Hacker les fonds verts pour la prévention des risques majeurs

Par Cédric Moro

Cet article n’engage aucunement les partenaires du projet Prevention-Projects ou les autres actionnaires de la société I-Résilience. C’est une position personnelle au regard des connaissances et des expériences de ma vie passée à œuvrer à la prévention des risques majeurs ; faite d’intégrité, de lucidité et de travail dévoué, vrai boulet à porter de nos jours dans le contexte bien réel que je vais vous présenter ci-dessous. L’article ci-dessous est donc probablement l’inverse de ce qu’il faut faire au niveau commercial pour lancer l’application que je vais vous présenter mais vous allez comprendre pourquoi tout ne doit pas être accepté pour des considérations financières, même parfaitement légales, surtout dans le domaine de la prévention des risques majeurs, d’utilité collective.

Quand j’analyse l’efficacité de la dynamique dominante mondiale de prévention des risques majeurs et ses conséquences concrètes dans la gestion pour le moins difficile et à courte vue des différentes catastrophes récentes, je me dis qu’il n’y a vraiment aucune raison valable pour que les financements liés à la prévention des risques majeurs s’apparentent à des secrets bien gardés par certaines personnes bien introduites. Je les ai donc hackés, avec une application en ligne inédite au niveau mondial, de surcroît gratuite, qui vous sera présentée en fin d’article.

Une dynamique mondiale de prévention, facteur d’hypo-résilience

La réduction des risques de catastrophe (ou prévention des risques majeurs) ne fait partie d’aucun des 17 objectifs de développement durable des Nations Unies (1), malgré pourtant l’existence du cadre de Sendaï (2) élaboré par l’UNDRR (Nations-Unies pour la réduction des risques de catastrophes) qui permet aux territoires et aux fonds financiers d’être efficacement guidés vers une diminution des risques de catastrophe. Parce que les catastrophes peuvent faire régresser d’importantes parties de territoires, briser des vies et fragiliser l’humanité, la réduction des risques de catastrophe aurait dû constituer à elle seule un de ces objectifs mondiaux du développement durable. C’est une des premières erreurs des Nations Unies dans sa stratégie globale.

Car, sans objectif clair alloué à la prévention des risques majeurs dans les objectifs mondiaux du développement durable, il est alors plus difficile pour les acteurs internationaux de lui donner de l’importance, de la visibilité et d’y mobiliser des financements de manière coordonnée. Il est également plus difficile de savoir où et comment convergent les financements de la réduction des risques de catastrophes.

Ainsi, venant confirmer ces faiblesses structurelles mondiales, les experts du Climate policy initiative, proches des Nations-Unies, ont pu constater que, pour les risques climatiques, sur les 653 milliards de $ mobilisés annuellement, 90% des financements va vers la décarbonation (586 Mds $), seulement 7,5% vers l’adaptation à l’évolution du climat (49 Mds$) et 2,5 % ont un impact sur les 2 en même temps (17 Mds$). (3) (NB).

Cette hypertrophie financière mondiale en faveur de la décarbonation atmosphérique prouve que le leadership dans la gestion du risque climatique échappe aux Nations-Unies, puisqu’elles-mêmes ont déclaré (4), à tort ou à raison, que 50% des financements climat devaient aller dans l’adaptation. Malgré sa débauche de moyens, cette stratégie d’atténuation, sous contrôle des milieux financiers, est complètement inefficace à atteindre ses objectifs, c’est à dire à enrayer la progression constante des taux de CO2 dans l’atmosphère, comme les mesures au Mauna Laua en attestent (11).

Au détriment d’investissements dans les secteurs vitaux comme la santé, la lutte contre la pauvreté ou les conditions de travail, cette stratégie d’atténuation, qui emporte avec elle les politiques de développement et les dettes des pays (estimation de 6000 Milliards de $/an pour atteindre le net zero CO2 en 2050 – (3)), est de surcroît un facteur majeur d’hypo-résilience. Au nom des catastrophes météorologiques et climatiques, elle détourne l’attention des politiques de financements qui auraient été utiles à une prévention efficace, par exemple en direction des aléas majeurs qui font le plus de morts (épidémies, séismes) ou même seulement en direction de l’adaptation climatique dont on aurait pu croire qu’elle puisse être une grande bénéficiaire de l’alarmisme climatique.

Même si je progresse jour après jour en efficacité dans mes recherches sur les fonds de prévention des risques majeurs, je constate qu’il n’y a que très peu de fonds et donc d’appels à propositions dans les préventions sismiques et, dans une moindre mesure, épidémiques (car le covid-19 a été l’occasion d’une reprise de conscience) ; celles qui permettraient pourtant de préserver le plus de vies. Par exemple, la grande majorité des zones côtières peuplées et à risques de tsunami n’ont toujours pas d’abris sûrs, en hauteur, pour recueillir les populations si ce phénomène se produit. Par exemple aussi, la catastrophe sanitaire du covid-19 (au moins 7 millions de morts confirmés à cette date selon l’OMS – 6) a mis en évidence un déficit en prévention des épidémies qui aurait permis de mieux freiner la pandémie dans ses premiers stades de développement et d’éviter de prendre certaines des mesures les plus douloureuses pour la population mondiale.

Donc, à cause d’une tendance dominante de gestion des risques majeurs centrée sur le CO2, impulsée depuis des décennies, l’humanité se trouve freinée par un cercle vicieux de mal-développement mondial :
Inefficacité de la dynamique dominante de prévention des risques majeurs par la diminution du CO2 -> Catastrophes -> Afflux d’aide et financements onéreux des reconstructions->Peu d’argent investi dans une prévention efficace->Catastrophes.

Pourtant, tout l’intérêt d’une réelle prévention des risques majeurs est de financer les conditions de la résilience en amont de la manifestation d’un aléa majeur, pour diminuer sensiblement les victimes et le coût des catastrophes. Comme le souligne l’UNDRR, qui ne parle pas ici d’atténuation climatique : « Des investissements mondiaux de 1,6 milliards d’euros dans des stratégies appropriées de réduction des risques de catastrophe pourraient éviter des pertes de 6,4 milliards d’euros. » (5). Du côté de certaines grosses ONG, comme elles tirent leurs financements de catastrophes médiatisées et des fonds de la finance internationale, on comprend qu’elles ne fassent pas pression sur ce cercle vicieux, que leur communication s’appuie trop souvent sur le manque d’atténuation climatique et qu’elles se développent peu dans le domaine efficace de prévention des risques majeurs.

Il est donc impératif de ne pas laisser ce système hypo-résilient dans un tel statu quo.

Hacker l’idéologie climatique

Pour en sortir, je peux « hacker » ce cadre idéologique ultra-dominant et verrouillé autour de l’atténuation climatique en communiquant les données et les faits sur les risques majeurs, pratiquement inconnus du grand public et ignorés de beaucoup de décideurs :

  • Les catastrophes météo et climatiques sont une des causes de mortalité les moins importantes au niveau mondial ; (7)
  • Dans le domaine des catastrophes majeures, les épidémies et pandémies tuent environ 50 fois plus que les aléas météo et climatiques ; (8)
  • Dans le domaine des seules catastrophes naturelles ces dernières décennies, les seuls séismes tuent plus que tous les aléas météo et climatiques additionnés ; (9)
  • Le nombre de décès causés par les catastrophes météorologiques et climatiques est en diminution constante et sensible depuis le début du XXème siècle, même ces dernières dizaines d’années ; (9)
  • Un projet local d’atténuation climatique n’a aucun effet sur la température mondiale de l’atmosphère puisque même les plus ambitieux et onéreux qui ciblent au plus quelques centaines de milliers de TeqCO2 n’ont aucun effet (il faut enlever 1000 GT de CO2 pour diminuer de 0,45°C l’atmosphère selon le GIEC) (10-11).
  • Que la température est souvent un paramètre négligeable dans la prévention effective des aléas météos et climatiques (hors prévention des canicules et des vagues de froid) et que la gestion dominante par les taux atmosphériques de CO2 est, en toute honnêteté, sans efficacité constatée (11).

Coder une application « bottom-up » comme Prevention-Projects

Appelons un chat un chat : Puisque, comme nous venons de le voir, c’est l’élite de la finance verte qui est le principal facteur d’hypo-résilience dans la prévention des risques de catastrophes en aspirant au profit de la décarbonation les financements d’une vraie réduction des risques de catastrophe, je me demandais depuis un moment comment hacker cette excroissance  (pour ne pas dire tumeur). J’en suis ainsi arrivé à développer l’application Prevention-Projects, dans une logique bottom-up, visant les acteurs locaux de la prévention des risques majeurs pour qu’ils fassent remonter leurs projets, avec ou sans nos services. Les financiers verts (pléonasme contemporain) pourraient ainsi, si cela les intéresse, prendre connaissance des enjeux humains et économiques d’une prévention des risques majeurs efficace et la financer.

D’où le lancement ce jour de Prevention-Projects, application en ligne qui vise à aider les petites organisations de la prévention des risques majeurs à trouver à l’international des moyens de financer leurs projets locaux, quelque soit l’origine de ces financements.

Avec toutes ces mobilisations internationales anti-apocalypse depuis des décennies, très souvent impulsées par la finance internationale qui maîtrise certaines stratégies bottom-up, il est quand même pour le moins regrettable d’avoir attendu 2023 pour que cette initiative de transparence sur les opportunités globales de financements en prévention des risques majeurs naisse, de surcroît d’une petite structure privée ; ce qui symbolise probablement une volonté de la finance verte de ne pas mettre en avant les bonnes solutions face aux évolutions climatiques pour favoriser sa stratégie de décarbonation atmosphérique hyper lucrative où elle engrange nos subventions au nom d’une urgence internationale dévoyée.

Sur cette plateforme, surtout pas de fioritures comme des photos de la planète en feu ou d’un paradis vert enfin retrouvé, orné d’éoliennes subventionnées au capital. Seulement de l’info raffinée pour vous aider à financer, je l’espère, vos projets locaux et utiles de prévention des risques majeurs. Pas non plus aussi d’approche en silos : des fonds propres de l’OPEC à la fondation Mirova (Natixis, qui finance par ailleurs l’activisme anti-CO2 de Cyril Dion), des rares ventures de la Climate-Tech intégrant l’adaptation climatique jusqu’aux pragmatiques aides nippones, nous allons essayer de détecter tous les appels à propositions dans lesquels vous pourrez insérer votre projet.

Je ne vous en voudrais pas de caresser les rois de la finance verdâtre avec l’idéologie climatique dominante et nous pourrons même vous aider à adapter votre proposition aux nuances de leurs discours. Je comprends que votre but ultime est de les convaincre autour de votre projet d’utilité publique ou de gagner votre vie car je ne l’ai que trop vu et entendu en 25 ans d’expérience. Cependant, je vous invite sincèrement à considérer qu’il serait bénéfique pour l’humanité, qu’un jour, la vérité soit affirmée par le monde de la prévention des risques majeurs au sujet de la stratégie d’atténuation climatique : la décarbonation, véritable gouffre financier public d’une prévention des risques inefficace, constitue un facteur puissant d’hypo-résilience mondiale ; qui se traduit hélas en pertes de vies humaines à chaque catastrophe qui aurait pu être évitée ou amortie par une prévention réaliste. A cause des observations scientifiques sur les risques majeurs que j’ai évoquées plus haut, je ne considère pas que la stratégie d’atténuation climatique relève de la prévention des risques majeurs et je ne recenserai donc aucun des appels à propositions en décarbonation sur Prevention-Projects lorsque l’appel en est le but exclusif, même si notre intérêt financier évident serait de le faire tant les appels en atténuation constituent la majorité écrasante des appels à proposition dans le domaine des risques majeurs.

A vrai dire, il est intolérable sur le plan humain d’entendre beaucoup de médias et de politiques occidentaux, à chaque catastrophe météo où des dizaines de personnes sont mortes, accuser le dérèglement climatique (lié donc au CO2) alors que nous, experts en prévention des risques majeurs, savions comment nous aurions pu les éviter ou les amortir. Le pire, c’est que les éoliennes ne sont souvent pas loin de ces scènes de désastre, symbolisant l’arrogance, l’ubiquité et la victoire des financiers internationaux mais surtout l’échec des nouvelles stratégies censées nous protéger.

Par exemple, malgré d’autres facteurs de mortalité et de pauvreté bien plus importants que les catastrophes météorologiques et climatiques, le Sénégal s’est couvert d’éoliennes et de panneaux solaires ces dernières années, en faisant un champion régional en puissance installée en renouvelables, alors qu’à son grand regret, il a un potentiel gazier susceptible d’alimenter en électricité toute la sous-région qui reste sous-financé ; la finance mondiale s’y opposant sous prétexte que cela emmétrait des gaz à effet de serre et amplifierait l’urgence climatique. Pendant ce temps, les habitants de beaucoup de villes du Sénégal, de Dakar à Mbour, de Saint-Louis à Touba, souffrent et meurent d’inondations et d’insalubrités pendant la saison des pluies sans que de structurels plans de prévention aient été massivement financés pour y remédier (beaucoup de ces quartiers vulnérables n’ont même pas d’égouts et de réseaux de drainages, faute de fonds alloués). Certains fonds climat, qui cherchent à financer au Sénégal des mouvements climat bottom-up anti-CO2 dans la population, n’arrivent pas à mobiliser massivement car, ce que demande en grande majorité la population sénégalaise, et c’est bien visible à travers les reportages de la presse locale à chaque inondation, ce sont de très concrets réseaux de drainage et une stratégie efficace de gestion des risques d’inondation. Mais si peu les écoute et surtout pas la finance internationale, qui est loin d’avoir abdiqué à faire passer dans les corpus législatifs nationaux les réglementations les plus restrictives sur les émissions de CO2 et les plus incitatives sur les produits industriels qu’elle vend au nom de la sauvegarde du climat. Elle y arrive en partie, notamment via les accords internationaux sur le climat que les pays du sud n’ont souvent pas d’autres choix que de signer tant les investissements et l’aide internationale au développement y sont maintenant conditionnés.

Que ce soit au Sénégal ou ailleurs dans le monde, les victimes de catastrophes souffrent donc toujours des prédations du système financier international, repeint en vert ce dernières décennies, qui décide de la priorité de décarboner en négligeant leurs appels à une prévention réaliste et en instrumentalisant leur détresse à son profit. Il est hors de question que ce soit le cas de la plateforme Prevention-Projects, qui écartera les appels à projets pro-climat où il n’y a aucune place à l’adaptation. Cette application s’adresse directement aux porteurs de projets locaux de prévention des risques majeurs, avec peu de moyens financiers, ignorés dans leurs quartiers marginalisés, en Inde, à Haïti, au Niger, au Vanuatu, en France ou dans le bassin du Mékong. J’espère ainsi qu’ils s’empareront des infos que la plateforme centralise gratuitement, pour y trouver leurs financements. D’où l’échelle mondiale qui a été choisie, la gratuité de base pour consulter tous les appels à propositions recensés, les deux langues internationales utilisées et une optimisation du référencement naturel sur le web pour by-passer les majors des réseaux sociaux où règne une censure climatique subjective.

Après cette intro de lancement sans compromission, reflet de l’indépendance de mon expertise et d’une vocation, d’un projet que j’ai hacké seul et pour lequel je ne voulais aucun compte à rendre à aucun fond vu l’idéologie oppressive dominante, je vous propose de découvrir Prevention-Projects :

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5 réflexions au sujet de « Hacker les fonds verts pour la prévention des risques majeurs »

  1. On notera par ailleurs que la notion de risque local est fortement diluée dans les discours pro-catastrophisme et selon un prisme qui se veut toujours alarmant et mondialisé.

    Ainsi, depuis le mois de juin, nous faisons face en France, mais pas seulement, à un été plutôt “pourri”, fait de températures pas vraiment estivales et d’épisodes de pluie fréquents. De fait, les discours actuellement servis portent exclusivement sur des pays étrangers où l’on peut mesurer un été chaud.

    A ce jeu là, il est toujours facile de gagner, puisque statistiquement il y aura toujours dans le monde, des zones plus chaudes que la moyenne… Si le risque climatique est effectivement faible au regard des morts dus à bien d’autres causes, il n’en reste pas moins vrai que vous trouverez toujours une zone, une ville, où il sera possible de faire un zoom climato-catastrophisme… Et donc d’affoler les populations à bon compte…

    • Mme Sandrine Rousseau est championne dans ce domaine: 60°C en Espagne… mais au sol.

      Suggestion à Mme Rousseau: prenez une tôle d’acier de 10 mm d’épaisseur, appliquez-y une bonne peinture noire haute température, comme sur les barbecues que vous détestez, et exposez-la en plein soleil, en Espagne, si vous pouvez. Au bout de 2 ou 3 heures, mesurez la température de la tôle avec un simple thermomètre à infrarouge.
      Vous pourrez annoncer une température véritablement cataclysmique et provoquer une véritable panique.
      Ou vous couvrir de ridicule, si cela est encore possible.

    • Excellent commentaire, Jacques.
      A ce jeu-là, les médias sont forts pour effrayer le peuple. On prend bien soin de mettre en exergue les pics de chaleur et de taire les pics de fraîcheur. Comme la neige qui est tombée en Afrique du Sud, les hivers très froids en Chine, aux USA, au Canada (les incendies estivaux ne sont que le fait de la bêtise de l’homme).
      Les SDF meurent en hiver, pas en été.
      L’été 2023 devait être plus chaud que celui de 2022. Il n’en est rien. On a eu tout au plus une bonne semaine de canicule, et encore, pas de partout en France.

  2. Cet article touche du doigt un constat qui semble de moins en moins discutables au fil des années : si par chance le monde occidental revenait à la raison, ceux qui ont provoqué tous ces changements inutiles et cette perte de moyens et de temps colossale risquent de devoir rendre des comptes.

    Pas seulement Moscovici , Barrau, Greta ou le bon pote, mais aussi le GIEC, l’ONU, l’Europe et tous les dirigeants impliqués.

    Or, il y a des milliards en jeu, qui n’ont pas été affectés à de grandes causes sociales, humanitaires, de développement. Et des morts, drastiquement plus qu’à cause de prétendus changements dans la fréquence des canicules ou des ouragans.

    Donc ces comptes risqueraient de devoir être rendus sur un plan pénal. L’écologisme est antihumaniste par essence. Il sera difficile de prétendre l’inverse encore bien longtemps.

    Je pense que la radicalisation extrême de certaines figures médiatiques du catastrophisme climatique est issue de ce constat : ou bien ça passe et la révolution (religieuse) du climat a lieu, interdisant toute pensée et toute science dissidente, ou bien ça casse et tout s’effondre ; avec de graves conséquences personnelles pour certains.

    Il est donc logique que les leaders de l’écologisme n’aient plus aucune limite dans l’usage de la propagande et du confusionusme. Je pense même qu’on est désormais à la limite de la violence à l’encontre de ceux qui voudraient empêcher cette folie. Être réaliste est une source d’exclusion sociale dans certains milieux.

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