et la végétation. Dans ces conditions, il n’est pas anormal que les changements de température aient pu précéder ceux du CO2, à certains moments dans le passé.
    On a tout simplement fait par modélisation des corrélations, augmentation températures par le levier effet de serre et taux CO2 ; ce n’est pas une démonstration, aucune causalité n’a été recherchée.
    Selon Camille Veyres et JM Morane Le CO2 atmosphérique est conséquence des températures passées, et ne saurait être la cause des températures (Camille Veyres et JM Morane la physique du climat). https://laphysiqueduclimat.fr/

    La doxa c’est l’effet radiatif du CO2 vielle thèse d’Arrhenius et Fourier, imposée par les premiers experts du Giec, emmenés par Bert Bolin, au monde scientifique, mais qui n’est qu’un genre de postulat puisqu’elle ne peut être vérifiée.
    Ce dont on est certain, c’est que les océans sont les grands régulateurs de l’atmosphère et du climat.
    Ou sont les sources de chaleur possibles pour réchauffer les océans. Je n’en connais que deux tangibles :
    La voie externe cosmique, le rayonnement solaire.
    La voie interne, le volcanisme sous-marin et les points chauds lithosphériques, particulièrement sous les pôles.
    Je note que, on exclut toutes les recherches sur l’incidence solaire au prétexte que c’est très difficilement mesurable et surtout il faudrait des crédits importants, qu’aujourd’hui aucun gouvernement n’est prêt à fournir si la thèse n’est pas dans la doxa. Et pourtant !!!
    On ne sait pas, ou encore très peu ce qui se passe dans le fonds des océans ; 95 % du fond des océans n’est pas encore explorés. Dernièrement des géologues canadiens ont découvert des sources chaudes sous la calotte arctique. Cette découverte n’est pas mise en avant mais il est inévitable que ces sources chaudes ont une influence certaine sur la fonte des glaces arctiques. Certainement plus importantes que l’action du CO2 anthropique
    https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/oceanographie-source-hydrothermale-plein-ocean-arctique-16272/
    Jusqu’ici on ne prenait pas en compte suffisamment les variations du climat engendrée par les épisodes el niño dans le pacifique. Aujourd’hui les météorologues pragmatiques commencent à en parler. On connait le principe EL niño, mais encore très mal ses interactions climatiques. On observe simplement depuis quelques années, que chaque épisode entraine des températures plus élevées dans certaines parties du globe.
    « La rigueur scientifique des analyses diffusées par le GIEC, a été sacrifiée et il va inévitablement en découler des décisions politiques inadaptées. Il y a une part imprévisible dans le climat que la science ne pourra jamais appréhender. » Dixit Roger Pielke senior, en 2005 une des référence en climatologie.
    Comment croire que les prédictions issues de modèles mathématiques soient correctes, alors que les mécanismes essentiels des échanges et des rétroactions positives et négatives sont encore très mal compris et font toujours l’objet d’âpres discussions entre les chimistes, les physiciens, les climatologues, les géophysiciens.
    Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, inondation inédite, tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais.
    Ces faits sont tangibles mais, ils ne sont que les conséquences de situations météo particulières, liées la plupart du temps aux courants jets et à leurs fluctuations (Ondes de Rossby) ; aujourd’hui qui peut affirmer démontrer et vérifier que le CO2 fossile en est la cause unique ?
    Les présuppositions sur le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le réchauffement climatique sont passées de l’hypothèse, au postulat. Elles sont devenues des vérités par la grâce « performative » des spécialistes du GIEC.
    Une mécanique implacable s’est mise en marche officialisée au protocole de Kyoto 1997: l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, comme dogme, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, une opinion manipulée, résignée à la catastrophe inéluctable.
    Pour ma part je reste persuadé que les mesures prises actuellement pour réduire les émissions n’engendreront pas de modifications dans l’allure du réchauffement. On peut faire beaucoup pour soigner notre environnement, mais pas grand-chose face aux variations climatiques. Par contre les mesures prises vont nous couter des milliards d’euros ou de dollars qui vont majoritairement partir dans les circuits spéculatifs.

    • Monsieur Casanova,

      Posez la question de l’existence de l’effet de serre à Judith Curry, à Richard Lindzen, Spencer, Courtillot, Svensmark etc. et vous verrez ce qu’ils vous répondront. Prendre les divagations de Geuskens ou de Moranne dont les compétences en la matière sont nulles pour des vérités ne montre qu’une seule et unique chose, une ignorance abyssale de la physique de l’atmosphère.
      Je vais faire simple, l’effet de serre c’est la capacité qu’ont certains gaz à absorber le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre, point barre. nier ça c’est nier que 2+2=4.

      Pour les sources hydrothermales, renseignez vous un peu plus, vous avez tout faux.

      Cordialement

      • “Prendre les divagations de Geuskens”

        Merci de nous expliquer quelles sont donc ces divagations ? Vous m’avez écrit ici que vous aviez réfuté Geuskens, merci de nous poster votre réfutation.

        “Je vais faire simple, l’effet de serre c’est la capacité qu’ont certains gaz à absorber le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre, point barre. nier ça c’est nier que 2+2=4.”

        Mais Geuskens ne dit pas le contraire. Vous oubliez la “back radiation” … Ça va avec l’effet de serre. Ça réchaufferait la surface. Et c’est là où il y a divergence, sur la “back radiation”. Le CO2 n’a pas la capacité par l’IR de “réchauffer” la surface. Et l’atmosphère ne réchauffe pas la surface, c’est le soleil qui s’en charge.

        Aussi, ne pas tout réduire qu’au radiatif. Grossière erreur.

        La chaleur monte de la surface et engendre des effets atmosphériques hautement complexes et mal compris. IR de la terre qui est émis vers l’espace en passant par l’atmosphère, n’a pas la capacité en “revenant” via les molécules atmosphérique, de “réchauffer” toute la surface.

        Il y a le phénomène nuage également qui est très mal compris dans son ensemble, Lindzent et Curry l’affirment par ailleurs, et tout ce qui est du domaine de la turbulence, toujours pas de théorie général de la turbulence*. Et toujours pas de théorie générale du climat en passant.

        Un courant d’air chaud ne peux pas réchauffer la surface d’un océan. C’est physiquement impossible. Et l’IR du CO2 à 80/100 km ne peut le faire également. En basse atmosphère, trop de collisions.

        Le CO2 de l’activité humaine qui réchauffe soi-disant la planète, ça reste à ce jour une hypothèse. Et une hypothèse ne forme pas une loi physique universelle. A savoir que des zones ayant été soumises à des hausses de CO2, n’ont pas été soumise à des hausses de température. Donc apparemment ça ne fonctionne pas partout…Et oui.

        Ce que vous ne savez pas, c’est que Geuskens n’invente rien, et Lindzen dont vous nous parlez, n’a pas réfuté, remis en question ce qu’il affirmait. Ils se sont rencontrés.

        Bon, on attend toujours votre réfutation scientifique, physique, de Geuskens, Eloi.

        Ce n’est pas le tout d’affirmer que l’on a réfuté, il faut le prouver.

        HA HA HA !

        *Il est impossible de mettre en équation la turbulence… Pourtant, l’atmosphère en est bourrées, ainsi que les mers et les océans qui représentent plus 71 % de la surface.

        Ne peut être observé des transitions turbulentes et des comportements dynamiques que dans des systèmes ayant un très petit nombre de degrés de liberté. Dans un système modèle bien contrôlé de régimes multi-stables. Et les équations de Navier-Stokes n’ont pas permis à ce jour de montrer l’existence de solution régulière dans le cas général.

        • Monsieur Carras,

          Les backradiation n’existent pas c’est juste une astuce pour quantifier ce que représente l’effet de serre dans un bilan et représenté sur un schéma. Geuskens ne connait rien au fonctionnement de la machine climatique. Si Geuskens avait quelque connaissance sur le sujet il aurait vu que le montant de ces backradiations (333 Wm²) est supérieur à ce que reçoit la terre une fois l’albédo déduit (239Wm²) c’est donc tout bonnement physiquement impossible le CO2 n’étant en aucun cas une source d’énergie. L’ignorance de Geuskens le mène à émettre des théories totalement farfelues.

          Dites moi dans cette étude où on parle de backradiations

          https://lameteorologie.fr/issues/2011/72/meteo_2011_72_31

          Même chose pour cette vidéo.
          https://www.youtube.com/watch?v=slPMD5i5Phg

        • Monsieur Carras ,

          A écouter et ce n’est pas n’importe qui qui parle
          https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-pourquoi-du-comment-science/le-pourquoi-du-comment-science-du-mardi-30-aout-2022-6875883

          Geuskens en train de vous et de se contredire sur la loi de conservation de l’énergie :”Les molécules de CO2 excitées à l’état de vibration par absorption d’une fraction du rayonnement thermique de la Terre se désactivent endéans quelques microsecondes par collisions avec les molécules environnantes, principalement N2 et O2. Dans ces conditions, il y a conversion de l’énergie de vibration du CO2 en énergie cinétique de translation des molécules N2 ou O2 selon la réaction (2) mentionnée au paragraphe 1c. Bien que l’absorption du rayonnement thermique de la Terre entre 14 et 16 µm soit sélective par les molécules de CO2 cet excédent d’énergie se répartira sur l’ensemble des molécules environnantes suite aux multiples collisions.”
          Et en même temps il donne la preuve de l’existence de l’effet de serre qu’il prétend réfuter.
          https://www.vc3chem.com/gases/G_5_10.html

          ps il n’y a pas d’effet de serre radiatif il y a un effet de serre, point barre.

          question quand cesserez vous de vous faire passer pour ce que vous n’êtes pas ? Réponse jamais, vous êtes trop poilu Aussi j’en ai fini avec vous je ne veux plus nourrir le troll que vous êtes. Quiconque a deux neurones de fonctionnels aura compris qui vous êtes

          • “Et en même temps il donne la preuve de l’existence de l’effet de serre qu’il prétend réfuter.”

            Il réfute ce qui est dit dans cette définition DU GIEC de l’effet de serre :

            Geuskens : La seule définition de l’effet de serre décrivant clairement le phénomène envisagé par le GIEC (IPCC 2012, Glossary of terms) et répondant, de plus, au critère de réfutabilité énoncé par l’épistémologue Karl Popper est la suivante :

            « L’effet de serre est un phénomène radiatif causé par des gaz tels la vapeur d’eau ou le CO2 qui absorbent une fraction du rayonnement infrarouge émis par la Terre et le réémettent ensuite dans toutes les directions et notamment vers la surface terrestre dont la température serait, de ce fait, plus élevée qu’en l’absence de gaz absorbant l’infrarouge. Ces gaz sont dès lors qualifiés de gaz « à effet de serre ».

            Allez vous acheter un nouveau cerveau Eloi.

      • @ eloi
        Me prendriez-vous pour un jobard ?
        Depuis plus de 40 ans j’ai parcouru des kilomètres de rapports et visualisé à peu près tout ce que l’on peut trouver sur le sujet. J’apprécie beaucoup les conférences de Courtillot ou Lindzen car en tant qu’émérites, ils sont dégagés de leurs obligations et contraintes matérielles. Mais j’ai parcouru aussi beaucoup de la prose Giec, en particulier les rapports AR4, AR5 ; je parle bien des rapports, pas des SPM qui ne sont que résumés orientes politiques et médias.
        Vos réponses n’en sont pas. Vous vous contentez de critiquer, vous n’argumentez rien…
        Je n’ai jamais dit que l’effet de serre n’existait pas. Simplement qu’il était très difficile de le vérifier, et que de nombreux experts en physique et chimie atmosphériques ne sont pas en accord avec la doxa Giec ; Sorokhtin et Al Ferenc Miskolczi , Gehrard Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner et en son temps R. W. Wood, ont une théorie partant de la convection naturelle des masses d’air et du rôle de la vapeur d’eau tout aussi plausible.

        je persiste à penser que dans cette hypothèse effet de serre radiatif retenue, de toutes les molécules tri atomiques H2O, CO2, CH4, pouvant prétendre à être la cause de l’effet de serre, le CO2 n’a certainement pas l’importance qu’on veut lui donner.. Si on admet la thèse effet de serre radiatif, Giec, de tous les constituants atmosphériques susceptibles d’absorber le rayonnement thermique de la Terre, la vapeur d’eau est le plus important à la fois par sa concentration plus élevée et par son pouvoir d’absorption plus important. Sa contribution à cette absorption varie entre 65 et 95 % selon les conditions locales. Le CO2 représente 3.6 % des gaz à effet de serre, contre 95 % pour la vapeur d’eau qui bien qu’étant le GES le plus important en volume. Le Giec biaise ses infos en justifiant qu’on ne peut pas modéliser l’action de H2O, mais que celle-ci est accentuée par le forçage radiatif CO2.
        En argumentant , sur le CO2 comme élément essentiel du réchauffement, on peut espérer s’attaquer à nos industries, et aux citoyens, culpabilisés et présentés comme responsables uniques de la dérégulation climatique. C’est le mécanisme politique qui s’applique depuis 1997, à nos dépends.

        • Monsieur Casanova,

          Je ne vous prends pas pour un jobard mais je dis que vous êtes un grand ignorant en ce qui concerne le fonctionnement de la machine climatique. Vous remettez en question un fait établi, accepté par l’ensemble de la communauté scientifique compétente et enseigné dans toutes les universités au monde. Il y a juste un moment où il faut savoir enlever ses œillères idéologiques et se poser la question suivante ;” et si je me trompais ?”

          • “Il faut savoir enlever ses œillères idéologiques et se poser la question suivante ;” et si je me trompais ?”
            Mais justement j’arrive à un âge ou j’ai pris le temps d’analyser toutes les versions, loin de moi la prétention de détenir la vérité ; je ne suis qu’un observateur très intéressé :
            Rien que au travers des discussions, sur ces blogs on voit bien que dans ce domaine il n’y pas de vérité établie ; en climatologie science très récente, tout est très loin d’être maitrisé, tout reste ouvert.
            Rien que dans le domaine météo, les météorologues essaient depuis des lustres de mettre l’atmosphère en équation pour prédire le temps. Malgré la puissance des ordinateurs en constante évolution, la prévision au-delà de 10 jours reste problématique.
            Vous allez m’argumenter que météo et climat sont deux choses différentes. Peut-être, mais ces deux disciplines sont assises sur des paramètres communs, avec des modèles utilisés différents. On connait les modèles de prévision météo, par contre ceux qu’utilisent les « experts » Giec ne sont pas divulgués.

            Pour ma part je suis fidèle a deux principes ;
            Le premier inculqué par notre instructeur ingénieur météo, lors de ma formation de pilote au début 80 et grand amateur de la prose de Bachelard;
            “En sciences de la nature il faut savoir remettre toujours en cause les évidences “.
            Et puis, celui inscrit dans la logique d’André Shiffrin, qui écrivait dans un essai de 2005 traitant de la dérive de l’information, intitulé « Le contrôle de la parole » ;
            « C’est justement lorsqu’une majorité est d’accord sur quelque chose, qu’on doit commencer à douter. ».
            Par ce post Je clos pour le moment nos discussions. Mais vous me reverrez un de ces jours. Merci quand même pour ces échanges..

  18. Bonsoir Eloi,

    Serait-il possible que vous cessiez de déformer les propos des personnes qui expriment ici leur scepticisme quand à la validité de la thèse réchauffiste pour ensuite les traiter d’ignorants, ou cela est-il trop vous demander ?

    • Bonjour monsieur Gonçalves

      Désolé mais je suis extrêmement sceptique quant à l’objectivité de votre scepticisme, en effet ce dernier est unidirectionnel et n’est pas motivé par la recherche de la vérité scientifique (sinon ça se saurait). Etre ignorant n’est pas un défaut en soi, je le suis sur bien des sujets et dans ce cas je m’abstiens d’intervenir mais j’écoute attentivement que que les gens compétents disent. Par contre chercher à faire croire qu’on est sachant alors qu’on ne l’est pas c’est totalement différent je ne sais pas si vous saisissez la nuance. Je finis en vous disant que je n’ai pas encore vu de la part de quiconque parmi vous l’expression d’un savoir certain sur le fonctionnement de la machine climatique.

      N’oubliez pas que vous êtes climatosceptiques et que donc…
      Posez vous les bonnes questions.

      Bonne journée

      • Bonjour Eloi,

        “Désolé mais je suis extrêmement sceptique quant à l’objectivité de votre scepticisme”. Désolé mais je n’en ai strictement rien à battre.
        Mon message visait surtout à attirer l’attention du modérateur sur le fait que vous étiez un adepte de la technique de l’épouvantail ou strawman. Une technique foncièrement malhonnête qui consiste à déformer la position de l’adversaire en lui attribuant un argument facilement réfutable. La personne qui utilise cette technique prétend attaquer la position de son adversaire, alors qu’en réalité elle attaque une version déformée de cette position, que son adversaire ne soutient pas nécessairement).

        “Par contre chercher à faire croire qu’on est sachant alors qu’on ne l’est pas c’est totalement différent je ne sais pas si vous saisissez la nuance”. Oui je vois comme la fois où vous avez par exemple voulu me contredire lorsque je disais qu’Ampère et Faraday pouvait être considérés comme étant les pères fondateurs de l’électromagnétisme en me mettant un lien qui venait justement confirmer mes dires.
        “À Paris, la nouvelle de la découverte d’un effet électromagnétique par Ørsted a été accueillie avec scepticisme. […] Plusieurs scientifiques Français, dont André-Marie Ampère, se sont alors lancés dans l’étude du nouveau phénomène. […] Ses efforts ont permis de jeter les bases de nombreuses théories ultérieures de l’électromagnétisme, et a commencé le développement mathématique du domaine. […] Ørsted et sa découverte acquirent une renommée internationale, et attisèrent également l’intérêt du scientifique britannique Michael Faraday. En 1821, Faraday découvrit qu’un aimant et un fil porteur de courant pouvaient tourner l’un autour de l’autre. Dix ans plus tard, il découvrit l’induction, c’est-à-dire, qu’un aimant pouvait créer un courant électrique dans un fil s’ils se déplaçaient les uns par rapport aux autres.”

        “Je finis en vous disant que je n’ai pas encore vu de la part de quiconque parmi vous l’expression d’un savoir certain sur le fonctionnement de la machine climatique.”
        Venant d’un type qui affirme que c’est le CO² qui pilote le climat et que ce dernier agit à la manière d’un pull-over, je dois dire que cela est plutôt rassurant.

  19. Concernant le commetaire d’Eloi en rapport avec ce qu’a écrit le professeur Geuskens: https://www.climato-realistes.fr/le-pic-de-chaleur-de-2023-un-episode-dont-les-causes-sont-multifactorielles/#comment-6623

    C’est bien ce que je pensais, vous ne pouvez pas réfuter Geuskens, car en fait vous n’avez STRICTEMENT rien compris a ce qu’il écrivait.

    Il affirme bien que cette “back radiation” qui se trouve bien dans le rapport du GIEC AR6 — Chapter 7: The Earth’s Energy Budget, Climate Feedbacks, and Climate Sensitivity,

    avec ce schéma : IPCC_AR6_WGI_Figure_7_2, ici : https://nicolascarras.files.wordpress.com/2023/10/ipcc_ar6_wgi_figure_7_2.png

    n’est pas possible.

    C’est le GIEC qui dit que c’est possible, GIEC que vous soutenez ici, et vous nous dites que c’est Geuskens qui le dit. le GIEC n’explique absolument pas que ça n’est pas possible puisqu’il le montre via un schéma, c’est ce sur quoi repose toute cette théorie foireuse : la “back radiation”.

    Vous n’avez même pas compris, ou faites semblant de ne pas avoir compris, afin de faire passer Geuskens pour un crétin, ce que soutiennent le GIEC et tous ses idiots utiles. Que via une “back radiation”, il y aurait un réchauffement de la surface. Vous êtes encore plus stupide que je ne l’avais imaginé.

    Une bonne partie de ca qu’a Ecrit Geuskent tend a démontrer justement que ça n’existe pas… Que le CO2 ne peut pas via une “back radiation”, “réchauffer” la surface !

    Vous écrivez àdans un commentaire à la suite : “il n’y a pas d’effet de serre radiatif”… Mais l’effet de serre radiatif avec “back radiation”, c’est LA définition de l’effet de serre du GIEC… Et c’est Geuskens qui l’écrit dans son article : L’effet de serre et le bilan énergétique de la Terre

    La seule définition de l’effet de serre décrivant clairement le phénomène envisagé par le GIEC (IPCC 2012, Glossary of terms) et répondant, de plus, au critère de réfutabilité énoncé par l’épistémologue Karl Popper est la suivante :

    « L’effet de serre est un phénomène radiatif causé par des gaz tels la vapeur d’eau ou le CO2 qui absorbent une fraction du rayonnement infrarouge émis par la Terre et le réémettent ensuite dans toutes les directions et notamment vers la surface terrestre dont la température serait, de ce fait, plus élevée qu’en l’absence de gaz absorbant l’infrarouge. Ces gaz sont dès lors qualifiés de gaz « à effet de serre ».

    Et c’est justement ce que Geuskens réfute.

    Vous êtes complètement atteint Eloi.

    • Il est curieux de prétendre faire changer d’avis des personnes, ici les climato-réalistes, qui professent ne pas avoir d’avis.

      On reconnait un idéologue, Robert typiquement, au fait qu’il croit que ses adversaires fonctionnent comme lui et sont enfermés dans leur propre idéologie. Mais voilà, il n’y a point d’idéologie dans le réalisme. En ce sens, le réalisme est inattaquable, contrairement à l’idéologie qui est une position extrêmement fragile que le réel se charge de détruire plus ou moins rapidement. L’espérance de vie des idéologies étant courte, il ne reste plus aux idéologues que la mauvaise foi, le mensonge ou l’insulte tant qu’ils le peuvent, leur virulence augmentant généralement lorsqu’ils sentent la fin proche.

      Robert, Brionne et d’autres démontrent que la fin de l’idéologie réchauffiste est proche.

  20. Robert ou Eloi, vous êtes stupide ou quoi ?

    Page 560 donc : “Greenhouse gases effectively absorb thermal infrared radiation, emitted
    by the Earth’s surface, by the atmosphere itself due to the same gases,
    and by clouds. Atmospheric radiation is emitted to all sides, including
    downward to the Earth’s surface.”

    “y compris vers le bas jusqu’à la surface de la Terre.”

    C’est ça la “back radiation”… Ça fait bien partie de la définition.

    Et là pour la NASA : “Effect on Surface Temperature

    The natural greenhouse effect raises the Earth’s surface temperature to about 15 degrees Celsius on average—more than 30 degrees warmer than it would be if it didn’t have an atmosphere. The amount of heat radiated from the atmosphere to the surface (sometimes called “BACK RADIATION”) is equivalent to 100 percent of the incoming solar energy. The Earth’s surface responds to the “extra” (on top of direct solar heating) energy by raising its temperature.”

    “La quantité de chaleur rayonnée de l’atmosphère vers la surface (parfois appelée « BACK RADIATION ») équivaut à 100 % de l’énergie solaire entrante.

    Là, sur leur schéma, comme sur celui du GIEC, il est bien écrit “Back Rafdiation” : https://nicolascarras.files.wordpress.com/2023/10/global_energy_budget_components.png

    Vous savez lire ou pas ? La BACK RADIATION fait donc ben partie de la définition de l’effet de serre dit radiatif du GIEC et de la NASA… Et c’est explicitement montré sur leurs schémas. C’est à la base de cette “théorie” foireuse, et c’est bien ce que Geuskens réfute.

    Robert ou Eloi, continuez à prendre les climato-réalistes pour des cons… L’abruti ici c’est vous.

    • La définition de Geuskens qui selon vous ne serait pas la bonne, comparée à celle de l’IPCC qui selon vous serait la bonne :

      Geuskens ; L’effet de serre est un phénomène radiatif causé par des gaz tels la vapeur d’eau ou le CO2 qui absorbent une fraction du rayonnement infrarouge émis par la Terre

      IPCC : Les gaz à effet de serre absorbent efficacement le rayonnement infrarouge thermique émis par la surface de la Terre,

      Geuskens : et le réémettent ensuite dans toutes les directions et notamment vers la surface terrestre

      IPCC : Le rayonnement atmosphérique est émis de toutes parts, y compris vers le bas jusqu’à la surface de la Terre.

      Geuskens : dont la température serait, de ce fait, plus élevée qu’en l’absence de gaz absorbant l’infrarouge.

      IPCC : Ainsi, les gaz à effet de serre emprisonnent la chaleur au sein du système surface-troposphère.

      En fait c’est pareil…

      Dit autrement par la NASA : L’effet de serre naturel élève la température de la surface de la Terre à environ 15 degrés Celsius en moyenne, soit plus de 30 degrés de plus qu’elle ne le serait sans atmosphère. La quantité de chaleur rayonnée de l’atmosphère vers la surface (parfois appelée « BACK RADIATION ») équivaut à 100 % de l’énergie solaire entrante. La surface de la Terre réagit à l’énergie « supplémentaire » (en plus du chauffage solaire direct) en augmentant sa température.

      Robert ou Eloi, vous avez bien affirmé plus haut : “ps il n’y a pas d’effet de serre radiatif il y a un effet de serre, point barre.”

      et “Les back radiation n’existent pas”.

      Et vous soutenez le GIEC et la NASA, qui affirment qu’il y a un effet de serre radiatif avec une “back radiation”.

      Merci de nous prouver que vous êtes bien détraqué intellectuellement et que vous ne savez pas de quoi vous parlez, tout en prenant continuellement vos contradicteur ouvertement pour des abrutis.

    • “Robert ou Eloi, continuez à prendre les climato-réalistes pour des cons… L’abruti ici c’est vous.”
      Merci de rester courtois quelle que soient vos divergences de vue

      • Bonjour Usbek,

        je reste courtois avec des gens courtois. Robert – Eloi ( c’est la même personne ou le même groupe de personnes) ne sont pas des gens courtois, et il ne sont ici que pour semer le trouble et non pas pour partager leurs points de vues différents et faire avancer le débat. Et pour polluer les fils de discussions et prendre les climato-réalistes pour des abrutis.

        Robert sait pertinemment que la définition de Geuskens et celle du GIEC est la même. Mais il sait aussi que beaucoup de lecteurs des commentaires n’iront pas chercher dans le rapport qu’il a cité, et à la page indiquée est écrit tout un ensemble de choses en anglais, et si l’on n’y connaît rien, c’est du charabia… Il faut déjà avoir un certain niveau pour comprendre ce qui y est dit.

        Donc Robert-Eloi, s’adresse bien aux ignorants, et afin de semer le trouble. Et de faire croire que les climato-réalistes sont des demeurés.

        C’est tout ce qu’il faut comprendre. Ils utilisent exactement les mêmes techniques sur Youtube.

        Ils ne font en rien avancer le débat et font perdre un temps fou, car après leur passage, il faut expliquer le pourquoi du comment ce qu’ils disent est faux, pour les ignorants, débutants, qui n’y connaissent rien et qui lisent les commentaires.

        Vous laissez des trolls ici prendre ouvertement leurs interlocuteurs pour des abrutis, car c’est clairement prendre les gens pour des abrutis que de poster une définition qui est la même que celle que j’ai postée, tout en disant que ça n’est pas la même et que celle des climato-réalistes donc, est fausse et l’autre bonne, je n’ai STRICTEMENT aucune raison d’être poli avec eux.

        Expliquez-moi ce qu’il y a de poli à faire ce qu’ils font ? De courtois ?

        Robert-Eloi, c’est la même personne, ou le même groupe de trolls. Ils utilisent parfois plusieurs pseudos.

        Merci.

          • Eloi a déjà fait exactement la même chose, dernièrement avec la loi de conservation de l’énergie. En postant deux exposés pour le contredire, et également en parlant du théorème de Noether, les deux exposées me donne raison, ainsi que les théorèmes de Noether, mais si l’on n’y connaît rien, on ne peut pas le savoir, ça demande un certain niveau de connaissance. C’est exactement la même technique. “Ils” font exactement la même chose sur YouTube. Beaucoup de sceptiques n’ont pas les moyens de leur répondre, car pas assez de connaissances. C’est pour semer le trouble dans les discussions, pour intimider, faire genre, pour impressionner. Pas pour avoir un vrai débat scientifique, avec des arguments valables. De manière éthique.

            Merci et Bonne soirée.

          • Usbek ,

            Je réitère ici ce que j’ai dit dans mon précédent commentaire “””il y a longtemps que j’ai compris qu’on ne fera pas changer les climatosceptiques d’avis aussi je reste en dehors de toute discussion.”””
            Ne comptez pas sur moi pour entrer dans une discussion stérile avec qui que ce soit.
            J’ai donné une source factuelle montrant que Geuskens avait pour, le moins trafiqué la version de l’effet de serre donnée par le GIEC, c’est tout. Chacun se fera son propre avis.

            Ce commentaire est le dernier avant longtemps.

          • Salut Usbek,

            ou alors ce sont des pro climato-réalistes, et ils sont là pour faire passer les pro Giec pour des abrutis en postant des commentaire stupides en se faisant passer pour des anti climato-réalistes…

            Allez savoir.

            A++

  21. Pour moi c’est incontestablement le CNRS qui définit le mieux ce qu’est la théorie de l’effet de serre radiatif.
    “La température qui règne à la surface de la Terre (surface des océans et des continents) résulte d’un équilibre entre chauffage et refroidissement . S’il n’y avait pas d’atmosphère, le chauffage de cette surface serait principalement assuré par le rayonnement solaire et son refroidissement, par l’émission d’un rayonnement infrarouge. La présence de l’atmosphère modifie ce refroidissement. Celle-ci laisse en très grande partie passer le rayonnement solaire alors qu’elle absorbe très fortement le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre.

    Vapeur d’eau, nuages et dioxyde de carbone principalement absorbent à 95% ce rayonnement et le réémettent, d’une part vers la surface de la Terre et d’autre part vers l’espace. Ainsi la surface de la Terre se trouve chauffée, en plus du rayonnement solaire par un rayonnement infrarouge émis par le ciel : ce mécanisme de réchauffement supplémentaire est appelé “Effet de serre”.
    https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim1/sysfacte/systfactMot/effetserre.htm

    Et voici comment est généralement schématisé le bilan radiatif de la Terre.
    N’en déplaisent aux contempteurs du professeur Geuskens.
    https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/figures/IPCC_AR6_WGI_Figure_7_2.png

    • Que la surface de la terre soit plus chaude en moyenne avec une atmosphère que sans ne fait guère de doute. Cela ne prouve pas la justesse de la théorie défendue par le GIEC (et à l’occasion par le CNRS).
      Les raisons d’être incroyant ne manquent pas. Par exemple regardez le schéma du bilan radiatif de l’AR6
      https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/figures/IPCC_AR6_WGI_Figure_7_2.png
      Croyez-vous vraiment que votre pelouse lorsqu’elle est à 15 °C rayonne 398 W/m² , comme un corps noir ? Certainement pas.

      Une surface refroidie par l’évaporation et la convection ne peut tout simplement pas rayonner comme un corps noir. Tout ce qu’on sait c’est que up_surface – down_surface (c’est-à-dire le flux thermique) vaut 398-342 = 56 W/m².
      Bien à vous

      • Ce qui est “hallucinant”, c’est de voir des défenseurs du GIEC essayer de nous faire croire que le GIEC ne parle pas de “back radiation” qui “réchaufferait” la surface…

        Même la NASA a changé son schéma pour nous en mettre un avec “back radiation”. L’ancien n’avait pas la “back radiation”.

        Donc en fait des défenseurs du GIEC savent pertinemment que ça n’est pas une “back radiation” qui “réchauffe” la surface, mais ils sont prêts à mentir, en disant que le GIEC n’affirme pas que c’est par une “back radiation”… Alors que c’est tout le contraire.

        Sans la “back radiation” engendrée soi-disant par le CO2, toute cette pseudo-science s’effondre. Il faut faire croire que c’est le CO2 dans l’atmosphère qui réchauffe la surface.

        C’est aberrant et c’est gros comme une maison. Ils sont en train de se prendre les pieds dans leurs propres mensonges, et au lieu d’admettre, ils persistent.

        Tout ça va inévitablement s’effondrer comme un château de cartes.

        Les jours du GIEC et compagnie sont comptés.

      • Bonsoir Doisneau,

        Vous dîtes “Que la surface de la terre soit plus chaude en moyenne avec une atmosphère que sans ne fait guère de doute. Cela ne prouve pas la justesse de la théorie défendue par le GIEC (et à l’occasion par le CNRS). Entièrement d’accord avec vous Doisneau.
        Cela dit il convient de tout de même de préciser qu’en journée les températures de surface de la Lune sont plus élevée que celle de la Terre (une partie non négligeable du rayonnement solaire est réfléchis par les nuages).
        Le problème c’est que ceux qui remettent en cause le bien-fondé de la théorie de l’effet de serre radiatif ne proposent généralement pas de véritable théorie alternative permettant d’expliquer le fait que les températures nocturnes soient nettement plus clémentes sur Terre que sur la Lune.
        “Les raisons d’être incroyant ne manquent pas.” Je ne le vous fait pas dire.

        “Croyez-vous vraiment que votre pelouse lorsqu’elle est à 15 °C rayonne 398 W/m² , comme un corps noir ? Et bien je ne connais l’émissivité de ma pelouse, mais ce que je sais c’est que comme tout corps le rayonnement électromagnétique qu’elle émettra sera nécessairement lié à sa température de surface.

        Après cela ne signifie pas pour autant que l’énergie qui sera absorbée par les molécules de CO² et autres “gaz à effet de serre” sera égale à cette valeur.
        En effet, ma pelouse, comme toute surface terrestre n’est pas en mesure de renvoyer vers l’atmosphère plus d’énergie qu’elle n’en a reçu. Et puis si l’on désire connaître la part de cette énergie qui aura été renvoyé vers l’atmosphère et absorbée par les différents gaz à effet de serre, il faudra bien évidemment non seulement tenir compte de la fenêtre atmosphérique, mais également des deux phénomènes que vous avez cité : que sont la convection et l’évaporation.

        PS : En mettant en lien le schéma du bilan radiatif de la Terre qui figure dans le dernier rapport du GIEC ou en donnant la définition de l’effet de serre proposée par le CNRS mon intention n’étant aucunement de tenter de “prouver justesse de la théorie défendue par le GIEC” ou le CNRS, mais simplement de faire savoir que quoi qu’en disent certains réchauffistes la théorie de l’effet de serre radiatif repose bel et bien sur la “back radiation”.

        • “mais simplement de faire savoir que quoi qu’en disent certains réchauffistes la théorie de l’effet de serre radiatif repose bel et bien sur la “back radiation”.”

          Voilà !

        • @Sébastien G.
          J’avais bien compris votre intention…
          Tout le monde est d’accord sur le fait que la surface terrestre et l’atmosphère reçoivent en provenance du soleil de l’énergie qui doit être évacuée par rayonnement (c’est l’unique solution) sans quoi leur température tendrait à augmenter indéfiniment. Ensuite deux théories s’affrontent.
          Pour le GIEC et ses partisans, l’énergie transite de la surface et de la basse atmosphère à l’altitude d’émission (vers le cosmos) par la grâce (et en dépit) des gaz à effet de serre. Ces gaz absorbent le rayonnement et le renvoient dans toutes les directions, en particulier vers la surface. La suite de l’histoire comporte des variantes mais au bilan la température augmente avec la concentration de GES. Vous avez donc raison: sans «back radiations» la théorie du GIEC est inepte.
          L’autre théorie attribue à la convection l’essentiel du transfert d’énergie vers l’altitude d’émission et un second rôle aux gaz à effet de serre.
          Bien à vous,
          R Doisneau

  22. @Marie-hélėne Althaus : Je n’ai toujours pas votre réponse à mon commentaire écrit il y a 2 mois sur cette page :
    Vous écrivez “des changements dans les courants jet qui se sont déplacés, attribuée le plus souvent à l’homme”.
    L’homme est capable de déplacer les courants jets en faisant passer le taux de CO2 de 0,03 à 0,04% ?
    Et à 0,06% ils se déplacent à quelle latitude les courants jets ?

    Alors ?

  23. Bonsoir,
    Vous êtes toutes et tous un peu fatiguants !
    Vous nous citez tous des tonnes de chiffres, mais sans aucune précision.
    1 Gtges à +/-1% ou +/- 10%, ce n’est pas la même chose.
    L’augmentation de température pour 2023, quelle précision ??
    D’aileurs, quel appareil mesure le GES ??
    On nous culpabilise en disant qu’on émet tant de kT de GES, mais comment le mesure t’on ??

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