Net Zero : une solution désastreuse à un problème inexistant

Le dernier article de Nigel Lawson ancien secrétaire à l’Énergie (1981–1983) puis Chancelier de l’Échiquier (1983–1989) dans le gouvernement de Margaret Thatcher, décédé le 3 avril 2023.

Article initialement publié le 6 novembre 2021 par The Spectator. Traduit par Camille Veyres.


Quelle que soit la cause de la folie du changement climatique, l’effet est clair. Si le réchauffement climatique n’est pas un problème, les politiques destinées à le prévenir sont un désastre.

La folie humaine n’est que trop fréquente. Mais au cours de ma longue vie, je n’ai jamais rencontré quelque chose d’aussi délétère que la terreur climatique actuelle.

Les objectifs fixés par le gouvernement lors de la COP26 sont ambitieux (et d’un coût exorbitant). Au milieu du débat, une question importante semble manquer à l’appel. Sommes-nous réellement confrontés à une menace existentielle ? Ou bien la necrise du changement climatique ne serait-elle pas en fait une hystérie quasi-religieuse, fondée sur l’ignorance ?

Il est vrai que, depuis la révolution industrielle, lorsque nous avons commencé à utiliser les combustibles fossiles – d’abord le charbon, puis le pétrole et le gaz – comme source d’énergie, cela a entraîné une augmentation constante, quoique graduelle, de la quantité de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Les ignorants (notamment, mais pas exclusivement, la BBC) ont coutume de qualifier ce phénomène de pollution. En réalité, c’est tout le contraire : loin d’être une pollution, le dioxyde de carbone est l’essence même de la vie. C’est la nourriture des plantes, et sans les plantes, il y aurait peu de vie animale et pas de vie humaine.

Le principal effet de l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère est de stimuler la croissance des plantes, ce que l’on appelle l’effet de fertilisation. Des études approfondies ont montré que la planète devient effectivement plus verte grâce à l’augmentation du CO₂. Et pourtant, on nous dit qu’il faut empêcher toute nouvelle augmentation du CO₂ pour devenir « vert ».

L’augmentation du CO₂ dans l’atmosphère terrestre a pour effet secondaire de réchauffer légèrement la planète. Ce n’est pas une mauvaise chose : chaque année, beaucoup plus de personnes meurent de maladies liées au froid que de maladies liées à la chaleur. Le réchauffement est d’ailleurs très faible. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, une émanation des Nations unies, la Terre se réchauffe au maximum d’un sixième de degré par décennie, ce qui est à peine perceptible.

Et bien sûr, nous ne connaissons pas la température moyenne de la planète : nous connaissons la température dans notre propre région, qui varie énormément. L’humanité n’est rien d’autre qu’adaptable. Par exemple, la différence entre la température annuelle moyenne en Finlande, un pays froid, et celle de Singapour, un pays chaud, est d’environ 22 degrés. Et ces deux pays sont plutôt prospères.

L’hystérie climatique est loin d’être une folie inoffensive. Si le monde utilise des combustibles fossiles, c’est parce qu’ils sont de loin la source d’énergie la moins chère et la plus fiable à grande échelle. L’énergie nucléaire est fiable, mais pas bon marché. Les énergies renouvelables – le vent et le soleil – ne sont pas particulièrement bon marché et certainement pas fiables (le vent ne souffle pas toujours et le soleil ne brille pas toujours).

Le coût économique de l’abandon des combustibles fossiles – ce que l’on appelle aujourd’hui le « net zéro » – est énorme : même le Trésor admet que cela coûtera au Royaume-Uni des dizaines de milliards de livres par an. C’est pourquoi la Chine, qui est de loin le plus gros émetteur de CO₂ au monde, tout en se contentant d’un discours sur l’objectif « net zéro », continue de construire de nouvelles centrales au charbon à tour de bras (et pas seulement en Chine : elle en construit également dans une grande partie du monde en développement).

En bref, la décarbonisation serait une calamité économique sans précédent. Comment se fait-il alors que le Royaume-Uni et la plupart des pays occidentaux y aient adhéré ? La réponse ne peut être que conjecturale. J’ai suggéré au début de mon intervention que la peur climatique actuelle est une hystérie quasi-religieuse. L’humanité semble avoir un besoin psychologique d’un système de croyance. Traditionnellement, en Occident, il s’agit du christianisme ; mais avec le déclin du christianisme dans le monde moderne, le catastrophisme climatique a émergé pour prendre sa place.

Inutile de dire qu’il est particulièrement commode pour nos dirigeants politiques, qui disparaîtront avant que l’ampleur des dégâts économiques causés par les mesures qu’ils préconisent n’apparaisse au grand jour. En attendant, quelles que soient les erreurs qu’ils peuvent commettre en cette époque non déférente, ils peuvent se faire passer pour des sauveurs de la planète.

Mais quelle que soit la cause de la folie du changement climatique, l’effet est clair. Si le réchauffement climatique n’est pas un problème, les politiques destinées à le prévenir sont un désastre.

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30 réflexions au sujet de « Net Zero : une solution désastreuse à un problème inexistant »

  1. Triste vérité, exacte à la virgule près. Que faire ? Rien, malheureusement. Quand la masse court à l’abîme, rien ne l’arrête. Les rares voix discordantes sont traitées de complotistes. Attendre. Attendre que le pendule reparte dans l’autre sens.

  2. Ils sont parfaitement au courant de ces choses mais ils foncent dans ces politiques idiotes parce qu’ils sont des victimes d’une oligarchie très puissante, ils ne peuvent pas faire autrement (l’esclavage par la dette)

  3. @Serge
    Alors la récolte a été bonne?
    “”””””””””””! Le moment idéal pour aller aux morilles s’étend de fin mars à fin avril, surtout en plaine ! Bien entendu, l’altitude et la météo seront déterminantes pour gagner un peu plus en précision sur sa période de pousse !”””””””
    Faudra demander à Anton qui maîtrise tout cela saison , météo et géographie où aller et quand pour une bonne cueillette
    “””””””””””” ouais, et il y en a qui disent qu’après l’hiver il va y avoir un printemps, puis un été, et puis un automne ! C’est à p… de rire, alors quel la météo n’est même pas foutue de prédire le temps à une semaine !!! Pas vrai ?”””””””””””””
    https://www.skyfall.fr/2023/01/01/le-bistrot-2023/#comment-449547

    • Ben oui, Fritz, tout à fait. Ceux qui disent qu’il est impossible de faire des projections climatiques parce que le système est chaotique devraient aussi dire, avec la même logique, qu’il est impossible de prédire que l’hiver sera suivi d’un printemps, puis d’un été.

      • Anton, plus je vous lis plus je me demande si vous n:’etes pas un climato-realiste déguisé qui cherche à discréditer le discours des extrémistes du climat en racontant volontairement n’importe quoi. Merci pour cette action si c’est le cas, bien que ce soit un peu bizarre.

        • C’est vrai qu’en jouant l’avocat du diable ce dernier sert quelque peu la cause des climato-réalistes, mais pour autant je ne pense pas que cela soit fait exprès.

          Par contre je suis comme vous quasi certain qu’Anton ne croient pas réellement aux thèses qu’il prétend soutenir et défendre. Il m’a l’air de s’être en effet penché suffisamment longuement sur la question du réchauffement climatique pour s’être rendu compte de toute la supercherie de la chose.

          Après je dois bien avouer avoir encore un peu mal à cerner ces réelles motivations, mais quelque chose me dit que nous y verrons un peu plus clair si Anton daigne prendre la peine de répondre à votre commentaire et/ou alors au mien.

      • Très drôle ! j’avoue me régaler à vous lire, c’est étrange cette facilité que vous avez à prêter le flanc sur tous les sujets, vous le faites exprès ?
        La succession des saisons n’a rien à voir avec un quelconque effet climatique… elle est juste liée à la position de notre planète! Vous le saviez j’en suis certain.
        Amicalement
        Bruno

  4. A t’on déjà envoyé ce type d’article, et bien d’autres de ce site, à nos dirigeants ? Mais aussi à tous les partis politiques ? Le seul qui ait une position réaliste et sereine sur le climat, l’énergie et les conséquences sur l’économie, c’est François Asselineau. ……. qui ne représente que 0,quelques décimales %.. C’est pas gagné !
    Climatiquement vôtre. JEAN

    • J’ai écrit plusieurs fois à des associations, journaux, l’Etat, pour dénoncer cet alarmisme qui n’a aucune raison d’être. Rares ont été les réponses tellement ils sont dans le déni. Et quand il y en avait, c’était du genre « nous accusons réception de votre courrier et nous vous répondrons dans les meilleurs délais ». Puis silence.
      Il est plus facile pour eux d’accepter la simple théorie CO2 = effet de serre = réchauffement – surtout si elle permet de taxer – plutôt que de comprendre la science du climat (s’il y a quelque chose à comprendre tellement c’est complexe).

  5. Au lieu d’apprendre par cœur les évangiles ou le missel du dimanche, comme cela se faisait au siècle précédent, pour être intégré socialement il convient d’apprendre par cœur la messe écrite dans Le Monde ou dans les brèves de l’AFP.
    Le support est différent mais rien n’a changé dans la démarche, ni concernant ses impacts sociaux.
    Je doute que les plus intelligents soient ceux qui répètent le mieux leur catéchisme, mais douter est un péché.

  6. Je ne crois pas que le motif religieux soit le seul qui explique cette crise mimétique sans précédent : je crois plus à un motif profondement politique avec le souhait d’une gouvernance mondiale via l’ONU infestée d’ONG vertes au bord et bien rouges au centre (merci Maurice Strong) qui travailleraient activement à la destruction des États, c’est-à-dire de leur souveraineté apparue au XVIe, en exerçant un contrôle sur leur politique énergétique notamment, mais pas que…
    L’écologisme n’est qu’un prétexte, le vecteur de la maladie en quelque sorte, comme ce fut le cas pour le marxisme en Europe ou l’islamisme dans les pays musulmans après l’echec du socialisme ou du panarabisme dans le chemin de la révolution.
    D’où les liens avec l’ultra-gauche qui se contrefout des arbres et de la nature, mais aussi avec le libéralisme pour lequel la chute des frontières permet de mieux faire son business, mais aussi avec le féminisme, le racialisme, le decolonialisme, i tutti quanti…
    Le moteur c’est l’anarchie, la chute du “vieux monde” honni, et peut importe le flacon pourvu qu’il y ait le parfum dedans…
    Et là le gauchisme tient le bon filon qu’il ne faut pas laisser filer.
    L’étrange, c’est cette alliance de fait avec l’ultra capitalisme et la promotion d’un modèle économique de bobos friqués : la hausse du prix de l’énergie, les voitures électriques etc…

    • Comme vous Lucien je crois que l’écologie n’est qu’un prétexte dont se servent nos élites pour tenter de justifier la mise en place d’un gouvernement mondial. Mais pour ce faire il leur faut obtenir l’assentiment des masses.

      Or chez nous autres européens qui, de par notre héritage culturel, sommes assez familiers avec les notions de péché, de châtiment, de faute et rédemption, il était somme toute assez logique et prévisible que les discours alarmistes et apocalyptiques au sujet de la Planète et du climat réussirait à produire leur petit effet et à faire de nombreux émules, surtout chez une jeunesse en mal d’idéal et de repère moraux.

      La croyance religieuse est un puissant moteur, sans elle nos élites auraient bien du mal à trouver des volontaires pour participer aux différentes marches pour le climat.

      • Je suis assez proche de vous sur ce sujet.
        Manifestement un immense dépit dans une large proportion de la gauche internationaliste s’est répandu lors de l’effondrement de la défunte (et sans regrets!) Union Soviétique, alors que les média de gauche (c’est un pléonasme…) nous annonçaient depuis des décennies la fin du capitalisme, en phase terminale d’une crise paroxystique selon eux.
        Le hoax du climatoréchauffisme est une nième tentative par les orphelins inconsolables du marxisme communiste soviétique d’en finir une fois pour toutes avec la suprématie économique de l’Occident.
        Sir Christopher Monckton of Brenchley, climatosceptique britannique célèbre, dans un long article paru l’année dernière sur americanthinker.com nous donne son point de vue sur la question:
        “La menace stratégique de la carboneutralité” Par Sir Christopher Monckton of Brenchley (3e Vicomte de Brenchley)
        paru sur: https://www.americanthinker.com/articles/2022/03/the_strategic_threat_from_netzero_emissions_.html
        Pour les non anglophones, j’en ai traduit une version en français disponible sur demande par mon e-mail, par l’intermédiaire de climato-réalistes.fr

    • – Mais quelle que soit la cause de la folie du changement climatique, l’effet est clair. Si le réchauffement climatique n’est pas un problème, les politiques destinées à le prévenir sont un désastre.

      Dans les affaires policières, pour découvrir l’auteur d’un crime ou d’un méfait, il faut découvrir son mobile, or ici ses auteurs sont parfaitement identifiables ou connus, il s’agit des oligarques financiers anglo-saxons qui trônent à Davos, à Bilderberg, les auteurs du Green New Deal, du Great Reset ou Grande réinitialisation, de la quatrième révolution industrielle, écoutons-les, ils le revendiquent même. Partant de là c’était un jeu d’enfant d’établir leur mobile, la crise du capitalisme.

      La Banque Mondiale avait évalué son coût à près de 100.000 milliards de dollars, de quoi faire tenir le capitalisme pendant encore un bon moment, à quel prix, ça c’est une autre histoire…

  7. https://www.youtube.com/watch?v=ZPx_1LvZFJE
    Sans chercher systématiquement le Net Zéro, on pourrait tout de même redévelopper le nucléaire, qui était jusqu’il y a 25 ans, le fleuron de notre systhème énergétique. Fabien Bouglé, suite au rapport de la commision d’enquête sur la souveraineté énergétique, nous donne compte-rendu de ce rapport.
    Energétiquement vôtre. JEAN

    • Mais le nucléaire, C’EST la carboneutralité par excellence. Fonctionnant 24h/24 365 j./365 , contrairement aux EnR évanescentes, imprévisibles, aléatoires et donc non pilotables, le nucléaire n’a pas besoin d’être adossé à des centrales thermiques à gaz pour suppléer dans la minute à leurs défaillances dès que le vent faiblit ou que le soleil s’obscurcit, c’est à dire 75% de l’année pour l’éolien et plus de 85% pour le photovoltaïque !

      • ” Le nucléaire , c’est la carboneutralité “. Certes. Mais l’électricité ne représente que 20 % de l’énergie totale utilisé. Le reste, cest l’énergie fossile.
        La France est le seul pays au monde, dont l’électricité est totalement décarbonée. et presque disponible à 100 % ( elle le serait sans ses éoliennes et panneaux solaires )
        Même en France, le Net Zéro est inaccessible. Mais on peut quand même se vanter d’avoir une électricité fiable, performante et décarbonée ( pour autant que la neutralité carbone serait indispensable ! )
        Climatiquement vôtre. JEAN

  8. @Lucien

    C’est bien vu et brillamment exposé.
    Une lueur d’espoir cependant: ils sont complètement cinglé.e.s et leurs solutions ne peuvent pas fonctionner.
    Toute cette sinistre comédie finira donc par s’effondrer d’elle-même. Si, en plus, la météo s’en mêle…

    Mais d’ici là, que de gachis….

    • Merci Ohmdeboi, en attendant il faut être très riche pour vivre dans une société “écologiste”, sans parler de l’isolation des maisons pour vous permettre de les vendre ou simplement de les louer ! Alors qu’ils ont créé d’eux-mêmes la crise énerg8étique !
      Je comprends pourquoi le banquier Macron s’est découvert une âme “verte” à peu de frais : l’écologisme est une idéologie de riches…
      Et comme je ne le suis pas, je pense plutôt à migrer vers… l’Afrique pour ma proche retraite.
      L’Europe est devenue folle et invivable : elle n’a plus aucun axe, elle ne se réfère plus à la grandeur de son passé dont elle a honte, alors qu’elle a inventé l’Etat moderne qui est le socle de toute liberté politique : l’universel ne s’atteint que par le particulier.
      Bientôt on enlèvera les statuts du grand Colbert pour mettre celles… d’Adama Traore avec la bénédiction de tous nos traitres politiques qui ont des micro-malaises quand ils passent devant une statut de Colbert (et ce sont des ministres de la France !) : qu’ils aillent se faire “micro-soigner” !

  9. @Lucien
    “””””, je pense plutôt à migrer vers… l’Afrique pour ma proche retraite.””””””
    Juste pour laisser de la place aux migrants africains ? Dépêcher vous et c’est pas bien pour ceux qui restent sur place

  10. Oui Fritz, c’est toute l’absurdité de la situation actuelle que je voulais montrer du doigt : désormais pour être bien vu en France, et pouvoir survivre surtout, il faut être dans l’illégalité, sinon vous payez très cher pour tous les autres, et surtout pour les conneries de nos dirigeants incapables de prendre de vraies décisions (autre autre chose que la “réforme des retraites”, la blague) morts de trouille devant le “diktat vert” (sans parler du diktat européen et surtout celui des Américains qui sont les grands gagnants de toute cette crise… et de la guerre en Ukraine, mais c’est une autre histoire).

  11. Par Géraldine Wœssner, Le Point, Steven Koonin, la coqueluche des climatosceptiques. La belle y va de son fiel.
    Dire que je fus abonné à ce torchon, pourtant jugé un des moins mauvais de tous. Le climat, m’a fait faire des économies.

    • En même temps, quelle pub pour les climato réalistes!
      Effet Streisand garanti.

      Pourtant, G.Woessner est très bonne sur les sujets agricoles et énergétiques.
      Elle a suivi la meute pendant l’épisode covid (ah, sa sortie sur l’ivermectine qui ne serait qu’un médicament vétérinaire…). Je crains que pour l’instant, un journaliste grand public ait encore beaucoup à perdre s’il affiche des positions climato réalistes.

      • Tout à fait. Sortir de la meute est risqué pour les finances.
        Somme toute, cela se comprend. Le problème ce sont les suiveurs décérébrés.
        L’ACR devrait être remboursée par la sécu pour remettre les cervelles à l’endroit.

  12. Très juste !

    La religion climatique a réussi à s’immiscer dans les sociétés occidentales par 3 phénomènes : 1/ la nécessité de lutter en Angleterre contre le syndicat des mineurs, en chargeant le CO2 émis par les mines, et imposer alors le nucléaire. 2/ la chute du communisme qui a vu l’ensemble des forces bolcheviks rejoindre les rangs des écologistes avec pour vecteur commun la lute contre la capitalisme. 3/ et enfin, l’entrée dans la danse du monde mercantile, qui y voit là un excellent moyen de business en obligeant tous les foyers à racheter qui voiture, qui frigo, qui objet “bas carbone” !

    Non seulement le CO2 a un rôle tout à fait mineur dans la variation climatique, car il est saturé en absorption dans l’IR, et donc il ne peut pas bloquer bcp plus de rayonnement qu’il ne le fait aujourd’hui, là où l’IPCC nous vend de la magie. Mais en plus, comme le rappelle Lawson il est un facteur de progression de nos civilisations. Idem en ce qui concerne l’augmentation de température, les 3 optimum de ces 2000 dernières années, ont tous été des périodes de forte croissance économique, démographique et de progrès technique…

    Mais encore faut-il analyser les faits, et pas se fonder sur des projections mathématiques bancales….

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