COP28 : une agonie programmée

Après la défection de Joe Biden, le pape a lui aussi renoncé à prononcer son discours très attendu à la prochaine grand-messe climatique qui s’ouvre ce 30 novembre à Dubaï. Une simple grippe a ainsi coupé court à ce qui devait être un événement phare de cette millionième occasion de la dernière chance pour sauver la planète. Ce nouveau contretemps n’est que le dernier épisode en date d’une litanie de déconvenues qui frappent depuis des mois la version 2023 du rituel annuel des COP.

Dès le départ, le choix du pays hôte avait fait jaser, les Émirats Arabes Unis figurant dans le peloton de tête des pays producteurs de pétrole et en en tirant une source substantielle de revenus. Plus cocasse encore, on apprit par la suite que le président de la conférence serait Ahmed al-Jaber, ci-devant PDG de la compagnie pétrolière nationale. Pour mémoire, en 2016 celui-ci a fixé pour objectif à son entreprise d’augmenter sa production de 3 à 5 millions de barils par jour d’ici 2030, un projet de développement qui, n’ayons pas peur des mots, n’est pas exactement en ligne avec les aspirations des inquiets du CO2 pour qui la main des énergies fossiles se cache derrière chaque vague de chaleur (ou de froid).

Face à ces contradictions qui ont suscité un appel au boycott dans l’inévitable Monde, les diplomates ont vaillamment fait front selon deux lignes de défense. La première consistait à présenter le lieu de la conférence comme preuve d’une incursion bienvenue des moutons au cœur de la citadelle des loups. La seconde revenait à expliquer que les braqueurs sont les mieux placés pour savoir comment protéger une banque. Las ! Deux jours avant le début de la conférence, la BBC révélait que le pays d’accueil de la COP28 avait profité sans vergogne de la position stratégique qui lui était offerte par la diplomatie climatique pour… développer des alliances internationales d’exploitation de nouveaux gisements pétroliers et gaziers.

Fin octobre on apprenait aussi que le pays hôte ne voyait aucun problème à faire travailler des ouvriers migrants sous une température de 42 degrés pour que les bâtiments en construction pour la COP28 soient prêts à temps. S’agissant de lutter contre le réchauffement climatique, l’événement ne manquait pas d’une cruelle ironie.

Les élections de Javier Milei en Argentine et de Geert Wilders aux Pays-Bas, deux nouveaux dirigeants frontalement opposés à l’alarmisme obligatoire, ont été autant de nouveaux coups portés au barnum climatique. Ils ne suffiront certes pas à entraîner la chute d’un mammouth remarquablement efficace pour ignorer le réel et faire croire aux 70 000 participants annoncés (nouveau record à battre) à leur importance dans la marche du monde.

Pendant ce temps, la Chine, championne olympique des belles promesses climatiques, a autorisé en 2022 la construction de deux nouvelles centrales au charbon par semaine. La Russie, autre gros émetteur de gaz satanique, augmente lentement mais sûrement ses émissions. L’Inde fait de même, à un rythme beaucoup plus soutenu : elle représente désormais 7,3% des émissions mondiales (contre moins de 4% en 2001) et ne devrait pas avoir à attendre 2030 pour avoir triplé ses émissions depuis cette date. Quant aux réductions d’émissions tentées à grands frais par les pays occidentaux dans leur campagne d’affichage de vertu, elles sont bien loin d’être en mesure d’inverser la tendance mondiale, invariablement à la hausse malgré les grandiloquentes annonces empreintes de néocolonialisme vert.

L’agonie programmée de la COP28 permettra-t-elle d’en finir avec ces cirques diplomatico-climatiques à répétition ? Les échecs répétés et ruineux des COP devraient montrer à tous les environnementalistes de bonne volonté qu’il est temps d’en finir avec la pensée magique et d’en revenir à des stratégies intelligentes d’adaptation aux caprices de la météo.

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92 réflexions au sujet de « COP28 : une agonie programmée »

    • @MLA

      Tout cela n’est que la variation climatique standard, subi par notre planète…

      La variation de 120 m des Océans il y a seulement 10 000 ans, c’est la faute du CO2 anthropique ?

      • Non, ce que nous sommes en train de faire est tout à fait inédit et brutal et n’est pas “la variation standard du Climat”.
        https://www.nature.com/articles/s41597-020-0530-7/figures/3
        https://www.nature.com/articles/s41597-020-0530-7

        Et votre dernière phrase montre que vous méconnaissez pas l’Histoire du Climat de la Terre et ses différentes échelles de temps.
        Tenez, écoutez ça.
        https://www.youtube.com/watch?v=v76nV2NyG2c&t=362s

      • Cette élévation de 120 mètres est dû à un réchauffement naturel, très bien connue des climatologues. Cependant, lors de la sortie de la dernière glaciation, le climat de la Terre s’est réchauffé d’environ 5 °C en 10 000 ans. Le réchauffement climatique actuel est au moins quatorze fois plus rapide, ce qui devrait vous donner un indice fort de la cause de ce réchauffement.

        À l’échelle du siècle les facteurs naturels type activés volcaniques, volcanismes explosifs, de type de variations d’activités du Soleil n’ont quasiment pas d’effet. La variabilité spontanée du climat due aux échanges entre le sol et l’atmosphère, bien sûr c’est présent d’une année à l’autre, c’est présent d’une décennie à l’autre à l’échelle régionale, mais ça n’explique en rien les tendances observées. Sur les tendances observées, la meilleure estimation du GIEC c’est que pour le réchauffement, 1,2 °C maintenant, c’est intégralement dû aux conséquences de l’influence humaine sur le climat.

        • Parce que pour vous causer la disparition de 80 à 90 % des espèces vivantes c’est être sans effet ?
          https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/paleontologie-plus-grande-extinction-masse-histoire-aurait-commence-hiver-volcanique-5390/
          https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/crise-climatique-fertilisation-origine-volcanique-oceans-aurait-entraine-plus-grandes-extinctions-masse-95385/
          Aussi je ne saurais que trop vous conseiller la lecteur de cette article où l’on peut notamment lire que “Les deux éruptions les plus importantes du dernier millénaire qui ont eu lieu en Indonésie, à savoir celles du Samalas en 1257 et celle du Tambora en 1815, ont provoqué une baisse des températures de 0,8 à 1,3 degrés.”
          Il également fait mention de l’éruption du Laki en Islande, notoirement connu pour avoir été un des facteurs déclencheurs des évènements de 1789.
          https://odysseedelaterre.fr/volcanisme-refroidissements-climatiques/

          Enfin, la hausse de températures ayant conduit à la sortie du dernier âge glaciaire glaciation fut bien plus brutales que vous nous le dîtes. Vous devriez mieux vous renseigner. https://cordis.europa.eu/article/id/29576-greenland-ice-core-points-to-rapid-climate-change/fr
          Voici ce qu’on peut lire dans cet article : “Des analyses de la composition de la glace montrent que la température dans l’hémisphère nord a augmenté de près de 10 °C en une dizaine d’années à deux reprises. La première variation climatique s’est déroulée il y a de cela 14700 années, époque à laquelle la planète était encore en proie à la dernière ère glaciaire. La période chaude qui a suivi a duré moins de 2000 ans, avant que le climat ne se refroidisse. Le second réchauffement climatique s’est passé il y a 11700 années, marquant la fin de la dernière glaciation.” Ainsi votre argument tombe à l’eau.

          Et histoire d’enfoncer le clou. https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-plus-30-changements-climatiques-brusques-durant-derniere-periode-glaciaire-86788/

        • @Alex
          Désolé mais votre raisonnement est absurde.

          Les variations estimées il y a longtemps ne sont pas connues avec une granularité à l’année, même pas au siècle.

          Nous avons donc une information sur la variation en quelques millénaires mais la courbe est lissée : nous n’avons AUCUNE idée des micro variations à l’échelle de quelques décennies.

        • Avec sa meilleure estimation, comment le GIEC explique-t-il le réchauffement parfaitement naturel de 1 °C en 9 mois que la Terre a connu entre février et octobre 2023, alors qu’en janvier dernier, la température était simplement stable, sinon en voie de refroidissement, par rapport à la moyenne des trois dernières décennies ?

          https://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/UAH_LT_1979_thru_November_2023_v6_20x9.jpg

          Avec +1 °C de hausse naturelle en seulement 9 mois, le GIEC peut-il encore argumenter que la hausse d’environ 1 °C depuis 1850 est forcément d’origine humaine au prétexte de la rapidité de la hausse ? +1 °C en seulement 9 mois n’est-il pas assez rapide pour le GIEC ?

          Soyons sérieux une minute : le GIEC a définitivement échoué en 2023 et c’est la nature elle-même qui, parce qu’elle est bien faite, a mis un terme au délire réchauffiste. Sur cette base déjà solide, la dernière COP organisée chez les pires pollueurs de la planète sera le dernier clou refermant le cercueil du réchauffisme. Avant la fin de l’année, l’autolyse du GIEC sera complète.

          Dubaï, le terminus des prétentieux.

        • @Kibkaloo
          Consultez le site “Abrubt Climate Change” et vous pourrez y lire qu’on a mis en évidence à la fin de la dernière glaciation au Groenland et aussi en Antarctique des hausses de température bien plus importantes (jusqu’à 10°C) en l’espace de quelques années. Vous ne prouvez donc rien avec le modeste réchauffement actuel d’environ 1°C en un siècle .
          On a pu déterminer que l’entrée de la fameuse grotte “Cosquer” dans les calanques de Cassis, actuellement noyée à 37 mètres de profondeur, était encore à l’air libre il y a 8000 ans. Ce qui nous donne une vitesse moyenne de montée du niveau marin de l’ordre de 4,6 mm jusqu’à aujourd’hui. Au marégraphe de Marseille, à environ 6km de distance, on constate une montée annuelle d’environ 1,5 mm/an sans qu’on ne puisse déceler la moindre accélération du phénomène. J’en conclus donc que la montée du niveau de la mer est en phase de décélération…
          D’ailleurs la plupart des marégraphes de la planète équipés de balises altimétriques GPS destinées à corriger la variation verticale de leur substrat donnent des valeurs voisines et eux aussi ne constatent AUCUNE accélération notable du phénomène, contrairement aux affirmations mensongères du GIEC.
          A ce sujet: “Relative sea-level rise and land subsidence in Oceania from tide gauge and satellite GPS”
          https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/nleng-2020-0007/html?lang=en

      • Concernant la montée des eaux il y a 10000 ans, une explication existe, qui n’a rien à voir avec le CO2 bien sûr.
        Pardon de me citer, mais c’est plus rapide :
        On observe une période froide entre -12 800 (datée précisément au C 14) et -11 600 qui correspond au Dryas Récent. Cette période qui a duré 1200 ans fait suite à une catastrophe planétaire (une comète passée trop près selon, entre autres, les Amérindiens et surtout au vu des microsphérules de quartz et autres nanodiamants rencontrés dans la large zone d’impact dans les couches de -12800 ). Le cataclysme s’est traduit par des bombardements, des incendies, puis par un « hiver nucléaire » (absence de rayonnement solaire due aux fumées), et de nombreuses pluies (des « déluges » rapportés sur tous les continents). Les références sont multiples pour qui s’y intéresse.
        Outre les Amérindiens, les Gaulois qui n’avaient peur que d’une chose, que le ciel leur tombe sur la tête, avaient gardé dans leur mémoire collective le souvenir de la chute de multiples morceaux de comète sur le pays de leurs ancêtres. La zone d’impact comprend l’Amérique du Nord, l’atlantique-nord, l’Europe et le Moyen-Orient. Sous l’effet du bombardement multiple et de l’énergie cinétique des roches de la comète (vitesse énorme pouvant aller jusqu’à 70 km/s) les glaciers qui occupaient alors les parties supérieures de l’Amérique du Nord et de l’Europe ont rapidement fondu entraînant l’engloutissement de nombreuses zones habitées de la planète.
        Tout n’est pas à relier au sempiternel réchauffement, il y a des aléas extérieurs pouvant affecter le climat.
        Sur la comète de Clovis (du nom d’une culture paléo indienne du Nouveau Mexique), voir par exemple :
        https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/paleontologie-asteroide-serait-bien-origine-cataclysme-survenu-il-y-12800-ans-67138/
        Sur les températures:
        https://i0.wp.com/www.laterredufutur.com/spaw/images/climat-depuis15000ans.jpg

    • Si les 2,85 millions de km cubes de glace de l’inlandsis (calotte) du Groenland fondaient, ils causeraient une élévation du niveau moyen de la mer de 7,25 m. L’article cité parle de 0,012 m en 20 ans.

      Oui, la banquise d’été n’existe presque plus. Mais c’est un autre sujet. Il correspond à des oscillateurs atmosphériques et surtout océaniques dont on ne connaît pas les lois. Les banquises et tous les glaciers du monde représentent 3% de la cryosphère terrestre.

      Quant au niveau de l’océan, s’il est monté de 0,2 m en 120 ans, au Mont Saint-Michel, où la marée quotidienne peut atteindre 15 m, c’est grave, Docteur ?

      • Il n’y a probablement pas lieu de s’inquièter pas pour les habitants du Mont-Saint-Michel
        Par contre, les centaines de millions de gens qui vivent au bord des deltas du Gange, du Nil, du Brahmapoutre, exploitations agricoles devineront incultivables, un peu plus.

        • Ils ont eu certainement le temps de s’adapter, par exemple en apprenant l’apnée à vie, ou à se nourrir d’algues, puisque cela fait trente ans qu’on leurs dit que l’année à venir sera celle où ils vivront sous l’eau. Pour ce qui est du changement climatique basé sur le principe du Réchauffement, il faut savoir que c’est une théorie récente, les scientifiques d’il y a quarante ans prévoyait une ère glaciaire avec la même ferveur mélée de certitude que ceux d’aujourd’hui à nous penser un avenir en mode “pyrolise”

        • @MLA
          Les deltas et estuaires des fleuves ont la particularité d’accumuler chaque année des volumes énormes de sédiments dont le poids ne cesse de croître sur une surface relativement limitée, enfonçant lentement le substrat sous-jacent. Ce n’est donc pas le niveau marin qui monte dans le delta du Nil (ou du Rhône) mais le sol qui s’enfonce dans la mer…

          • Delta du Gange-Brahmapoutre, à la louche 17 km d’épaisseur de sédiments recyclés de la chaine himalayenne. Tant qu’il n’y a pas de barrages en amont pour bloquer la charge solide du fleuve, l’apport de sédiment au delta compense la subsidence. Sinon, Bangladesh sous l’eau. Et pas la fote au CO2 ! Pas la fote a l’élévation du niveau marin par fonte des glaces polaires.

          • Mais l’un n’empêche pas l’autre.
            Si le fond s’enfonce ET que le niveau de la mer augmente, cela s’ajoute.
            Nier vous que le niveau de la mer augmente, Jack ?
            Pourtant, ce sont des phénomènes physiques, conséquence du réchauffement, assez simples à comprendre:
            – La glace des inlandsis qui fondent, ça fait monter le niveau de mers
            – L’eau qui se réchauffe se dilate donc prend plus de volume.

      • @Jean-Louis Legrand
        On a pu montrer que durant l’interglaciaire Eémien (l’interglaciaire Riss-Würm, 130000-115000 BP)) l’inlandsis Groenland avait dramatiquement fondu de près des 2/3 de son volume actuel et que le niveau des mers était d’environ 6 mètres plus HAUT que maintenant, preuve d’un intense réchauffement.
        Et cela, tenez-vous bien… sans que le taux de CO2 humain y soit pour quelque chose !
        Incroyable, hein !
        Effectivement le Groenland fond un peu plus vite que d’habitude parce que le réchauffement actuel touche préférentiellement l’hémisphère Nord. Mais à raison de 250 Km cubes de glace fondus chaque année, il faudra quand même qu’il dure 11400 ans pour fondre la totalité du Groenland, ce qui serait étonnant.
        Pendant ce temps l’Antarctique s’est refroidi depuis une vingtaine d’année, ce qui pourrait compenser très largement cette perte de glace dans notre hémisphère et alimenterait la théorie d’un cycle d’alternances inversées de réchauffements et de refroidissements entre nos deux hémisphère, puisque la montée du niveau des océans ne semble pas en être particulièrement affectée.

    • @MLA

      Vos liens montrent une augmentation de la “température moyenne” de 1,5 degrès en 150 ans, une augmentation du niveau des océans de 2 cm en 120 ans, ainsi que des conséquences “négatives” savamment sélectionnées (en prenant bien soin de ne jamais étudier des conséquences positives à cette variation).

      Problème : je pense qu’aucun climato-réaliste ne remet en question fondamentalement ces chiffres.

      On peut certes pinailler sur les chiffres exacts et surtout leur sens, leur pertinence, mais franchement ce sujet est secondaire.

      En revanche, il me semble qu’il n’a pas échappé à Benoît Rittaud que chaque caprice de la météo – à l’exception des vagues de froid exceptionnelles -, chaque ouragan, tempête, canicule, est attribuée par une grande partie de la presse et par tous les militants du catastrophisme climatique comme étant une conséquence du réchauffement de 1,5 degrès en 150 ans, lui même attribué sans que l’on puisse le démontrer aux émissions de CO2 d’origine humaine. Cette propagande est fausse, manipulatrice, indigne.

      Pour vous en convaincre, vous pourriez jeter un oeil honnête aux données dans tous leurs détails : il n’y a aucun signe, absolument aucun signe, d’une augmentation globale critique des catastrophes naturelles. Nier cette évidence altère sérieusement le vernis scientifique des climatologues qui se hasardent sur ce terrain glissant.

      Ces catastrophes sont donc bien des caprices de la météo. Certains de ces caprices ont des conséquences dramatiques pour les humains. La société doit donc apprendre à mieux s’y adapter, plutôt que de jeter des milliards d’euros par la fenêtre en combattant le CO2 qui ne semble pas avoir le moindre lien avec ces événements.

      La conclusion de Benoît Rittaud est indicutable scientifiquement et peut être facilement défendue politiquement, même si cela froisse vos propres convictions politiques alarmistes.

    • “La calotte du Groenland qui perd 5000 Gt en 20 ans, c’est un “caprice de la météo” ?”

      Soit 250 Gt par an. Comme l’épaisseur de l’inlandsis est de l’ordre de 2000 mètres, un seul km2 de sa surface représente environ 2 Gt. Donc le Groenland perd environ 125 km2 par an (calcul “à la louche”). Certes, çà fond, je ne conteste nullement le réchauffement de l’arctique mais il y en a quand même 1 800 000 km2 à passer à l’état liquide !

      Avez-vous déjà vu le Groenland de vos propres yeux ? Moi oui, je l’ai survolé quatre fois dans le sens long en allant au Japon par la route polaire. C’est assez impressionnant, toute cette glace ! Donnez-moi une adresse mail et je vous transmettrai une photo personnelle datant de 1977.

      • @serac parfait hors-sujet. Comme mentionné dans mon message, une tendance au réchauffement observée depuis 150 ans a des conséquences. Et ?
        Rien d’exceptionnel à l’échelle de l’histoire de la terre, et ne rebondissez pas sur la légende d’un caractère prétendu exceptionnel d’un réchauffement que l’on ne peut mesurer que depuis 150 minuscules petites années. Nous avons déjà débattu sur les inepties de Mann et leur aberration en terme de statistiques (basiques, élémentaires).
        Le simple fait que cet argument soit encore utilisé par des.climatologues en dit long sur la faiblesse scientifique de ce domaine.

        • Le Groenland ne fond pas, car l’inlandsis, sauf quelques jours en été (et encore même pas tous les ans) dans sa partie sud est constamment à une température inférieure à 0°C (voir les sites bien documentés “earth.nullschool.net” ou “windyty.com”). Il perd de la glace par vêlage (expulsion) d’icebergs et en gagne par les précipitations neigeuses. Chapeau aux glaciologues qui ont mesuré avec une telle précision son bilan massique, mais j’avoue que je suis un peu sceptique sur le chiffe annonce par MLA. (5000 Gt perdus en 20 ans). Le Groenland, tout le monde en parle mais très peu l’ont réellement vu. Prendre un billet d’avion pour Los Angeles est une bonne formule, de préférence en été, sinon c’est la nuit là-haut.

          • Et bien, si vous êtes sceptique sur ce chiffre, pourquoi n’allez vous pas vérifier ?
            Tenez, voici les sources.
            Je vous conseille ce site, Polar Portal, qui suit de près tout ce qui concerne le Groenland. Si vous vous y intéressez, mettez le dans vos favoris.
            http://polarportal.dk/en/greenland/mass-and-height-change/

            Et, franchement, compte-tenu du réchauffement, que je ne crois pas que vous niez, ce serait le fait que ça ne fonde pas qui serait étonnant, non ?

          • @Marie Laure A
            “Et, franchement, compte-tenu du réchauffement, que je ne crois pas que vous niez, ce serait le fait que ça ne fonde pas qui serait étonnant, non ?”

            Evidemment çà fond en ce moment. Mais pour faire disparaître l’inlandsis de 1 800 000 km2, il faudra quand même “un certain temps”. Vous l’admettrez aussi j’espère. A moins que d’ici là, une nouvelle glaciation n’apparaisse, Après tout, c’est bien ce que les glaciologues nous annonçaient il y a un demi-siècle. Tout le monde peut se tromper, n’est-ce-pas ?

            Merci pour la référence des mesures du bilan massique du Groenland. Les satellites, c’est vraiment formidable. Mais avouez-le quand même, pour cette immense masse de glace, c’est ‘pouième”. Quand on l’a vu de ses propres yeux , on relativise. Pas de quoi fouetter un pingouin.

            PS Tiens cela me rappelle la réflexion de JL Etienne lorsqu’il croisait en bateau juste devant la barrière de Ross en Antarctique, une falaise de glace de 700 km ( une émission Thalassa d’il y a pas mal d’années ) : “On nous dit que tout cela va fondre, mais je pense que d’ici à ce que cela n’arrive, l’homme aura eu le temps de faire d’autres bêtises”.

          • “Évidemment çà fond en ce moment. Mais pour faire disparaître l’inlandsis de 1 800 000 km2, il faudra quand même “un certain temps”.”

            Ça c’est sûr. Et puis selon Polar Portal cela représente en terme de volume de glace 2 900 0000 km3. Or quand on sait qu’une gigatonne de glace ça fait environ 1,087 km3 (la masse volume de la glace étant de 920kg/m3), on se dit que 5000 Gt c’est assez peu au final.

            On imagine assez bien que si au lieu de titré comme l’on fait beaucoup de journaux “qu’en 20 ans la calotte glaciaire du Groenland a perdu 4700 gigatonnes”, ceux-ci avaient plutôt titrés “qu’en 20 ans, le volume de la calotte glaciaire du Groenland a diminué d’à peine 0,18%”, ça aurait fait nettement moins catastrophiste.

            Et puis, si dans le corps de l’article on expliquait que depuis une dizaine d’année le rythme auquel fond la glace de cet Inlandsis a tendance a diminué, et que durant les années 2017 et 2018 le bilan annuel avait même été positif, il y aurait alors tout lieu de parier que cela n’aurait guère susciter beaucoup d’angoisse chez le lecteur.

            Bien sûr je n’invente rien et il s’agit de données purement officielle.
            Tout un chacun peut le vérifier en cliquant sur le lien ci-dessous et en se rendant à la page 4.
            http://polarportal.dk/fileadmin/user_upload/PolarPortal/season_report/polarportal_saesonrapport_2020_EN.pdf
            Et pour ceux qui souhaiteraient savoir ce qui l’en est pour les années 2021 et 2022, et bien il vous suffit de cliquer sur ce lien :
            https://archiv.klimanachrichten.de/wp-content/uploads/2022/09/image001-17.png

            Bon et bien voilà, je crois qu’avec les diverses informations que je vous ai communiquées chacun pourra désormais se faire un avis éclairé sur le sujet.
            Ah et dire que je ne suis même pas rémunéré pour ce travail de réinformation que je fais, alors que pendant ce temps certains se font j’imagine grassement payés pour venir jouer les trolls sur ce site.
            Que le monde est injuste.

          • Oui voila, quand tu parles en unités de “terrain de football” ou de pays, ça fait plus catastrophiste. Quand tu remets en perspective, ça l’est beaucoup moins.

            C’est loin d’être neutre.

    • Et alors, où est le problème ?
      En quoi cela désigne-t-il l’homme comme “grand responsable” éternellement coupable ?
      Le climat évolue ? Eh bien il faut s’a-dap-ter !
      L’humanité a traversé bien pire dans son histoire avec les glaciations, les grandes sécheresses, les famines, les guerres, les épidémies meurtrières, autrement plus que notre gripette covidienne qui a surtout révélé les graves insuffisances de notre système de santé (à l’instar de l’école, de la police, de la justice, de la SNCF etc.) et qui fut très habilement exploitée par le pouvoir empêtré dans la crise interminable des Gilets Jaunes …
      Alors arrêtez de taper des talons Marie-Laure-Eloi pour nous instiller votre Grande Peur : vous nous fatiguez ! et allez vite acheter vos palmes et votre tuba en attendant la fin du monde, ça urge…
      Vous me faites vraiment pitié avec votre grande trouillasse que vous essayez de nous refiler désespérément à chaque billet : vox clamantis in deserto… ça doit pas être la fête tous les jours à la maison.
      Pensez à vos collègues du GIEC qui vont s’en mettre plein la panse (et autre chose) aux frais du sultan, qui lui va engranger les contrats pétroliers dans la grande pantalonnade annuelle au royaume du pétrole, dans le ballet incessant des jets privés et des limousines de grand luxe…
      Apprenez à rire, homme libre… mais aussi à péter un grand coup (en prenant bien le vent au doigt mouillé), ça vous décrispera les zygomatiques… et surtout ça nous fera des vacances !

    • 20 cm de hausse des océans en 120 ans , vous êtes sérieuse ?
      5 000 km cubes de moins sur 3 000 000 de km cubes en 20 ans , vous êtes sérieuse ?
      Je vous le fais en euros :
      Je perds 5 mille € sur mes 3 millions d’€ en 20 ans, suis-je ruiné ?

      Tant qu’à la banquise Arctique, Emmanuel Garnier dans une de ses conférences, disait que la banquise était au niveau des années 1940 !
      J’avais fait remarquer cela à des alarmistes, avec vidéo à l’appui et ces alarmistes m’avaient répondu : c’est un second couteau, c’était en fin de conférence et il était fatigué ….

      Pauvre alarmistes, je vous plains !

      • D’après le très sérieux NSIDC (National Sea and Ice Data Center), l’étendue minimale de la banquise arctique en septembre s’est stabilisée depuis une quinzaine d’années aux alentours de 3,5 millions de km2 Sa disparition totale en été, c’est l’Arlésienne.

      • Ah, mais si on s’arrêtait là, ça ne serait pas un gros souci.
        Le problème est que ça continue
        Je vous rappelle que la dernière fois que le CO2 avait été au dessus de 400 ppm, c’était au Pliocène il y a 3 millions d’années, la calotte du Groenland …n’existait pas,
        Et le niveau de la mer était de 20 mètres au dessus de l’actuel.

        • Quant à moi je vous rappelle que vous étiez sensé passer à l’étape suivante de votre démonstration dès que j’aurais répondu oui à votre question.
          Or je constate que vous avez répondu à 15h51 au commentaire de Laurent Saez qui a été écrit hier à 17 h 48 min et pas au mien qui a pourtant été écrit 3 heures et demi plus tôt. Et vu que le dernier commentaire publié sur ce site date de 18h51, je dois dire que je commence quelque peu à m’inquiéter.

          Aussi ah à ce que je vois vous semblez suggérer qu’il existerait une relation entre le niveau de concentration de CO² dans l’atmosphère et le niveau de la mer.
          Or c’est ballot pour vous, mais le mois dernier un des rédacteurs du site Notrickzone présentait justement les conclusions d’une étude réalisée sur le sujet parue il y a deux ans de cela. https://notrickszone.com/2023/10/09/greenland-ice-melt-has-added-just-1-2-centimeters-to-sea-levels-since-1992/

          Et voici une traduction Deepl de deux passages de l’article en question, qui je l’espère vous permettront de vous rendre compte que votre discours alarmiste sur la fonte des glaces au Groenland n’a pas lieu d’être.

          “Au cours de la dernière période interglaciaire, interglaciaire, il y a 127 à 119 000 ans,(une période qui vous en conviendrait est tout de même un plus récente que votre Pliocène), le CO2 atmosphérique était estimé à 275 ppm et pourtant, le niveau des mers était de 6 à 9 m plus élevé qu’aujourd’hui” .

          “De 1992 à 2020, lorsque le CO2 est passé de 356 à 415 ppm, la contribution de la fonte des glaces du Groenland à l’élévation du niveau de la mer n’a été que de 1,2 cm au total.”

          • Dites donc, vous me suivez à la trace, M.Goncalves..
            J’hésite entre me sentir flattée et flippée.

            Alors, rassurez vous, je ne vous snobe pas et j’allais vous répondre avec plaisir mais vous avez peut-être remarqué qu’au bout de quelques réponses, on ne peut plus répondre aux échanges (l’onglet “Répondre” ne s’affiche plus)

            Alors, j’ai vu effectivement que vous semblez avoir compris qu’un pull ne produit pas de chaleur mais réduit les pertes thermiques de votre corps. Vous m’en voyez ravie. C’est une premier étape et un premier acquis.

            Alors on va affiner un peu avec une autre analogie, qui se rapproche de notre cas:

            Considérez deux maisons, strictement identiques, côte à côte, de même taille,….
            Elle sont chauffées chacune par une source de chauffage. Un poêle à bois, par exemple, si vous avez besoin de visualiser, mais peu importe…Ce qui importe c’es qu’il soit de puissance fixe, non réglable, en Watts, disons 10 kW pour se fixer les idées.

            Les 2 maisons sont mal isolées, il y a donc beaucoup de pertes par le toit.
            Ces pertes augmentent avec la différence entre la température intérieure Ti et la température extérieure Te < Ti.
            Mais, pour une certaine température, les pertes baissent quand la qualité de l’isolation augmente.

            Quand l’apport de chaleur fournie par votre chauffage est égal aux pertes vers l'extérieur, et bien l'intérieur de la maison reçoit alors autant de chaleur qu'il en perd : il atteint une température d'équilibre.
            Pour se fixer les idées, dans le cas de nos 2 maisons, à l’équilibre, disons qu’il fait 15°C dans chacune des maisons.

            Maintenant, vous isolez le toit d’une des 2 maisons, mais pas l’autre maison.
            Sans changer la puissance du chauffage fixe dans les 2 cas

            Dans la maison isolée, à 15°C, les pertes sont maintenant plus faibles, inférieures à 10 kW.
            Donc l'intérieur reçoit 10 kW mais perd moins de 10 kW. La température intérieure Ti augmente.
            Donc l'écart Ti-Te augmente.
            Et le flux de chaleur sortant augmente à nouveau, jusqu’à atteindre 10 KW.
            Et quand il atteint 10 kW, on est à nouveau à l'équilibre,… mais une Ti plus élevée.
            A ce nouvel équilibre, il fait par exemple 17 °C.

            Voilà, M.Goncalves.
            Vous voyez:
            L’isolant ne produit pas de chaleur. Pourtant, il s’est bien traduit pas une hausse de la température intérieure: De 2°C dans notre exemple.

            L’effet de serre atmosphérique, bien évidemment, implique des phénomènes physiques différents, essentiellement radiatifs, mais le principe du point de vue du bilan thermique global est le même :
            L'augmentation de l'effet de serre réduit les pertes thermiques de la troposphère, dont la température augmente pour tendre à rétablir un nouvel équilibre.

            Dans le cas des maisons, on a toujours 10 kW d'apport et 10 kW de pertes, mais à 15°C dans la maison mal isolée, et à 17°C dans la maison isolée.

            Dans le cas de l'atmosphère, on a toujours 340 W/m2 incident et 340 W/m2 sortant, mais avec plus de GES, la température est supérieure.

            Je crois que je vais avoir du mal à être plus pédagogique que cela, M.Goncalves, pour vous expliquer qu'on peut tout à fait augmenter la température d'un système en réduisant ses pertes thermiques.

            Bien, maintenant passons à votre question sur le lien entre CO2 et niveau des mers.
            Vous allez voir, c'est assez simple à comprendre aussi, M.Goncalves, et j'avoue être une peu déçue que vous ne l'ayez pas fait vous-même.
            Quand on augmente le CO2, on augmente l'effet de serre, donc on augmente la température de l'atmosphère, des océans, des continents,..
            Donc cela augmente le niveau des mers pour 2 raisons simples à comprendre
            – De l'eau plus chaude occupe plus de volume (ça s'appelle la dilatation thermique)
            – De la glace des inlandsis qui fond et se retrouve dans la mer augmente le volume d'eau dans les mers et donc le niveau des mers

            Et quant à la vitesse à laquelle les indlandsis fondent, et bien, ça ne fait que commencer car:
            – nous n'avons augmenté que de un peu de plus de 1 °C. Raison de plus pour ne pas aller trop au delà…D'autant plus qu'il y a des rétroactions (albedo,…)
            – l'inertie est forte.

            Puis je vous rappeler (ou vous apprendre), M.Goncalves, que la dernière fois qu'il y a eu plus de 400 ppm de CO2 dans l'atmosphère, c'était au Pliocène, il y a environ 3 Millions d'années. Il faisait 2 à 3 °C de plus, le niveau de la mer était 20 mètres plus haut, et la calotte du Groenland n'existait pas.
            Alors, on ira probablement pas jusque là cette fois-ci car on aura brulé tout le pétrole, le gaz et le charbon avant, mais même si on ne fait qu'une partie de ça, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée.
            En tout cas, faire passer le CO2 de 280 ppm à 420 ppm en environ un siècle est, de ce point de vue, une "expérimentation" inédite, brutale, et à grande échelle, en particulier avec une population de 8 milliards d'habitants sédentarisés.

            Autre chose, M.Goncalves ?

          • Bonjour à vous MLA-Brionne,

            Premièrement je tenais à vous rassurez sur le fait que je ne vous suis aucunement à la trace, c’est simplement que je lis la plupart des commentaires qui sont publiés sur ce site et vous remercie d’avoir eu l’obligeance le bien vouloir poursuivre la démonstration que vous aviez débuté.
            Deuxièmement, contrairement à ce que vous dite l’onglet répondre est toujours présent.
            Cela étant dit, je suis navré mais votre réponse est quelque peu hors sujet, puisqu’il n’était pas question dans le commentaire auquel je vous répondais “d’augmentation de l’effet de serre”.
            Pour rappel : “Les GES absorbent du rayonnement infra-rouge terrestre ascendant et le réémettent de manière isotrope. Cela réduit donc la perte de chaleur de la Terre, ce qui provoque un déséquilibre thermique. La Terre et la troposphère se réchauffent alors, émettent plus d’IR jusqu’à rétablir l’équilibre. C’est ça le réchauffement.”

            Êtes-vous sûr de bien comprendre ce que vous écrivez Brionne ?

            Quant à la seconde partie de votre commentaire elle tout simplement risible à mourir de rire.
            Premièrement je ne vous ai pas posé de question sur le lien entre le lien entre CO² et niveau de la mer, mais ai montrée à l’appui d’une étude réalisée sur le sujet, qu’il ne pouvait être établi aucun lien entre les deux, étant donné “qu’au cours de la dernière période interglaciaire, il y a 127 à 119 000 ans, le CO2 atmosphérique était estimé à 275 ppm et pourtant, le niveau des mers était de 6 à 9 m plus élevé qu’aujourd’hui” .

            Alors de deux choses l’une, soit vos capacités de raisonnement sont disons franchement limités, et auquel il est peu probable que nous puissions avoir un débat constructif, soit vous n’êtes, à l’instar de bon de journalistes, là que pour diffuser la peur et véhiculer la propagande officielle sur le sujet du climat, et auquel cas il serait également vain d’espérer que nous puissions avoir un débat constructif.

            Voilà c’est-là tout ce que j’avais à vous dire Brionnette.

  1. L’étymologie de la transition, énergétique ou écologique, parle d’elle-même.
    “Ition” du verbe ire = aller
    “Trans” = au-delà
    Donc agoniser.

  2. Ah, les COP, quel monde merveilleux, une orgie de CO2 !, par ceux là même qui nous interdisent d’en émettre…

    Ces gens auront un jour des comptes à rendre.

    • Qui vous interdit d’émettre du CO2 ? Il me semble qu’aucun des 195 États membres du GIEC n’interdit à ses habitants d’émettre du CO2. Un des objectif est de baisser notre emprunte carbone à 2 tonnes par an et par habitant pour espérer limite le réchauffement en dessous des 2 °C. Cependant, cet objectif n’est encadré d’aucune contrainte. Dans le cas contraire nous atteindrons certainement 2 °C en 2050 et 3 °C réchauffement en 2100, avec toutes les conséquences catastrophiques que cela implique.

      • “avec toutes les conséquences catastrophiques que cela implique.”

        Quelles catastrophes ? Z’êtes pas un peu fou ?
        On a atteint +2°C cet automne, sans que le CO2 en soit responsable.
        Les mers on débordé ? J’ai pas remarqué…

        On est vraiment chez les dingues. Le froid arrive, couvrez-vous.

      • @Alex L’histoire a montré que raconter son catéchisme n’est pas toujours une preuve d’intelligence.
        Cette rhétorique ne repose sur aucun fait prouvé, ni sur les causes, ni sur les conséquences .
        Ce ne sont pas des faits.
        Tout le problème est là.

      • Le CO2, naturel ou humain, n’a strictement aucune incidence sur le réchauffement. Par conséquent que nous émettions (empreinte) ou que nous consommions (emprunte) 2t de CO2 reste indifférent.
        Quant à ce qui se passera à la fin du siècle, comment ceux qui ne savent pas prévoir le temps qu’il fera dans 15 jours pourraient-ils prétendre savoir le temps qu’il fera en 2100 ?!? C’est grotesque.

      • Alex, “….les conséquences catastrophiques que cela implique” : vous parlez sans doute de la politique de la “transition énergétique” qui est la mort de l’économie de la France et de l’Europe, déjà en marche ?

      • Moi je dis : surtout prenez l’avion, dès que vous le pouvez, avant le train, et regardez par le hublot les nuages, les lointains nuages tout blancs, c’est si beau…ça vous fera oublier les tristes écolos tout gris qui rampent dans la poussière !

  3. La météo est différente du climat. C’est ce que disent les “climatologues”. sauf si on baptise désormais les bulletins météo “météo-climat” comme sur France2.
    En attendant :
    – la saison cylconique qui s’achève dans moins d’un mois dans l’Atlantique nord a été très, très calme, et bien loin des catastrophes annoncées.
    -, le niveau de la banquise arctique demeure faible, mais sans dégradation depuis 2011-2012 (courbes de la NOAA) alors qu’une nouvelle étude scientifique nous annonce sa disparition totale à la fin de l’été 2030. Pour l’instant, on n’en prend pas le chemin.
    – la neige est déjà tombée en abondance sur les Alpes et les Pyrennées. Météo France annonce même des risques d’avalanche. Les stations de ski alors qu’on annonçait leur disparition.
    C’est vrai que tout ça n’est que de la météo, pas du climat …

    • Sur M6 aussi, météo et climat.

      C’est MacLesggy en personne qui présente la météo, suivie d’un “point sur le climat”.
      Les températures ont dégringolé, en dessous des “normales”, mais ça ne change rien, il fait chaud, qu’il a dit. Là, j’ai pas compris…

        • Pffff !! et alors ? Qu’est-ce que ça peut faire ? On est tous morts ?

          Ça devient une vraie psychose. Maintenant il fait froid. Vous êtes contente ?

        • D’où l’ineptie de parler de “moyenne climatique mondiale” : il n’y a pas “un climat”, mais “des climats”, c’est même l’origine étymologique du mot (“inclinaison”, “latitude” etc.) !
          Mais évidemment les “scientifiques” ne travaillent pas sur le Réel pris dans sa totalité, sa diversité et sa complexité (c’est impossible), mais sur un échantillon du réel qui est leur vision à priori des choses, ici sur une “moyenne” qui n’existe pas mais sera leur champ opératoire sur lequel ils vont pouvoir opérer plus simplement, conformément à ce qu’ils cherchent… et ont déjà trouvé (à défaut de l’avoir prouvé).

        • La moyenne des températures n’a aucune valeur scientifique, ça a été démontré maintes fois (à moins qu’on ait trouvé l’anus de Gaïa…) et pourtant, vous continuez d’utiliser cette information.

          • Bien sur que si, vous pouvez une moyenne de températures.
            C’est une grandeur intensive, donc ça ne s’additionne pas,, mais on peut faire une moyenne. Il faut juste la calculer correctement et de l’interpréter correctement.
            Exemple: La température moyenne de l’air contenu dans un réservoir de 1 m3 à 20°C et de l’air contenu dans un réservoir de 2 m3 à 17 °C, c’est 18°C.
            C’est à dire que si vous connectiez adiabatiquement les 2 réservoirs, vous obtiendriez un réservoir de 3 m3 à 18 °C.

    • La météo est une discipline d’une effroyable complexité, au moins aussi complexe que la climatologie et nécessite des ordinateurs ayant une capacité de calcul monstrueuse pour obtenir une prévision fiable à quelques jours seulement.
      Et tout le monde peut constater l’humilité des météorologues qui en prennent plein la g… quand ils se trompent dans leurs prévisions à 5 jours, à comparer avec l’arrogance de certains climatologues autoproclamés qui nous annoncent l’apocalypse thermique pour avant la fin du siècle.
      Evidemment, ces derniers auront tous disparu bien avant 2100 et nous n’aurons d’autre ressource que d’aller cracher de dépit sur leurs tombes quand leurs prophéties de malheur se seront avérées… fausses.

    • Bonjour Sébastien, et pendant ce temps là…la France pêne à conserver sa note AA qui n’est déjà pas très reluisante. Mais pendant ce temps là…la France perd du temps et de l’argent avec la chasse inutile, ruineuse et idéologique au Carbone en réponse à un non-sujet. Merci

  4. Au passage : Coût de la lutte contre le réchauffement climatique : jusqu’à 16 500 milliards d’euros par an d’ici 2050

    Nicolas Lecaussin – IREF : “Le Sommet sur le climat ou la COP28 a commencé jeudi 30 novembre. Il est question, comme d’habitude, de dépenser encore plus pour « lutter contre le réchauffement climatique ». Or, comme nous l’avons démontré aussi dans nos travaux, plus on dépense d’argent public, plus la croissance économique baisse. Une étude réalisée par quatre économistes du MIT (Massachussetts Institute of Technology) et intitulée Zéro émission nette de CO2 d’ici 2050 : faisable et à quel coût ? estime que cette politique coûterait entre 8 % et 18 % du PIB annuel mondial d’ici 2050 et de 11 % à 13 % par an d’ici 2100.

    Le PIB mondial a été un peu plus de 100 000 milliards de dollars en 2022, ce qui voudrait dire que le coût du maintien de la hausse des températures en dessous de 1,5 degré ainsi que celui du zéro net à l’échelle mondiale pourrait représenter jusqu’à 18 000 milliards de dollars (16 529 milliards d’euros) par an jusqu’en 2050 et environ 12 000 milliards de dollars par an d’ici 2100.”

  5. Une info récente : selon le site Fipeco, une étude réalisée par François Escalle, ancien magistrat de la Cour des Comptes, chiffre le montant des subventions versées à la SNCF (Etat, régions, départements) à 20 milliards € en 2022.
    Pour mémoire dans le même temps, le montant de la TICPE (taxe intérieure sur la consommation des produits énergétiques) versée sur la consommatin des carburants s’est élevée à 30,5 milliards € (non compris la TVA qui est calculée sur la taxe et qui s’élève à 10 milliards €), soit un joli “magot” de 40 milliards €.
    Le magot disparaitra-t-il avec la voiture électrique ?

  6. +1.22°C, nous dit MLA.
    +1.22°C, c’est presque au seuil des 1.5°C a-delà desquels la planète est fichue.
    C’est une catastrophe. Le danger est imminent. Nous allons tous périr.

    Il faut immédiatement baisser le chauffage, clouer tous les avions sur le tarmac, et mettre toutes les voitures au garage. Abattre tous les troupeaux, planter 2 000 000 d’éoliennes, raser les forêts et les remplacer par des parcs photovoltaïques.

    Il faut enfin tous se mettre au vélo et bouffer du manioc bio et équitable.
    Les habitants de Iakoutsk sont dispensés: la T° est de -45°C en ce moment.

  7. Bonsoir Monsieur Benoît Rittaud…

    Plus besoin de lire Ionesco et son théâtre de l’absurde…

    Nous y sommes, en plein dedans. Une petite inquisition pour faire le ménage ? Hum ?

    🙂

    A++

  8. Lu dans les journaux ce matin :
    Le président de la Cop28, le Sultan Al Jaber, affirme qu’il n’y na aucun argument scientifique pour abandonner les ressources carbonées fossiles.
    La journée commence bien. Comme dit Benoit Rittaud, l’agonie de ce bazar débute. L’intelligence n’est plus dans l’usine à fous du monde occidental mais chez les BRICS.

    • J’ai été voir. Effectivement ça brasse à la Cop28 ! Il n’y a qu’à souhaiter que ses paroles aient enfin une répercussion sur la conscience internationale.
      A noter qu’il n’est pas sultan (monarque), Sultan est son prénom.
      Quoique, on a bien le roi Manu !

  9. Au passage : “Malgré le demi-tour nucléaire de la COP28, Jancovici veut vous sucrer vos animaux de compagnie” – Hashtable – Petites chroniques désabusées d’un pays en décomposition rapide…

    Extrait :

    “…

    D’ailleurs, puisqu’on parle de supprimer les voyages en avion, comment ne pas rappeler le cas (clinique, pour ainsi dire) de Jean-Marc Jancovici qui, récemment, voulait tendrement nous assigner à résidence pour le bien de la planète (un peu) et de son porte-monnaie perso (surtout) via des conférences sur l’énergie à la clef, en limitant de façon arbitraire et ridiculement basse le nombre de vols aériens autorisés par personne dans une vie.

    De façon coïncidente, le même verdolâtre vient de nous infliger une nouvelle réflexion, cette fois-ci sur les animaux de compagnie, estimant à tort qu’ils avaient un impact sur le climat. Harpant sur le fait (sans intérêt pour le climat, du reste) qu’un chien représenterait 1 tonne de CO2 (et 12.5 grammes de poudre de perlimpinpin, selon les calculs précis du laboratoire Jancobobar) soit 10% de l’empreinte carbone d’un Français, il en conclut qu’il faudrait tout faire pour se passer d’eux.

    Après l’interdiction larvée des voyages aériens (puis de tout voyage, hein, après tout, quel besoin d’aller plus loin que le département ?), après la volonté de masquer les animaux d’élevage, on sent nettement poindre l’envie d’interdire les animaux de compagnie qui mangent, qui occupent de la place et qui pètent sans arrêt.

    Finalement, c’est toujours la même chose avec l’écologie punitive : d’abord on calcule tout, on mesure, on vérifie ce qui dépasse et ce qui rentre dans les bonnes cases. Tout doit être connu, compté, avec cette précision que le ridicule ne peut jamais atteindre. Une fois les calculs faits, inévitablement, on commence à limiter, à restreindre pour qu’enfin, les observations rentrent dans les prévisions, qu’enfin la réalité se plie aux plans (quinquennaux). Le côté soviétique n’est pas fortuit : c’est la même pensée mécaniste, collectiviste et anti-humaniste qui est à l’œuvre.

    L’étape ultime est bien sûr atteinte lorsqu’on commence à interdire et à punir ceux qui ont bravé les interdictions en leur donnant ensuite le choix entre le goulag ou le plomb.

    …”

    • Ces propos sont très inquiétants. Pourquoi ? Parce que plus c’est excessif, plus c’est insensé, plus ça marche. “Plus c’est gros, plus ça passe” dit-on. Peu à peu, les idées les plus débiles se distillent dans les populations. Alors adieu, veaux, vaches, cochons, couvées, puis chiens et chats ?

      On a même réussi à faire croire aux gens qu’ils ont déréglé le climat de la Terre, et que la fin du monde est proche, par leur faute. C’est dire… Regardez donc MLA devenir hystérique pour 1.22°C de “moyenne” en plus au mois d’octobre, ce qui ne veut rien dire. Et pour un “excédent anormal” de 100ppm de CO2 -qui profite surtout aux végétaux- c’est à dire rien, que dalle.
      Plus la technologie évolue, plus on a d’instruments de mesures précis, plus on mesure de paramètres, plus on devient fous. Découvrir que la Nature est complexe et fluctuante nous inquiète, nous terrorise.

      Le géocentrisme était rassurant, d’une certaine façon…

      • L’hérésie dans le monde scientifique, c’est normalisée. C’est pour cette raison que je suis pour la mise en place d’une inquisition afin d’en finir avec ces hérétiques sectaires qui gangrènent nos institutions.

        Bon, pas de tortures, ni d’exécution, entendons-nous bien, mais disons un ménage : “merci messieurs-dames de quitter les lieux…”

        Le sectarisme idéologique n’a strictement rien à faire dans le monde des sciences, et nos universités ne doivent plus être des lieux d’endoctrinement, il en va de même avec l’ensemble de l’instruction nationale.

        J’ai dû moi-même réapprendre tout un ensemble de choses que l’on m’avait mis dans le cerveau.

        Le sectarisme idéologique doit dégager de nos institutions libérales.

        La société ouverte, c’est bien joli, mais c’est oublier qu’elle est aussi ouverte aux sectes, courants sectaires, qui vont finir par utiliser ladite société ouverte pour au final la détruire, de l’intérieur, et instaurer un genre de goulag intellectuel, avec interdiction de remettre en question les interprétations délirantes de ces gens.

        Nous allons sombrer dans l’obscurantisme. Ça a déjà commencé. et bien entendu tout cela étant accompagné d’un effondrement d’ordre éthique, recherche de la vérité et éthique étant intrinsèquement liées.

        A++

  10. Marrant et… inquiétant ! Et dire que ces gens sont bardés de diplôme. Mon chat a plus de raison, en se grattant l’oreille pour prédire le temps !
    Allez, on y va…
    https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/jean-marc-jancovici-explique-pourquoi-avoir-des-animaux-de-compagnie-a-un-impact-sur-le-climat-7900324573
    Il avait de la jugeote au départ, ce gars, mais comme Jouzel il est en train de céder au discours ambiant (mais pas renoncer au chèque qu’il doit toucher :). Allez, foutez tous vos clebs à la SPA… Que dis-je, six pieds sous terre !
    Poursuivons le délire :
    https://www.tf1info.fr/environnement-ecologie/agriculture-zelp-la-commission-europeenne-veut-elle-reduire-le-methane-rejete-par-les-vaches-en-leur-imposant-des-masques-2277946.html
    Ce qui est « rassurant », c’est que plus ils en rajoutent, moins ils seront convainquant.
    Une étude d’octobre 2023 montre que 37 % des Français se disent climatosceptiques, et ça grimpe dans le monde.
    En septembre, ils annonçaient un automne 2023 sec.
    J’ai lu que des piscines vont taxer l’eau en 2024, en prévision d’une future sécheresse !
    Laissons parler la physique :
    Composition de l’air ?
    78,08 % de diazote N2 ; 20,95 % de dioxygène O2 ; moins de 1 % d’autres gaz.
    Du dioxyde de carbone (CO2) : environ 0,04 % -> 0.0384% d’origine naturelle (merci la nature) et 0.0016% d’origine anthropique.
    Du méthane : 0,000187 %.
    Le principal gaz à effet de serre, c’est la vapeur d’eau.
    A l’époque des dinosaures, le taux de CO2 était 17 fois plus importants, mais l’homme n’existait pas.
    Rahan, peut-être, traînait par-là !

    • N’importe quoi vraiment cet article sur les chats.

      Donc le chat qui chasse les oiseaux (et les chauve-souris lol!!!), PAS BIEEEEN!
      Les éoliennes qui flinguent les oiseaux et les chauve-souris, BIEEEEN!

      • @Andre : Bien vu ! C’est cela qui est marrant avec les délires des réchauffistes : dès qu’ils disent un truc, c’est contredit par un autre. On va tous finir comme les Schtroumpfs, si on les écoute.

      • @André
        On envisage d’arrêter les éoliennes du parc de la forêt de Lanouée pendant la nuit à cause de l’hécatombe de chauves-souris qu’elles produisent !
        Et comme les chauves-souris ne sont pas des espèces endémiques à la Bretagne, il es probable que la mesure sera étendue progressivement à tout le territoire.
        Patatras, la transition énergétique !
        https://www.20minutes.fr/planete/4062138-20231113-bretagne-eoliennes-parc-arretees-nuit-epargner-chauves-souris

      • @Andre : renseignez-vous et consultez les dernières études parues.
        Le fort déclin des oiseaux est lié majoritairement aux pratiques agricoles en milieu rural et à l’urbanisme (chocs contre les bâtiments) et et aux félins dans les milieux urbains.
        Selon une étude américaine, les chats tuent 10 000 fois plus d’oiseaux que les éoliennes.

  11. Comme je vois que certains continuent à s’adresser à la personne qui écrit sous le pseudonyme Marie-Laure comme s’il s’agissait dune femme, je vais apporter de nouveaux éléments de preuve venant attester que cette Marie-Laure, n’est autre que François Brionne, le troll qui a été banni de ce site peu de temps avant son arrivée sur ce site

    Voici un commentaire de Brionne en date du 8 octobre.à 21h58.
    https://www.climato-realistes.fr/le-pic-de-chaleur-de-2023-un-episode-dont-les-causes-sont-multifactorielles/
    “Ah oui, nous courrons à la catastrophe….
    Réinjecter dans l’atmosphère en quelques dizaines d’années plusieurs centaines de milliards de tonnes de CO2 qui en avait été soustrait lentement, et stocké dans le sous sol, en quelques dizaines de millions d’années, c’est un déséquilibre extrêmement brutal, à l’échelle géologique.
    La dernière fois que le CO2 avait été au dessous (il voulait sûrement dire au dessus) de 400 ppm c’était il y a plus de 3 millions d’années et la calotte de glace du Groenland n’existait pas.
    Nous sommes en train de faire une expérience inédite à grande échelle, d’une brutalité inouie.
    Tout aussi inoui que le déni de réalité dans lequel s’enferrent les climato-septiques (sans c).”

    Bon allez comme je suis sympa, je vais pour ceux qui auraient encore du mal à faire le rapprochement citer quelques phrases qu’a récemment écrit cette Marie-Laure.

    “Vous trouvez que ça ne suffit pas pour s’en préoccuper et anticiper, plutôt que d’attendre la catastrophe ?”

    “Nous avons consommé en quelques dizaines d’années des quantités qui ont mis des dizaines de millions d’années à se former… ”

    “Puis je vous rappeler (ou vous apprendre), M.Goncalves, que la dernière fois qu’il y a eu plus de 400 ppm de CO2 dans l’atmosphère, c’était au Pliocène, il y a environ 3 Millions d’années. […] et la calotte du Groenland n’existait pas.[…] En tout cas, faire passer le CO2 de 280 ppm à 420 ppm en environ un siècle est, de ce point de vue, une “expérimentation” inédite, brutale, et à grande échelle, en particulier avec une population de 8 milliards d’habitants sédentarisés.”

    CQFD

    • C’est une obsession, M.Goncalves.
      Selon vous, M.Goncalves, 2 personnes qui disent que la Terre n’est pas plate sont forcément les mêmes personnes.
      Je me sens presque harcelée.
      Rassurez moi, vous ne collez pas des morceaux de mes messages sur le mur de votre salon ?
      Quand-même….
      Et argumenter sur le fond, ça ne vous viendrait pas à l’esprit, M.Goncalves ?.

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