Article publié le 17 décembre par Andy May Traduit par la rédaction.
Selon le GIEC, il y a « consensus » sur le fait que l’essentiel du réchauffement depuis 1750 est dû aux émissions de CO2 et aux autres gaz à effet de serre d’origine humaine, comme le montre la figure 1, extraite du rapport du GIEC (2021, p. 961).
Depuis 45 ans on spécule sur la valeur de la sensibilité climatique, c’est à dire sur l’augmentation de la température qui résulterait d’un doublement de la concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre, une fois l’équilibre radiatif atteint. Pourtant, après 45 ans de recherche, non seulement cette incertitude n’a pas été réduite, mais elle est désormais plus grande que dans les rapports précédents (GIEC, 2021, p. 927). Il est désormais clair que les modèles climatiques modernes font de nombreuses hypothèses critiques qui sont mal étayées et parfois en conflit avec les observations. Il est grand temps que le « consensus » cesse d’ignorer les faiblesses évidentes de son modèle conceptuel du climat, vieux de 60 ans .
Les premiers modèles
Syukuro Manabe a construit le premier modèle climatique de circulation générale avec plusieurs collègues dans les années 1960 (Manabe & Bryan, 1969) et (Manabe & Wetherald, 1967). Il a commencé avec un modèle d’équilibre radiatif unidimensionnel de température moyenne horizontale, mais s’est rendu compte que la troposphère n’était pas en équilibre radiatif en raison de la convection. La basse atmosphère est presque opaque à la plupart des rayonnements infrarouges émis par la surface ou au rayonnement à ondes longues sortant (OLR) en raison des gaz à effet de serre. En conséquence, la surface de la Terre n’est pas tant refroidie par l’émission de rayonnements, que par l’évaporation de l’eau de surface qui transporte la chaleur de surface dans l’atmosphère sous forme de chaleur latente à l’intérieur de la vapeur d’eau. La vapeur d’eau est moins dense que l’air sec, elle monte donc. Une fois que la vapeur d’eau est suffisamment élevée, elle se refroidit lorsque la pression de l’air environnant baisse, ce qui permet aux particules d’air de se dilater, provoquant la condensation de la vapeur d’eau qui libère sa chaleur latente. Si cette opération est réalisée à une altitude suffisamment élevée, une partie de la chaleur latente peut atteindre l’espace sous forme de rayonnement ou atteindre les molécules de gaz à effet de serre environnantes plus haut dans l’atmosphère. Le reste de la chaleur libérée réchauffe simplement le voisinage. Ce processus est appelé « adiabatique humide ».
Ce processus fonctionne parce que la température diminue avec l’altitude dans la troposphère selon un gradient (taux de décroissance), qui varie beaucoup autour de la Terre, mais dont la moyenne reste assez constante autour de 5,08 °C/km (Benestad, 2017, pp. 24-26, supp. mat.). Le taux de décroissance est généralement donné sous la forme d’un nombre positif, mais il s’agit de la diminution de la température avec l’altitude. La valeur la plus souvent invoquée est de 6,5 °C/km, même si le taux moyen réel est plus bas. Le taux de décroissance réel à un endroit et à une heure de la journée donnés varie beaucoup. Il varie également en fonction de l’humidité et de la saison. Le taux de décroissance peut être négatif, un état appelé inversion de température.
Pour ses premiers modèles, Manabe a ajouté une contrainte sur le gradient thermique de sorte qu’il ne puisse pas dépasser une valeur fixe préétablie, de sorte que le modèle prédisait correctement la position de la tropopause. La tropopause est l’altitude à laquelle le gradient de température cesse d’être contrôlé par la convection. Au-dessus de la tropopause, l’atmosphère est plus proche de l’équilibre thermique et la température augmente avec l’altitude. Dans les premiers modèles de Manabe, le gradient thermique troposphérique était supposé linéaire et fixe (Held & Soden, 2000).
Manabe a également supposé une humidité relative fixe et une couverture nuageuse fixe. Comme l’écrit Held, il est simpliste de supposer que le taux de décroissance ne change pas avec la température, mais c’était une hypothèse pratique (Held & Soden, 2000). L’hypothèse d’une humidité relative fixe entraîne une sensibilité au CO2 très élevée. Dans les tropiques, le profil de température est similaire à une adiabatique humide (décrite ci-dessus). La condensation de la vapeur d’eau en altitude est le processus qui forme les nuages (Held & Soden, 2000). Les modèles climatiques ont beaucoup de mal à reproduire le profil de température troposphérique dans les régions tropicales critiques car ils prédisent un réchauffement trop important dû aux gaz à effet de serre (GIEC, 2021, p. 443).
Aux latitudes plus élevées, l’adiabate humide ne fonctionne pas, car le transport horizontal de chaleur sensible et latente par les tempêtes des latitudes moyennes et élevées joue un rôle important dans le climat général (Held & Soden, 2000).
Hypothèse d’un taux de décroissance fixe
Un taux de décroissance fixe signifie que la température moyenne globale des émissions ne change jamais, donc le rayonnement à ondes longues sortant ne change pas, sauf brièvement lorsque la température de surface change. Une description courante de l’effet de serre (GHE) est représentée par un diagramme du taux de décroissance illustré dans la figure 1 (Held & Soden, 2000).
La figure 2 illustre les effets du doublement du CO2 avec un taux de décroissance fixe et linéaire dans le modèle simplifié de Held. Le CO2 supplémentaire réchauffe la basse atmosphère avec un rayonnement de retour supplémentaire, puis l’hypothèse d’un taux de décroissance fixe entre en jeu, forçant le niveau d’émission à monter à une altitude plus élevée, ce qui signifie qu’il a une température plus basse, le contraignant à émettre moins dans l’espace. Comme il émet moins de rayonnement (autrement dit de « chaleur »), après une courte période, le nouveau niveau d’émission se réchauffe à la température de l’ancien niveau d’émission et la température d’émission effective reste inchangée, tout comme l’OLR (rayonnement à ondes longues sortant), Cf Held & Soden, 2000.
Ce modèle simple de l’effet de serre présente de nombreuses faiblesses. Il n’est vraiment approprié que dans des conditions parfaites sous les tropiques, et même là, le taux de décroissance pendant la nuit est différent de celui de la journée. De plus, le modèle prédit un réchauffement beaucoup trop important sous les tropiques. Aux latitudes moyennes, avec une circulation horizontale persistante et de nombreuses tempêtes, cela n’a aucun sens. Dans les régions polaires, en particulier pendant les longs hivers sombres, l’atmosphère est souvent plus chaude que la surface, ce qui invalide complètement le modèle. De plus, le rayonnement à ondes longues sortant (OLR) augmente actuellement à mesure que le globe se réchauffe. Il ne reste pas inchangé comme le modèle le prévoit, bien que le rayonnement solaire total entrant ait très peu changé.
Le rayonnement à ondes longues sortant (OLR) augmente
La figure 3 suggère que le modèle de Held et Soden sur le fonctionnement de l’effet de serre est incorrect ou que le CO2 n’est pas la cause du réchauffement récent, comme l’explique Javier Vinós. Notez que le modèle qualitatif de l’OLR correspond à chaque cycle solaire. Cela suggère que les cycles solaires contribuent au modèle de l’OLR. Ainsi, bien que l’augmentation du CO2 puisse influencer le réchauffement récent, les variations tout au long d’un cycle solaire y contribuent probablement aussi.
Le rôle de l’ENSO et de l’AMO
Le diagramme de la figure 4 ci-dessous montre que de 1950 à 1975, l’indice cumulatif ENSO de Dewitte (MEI ) a diminué, suggérant une période de fortes Las Niñas. De 1975 à 1998, il a augmenté, suggérant une période de fortes Los Niños. De 1998 à 2014, il est resté stable et Los Niños et Las Niñas étaient plus ou moins égaux.
La ligne bleu foncé de la figure 4, sans repère, correspond à l’ AMO ou oscillation multidécennale atlantique. Notez qu’elle correspond à peu près à l’indice cumulatif MEI (Multivariate ENSO Index). Cela suggère que les températures de surface de la mer de l’Atlantique Nord sont liées d’une manière ou d’une autre à la fréquence de Los Ninos et de Las Ninas ( An, Wu, Zhou et Liu, 2021 ), ou qu’elles suivent toutes deux une autre influence, comme la variabilité solaire. Là encore, il semble peu probable que le CO2 soit le « bouton de contrôle du climat » (GIEC, 2021, p. 179).
Nuages et sensibilité climatique
Selon de (Loeb, et al., 2021) :
« Le climat est déterminé par la quantité d’énergie solaire absorbée par la Terre et par la quantité d’énergie qu’elle rejette par émission de rayonnement infrarouge thermique. La somme de ces deux phénomènes détermine le réchauffement ou le refroidissement de la Terre. »
Il s’agit d’une simplification excessive, car elle ne tient pas compte de l’impact du temps de séjour de l’énergie , qui varie en permanence. Le temps de séjour de l’énergie varie en fonction des tendances de la circulation atmosphérique et océanique, qui sont influencées par la variabilité solaire (voir les figures 5.3, 5.4 et 5.5 ici ).
Loeb, 2021 note qu’une augmentation de l’énergie absorbée par la Terre de 2005 à 2019 s’accompagne d’une diminution de la couverture nuageuse (voir figure 4). La diminution de la couverture nuageuse réduit la réflexion de l’énergie solaire entrante, mais diminue également l’absorption de l’IR de surface sortant par les nuages. Dewitte (voir ci-dessus) signale une augmentation du rayonnement à ondes longues sortant au même moment.
Kauppinen et Malmi, 2019 montrent que la couverture nuageuse basse a diminué, comme le montre leur figure 5.
Comme l’expliquent Kauppinen et Malmi, la couverture nuageuse basse de 2019 (ainsi que la couverture nuageuse totale) diminue en même temps que la « pause » du réchauffement climatique a commencé vers l’an 2000. Globalement, lorsque la couverture nuageuse basse augmente de 1 %, la température moyenne de surface mondiale diminue de 0,11 °C en moyenne. En fonction de la fraction nuageuse globale d’EUMETSAT, la température de surface mondiale HadCRUT4 diminue de 0,15 °C par pour cent de couverture nuageuse totale, comme l’illustre la figure 5.
Les données présentées dans les figures 2 à 6 ne peuvent pas être expliquées comme une fonction de l’augmentation monotone du CO2 atmosphérique et d’autres gaz à effet de serre et de leurs capacités dites de « piégeage de la chaleur » ou de « retardement de l’OLR ». L’influence sur l’augmentation des températures de surface des gaz à effet de serre supplémentaires ne se retrouve pas dans ces données.
Ceppi et Nowack, 2021, tentent de montrer que la couverture nuageuse réagit à la température de surface et la figure 6 semble étayer cette idée. Cependant, ils estiment avec le GIEC que les changements de couverture nuageuse dus au réchauffement de la surface augmentent le réchauffement net, c’est-à-dire que les changements de couverture nuageuse dus au réchauffement de la surface constituent une rétroaction positive nette (GIEC, 2021, p. 95). Ils sont flous dans leur formulation et n’affirment pas que l’augmentation de la couverture nuageuse augmente le réchauffement, mais ils disent plutôt que le changement net de la couverture nuageuse dû au réchauffement de la surface est une rétroaction positive. Ainsi, ils divisent les nuages en types, certains sont à réchauffement net, d’autres à refroidissement net, le changement global étant positif.
Les figures 5 et 6, ainsi que les travaux de Kauppinen et Malmi, suggèrent qu’une augmentation de la couverture nuageuse, à mesure que la planète se réchauffe, diminue le réchauffement. La figure 2 suggère que l’OLR augmente à mesure que la planète se réchauffe et que la couverture nuageuse diminue, ce qui n’est pas ce à quoi on pourrait s’attendre si les changements de couverture nuageuse sont une rétroaction positive nette au réchauffement de la surface. Cependant, les deux idées ne sont pas nécessairement incompatibles, car ni le GIEC, ni Ceppi et Nowack ne disent que l’augmentation de la couverture nuageuse augmente le réchauffement, ils disent que les « changements de couverture nuageuse » augmentent le réchauffement net. Le temps nous dira si leur hypothèse complexe est correcte.
Ceppi et Nowack partent explicitement du principe que les gaz à effet de serre sont à l’origine du réchauffement climatique selon le scénario RCP4.5. Ils n’envisagent pas la possibilité que les variations de l’activité solaire (figure 3) ou les oscillations océaniques (comme l’AMO représentée sur la figure 4) aient un impact. Loeb, 2021, évoque les changements dans la PDO, non pas comme un facteur de changement climatique, mais simplement comme un type de variabilité naturelle interne.
Comme le montrent Ceppi et Nowak, l’ECS est très bien corrélé à la couverture nuageuse, voir la figure 2 ici . Il est également vrai que la couverture nuageuse est la rétroaction la plus incertaine dans les modèles climatiques à gaz à effet de serre et que les modélisateurs du climat ont signalé qu’ils manipulaient le paramétrage des nuages (Koonin, 2021, p. 93) pour obtenir une valeur préétablie de l’ECS. Cela diminue notre confiance dans les modèles climatiques lorsque la composante la plus incertaine et la moins bien comprise d’entre elles (les nuages) est utilisée pour créer un résultat souhaité. En outre, comme le rapporte le sixième rapport du Groupe de travail sur l’évaluation des risques à la page 927, l’ECS calculé par les modèles climatiques devient de plus en plus incertain et la raison invoquée est que les modélisateurs manipulent davantage leurs paramètres de nuages pour essayer de faire correspondre les observations de nuages. Il est clair que quelque chose ne va pas dans les modèles climatiques modernes, et le problème s’aggrave avec le temps.
Le déséquilibre énergétique de la Terre (EEI)
Le rayonnement net entrant ou sortant est le déséquilibre énergétique de la Terre ou EEI ( Earth’s energy imbalance). Lorsqu’il est positif, la Terre se réchauffe et accumule de la chaleur et lorsqu’il est négatif, la Terre se refroidit. Étant donné que la majeure partie de l’énergie solaire absorbée à la surface de la Terre est stockée dans les océans (~ 90 %), la teneur en chaleur des océans est un indicateur sensible de l’EEI à long terme et peut être utilisée comme point de contrôle et d’étalonnage pour les mesures de rayonnement par satellite qui ne sont pas suffisamment précises à elles seules pour mesurer directement l’EEI (Loeb, et al., 2022).
Le tableau 1 de (Loeb et al., 2022) répertorie le rayonnement solaire absorbé (ASR), le rayonnement sortant à ondes longues (OLR) et le rayonnement net entrant (positif) et sortant (négatif) pour diverses analyses d’instruments satellitaires. Les tendances varient de 0,026 à 0,42 W/m2 par décennie ±~.24. Il s’agit d’une différence assez importante et incertaine. Les chiffres sont positifs puisque la planète se réchauffe.
L’EEI réel et la tendance de l’EEI sont inconnus, mais les estimations du contenu thermique des océans de 2005 à 2019 suggèrent qu’il est faible et compris entre 0,24 et 0,98 (±~0,7) W/m 2 par décennie selon le tableau 4 de (Loeb, et al., 2022). Les balises ARGO ont considérablement amélioré nos connaissances sur la température des océans jusqu’à une profondeur de 2 000 mètres, mais les tendances de la température en dessous de 2 000 mètres et sous la banquise sont encore largement inconnues. Il semble prudent de conclure que la tendance, depuis 2000, se situe quelque part entre ~-0,7 et ~1,5 W/m 2 par décennie et plus probablement positive que négative, car la Terre se réchauffe, mais au-delà, c’est incertain. Le rayonnement solaire entrant total et le rayonnement sortant total à ondes longues sont des nombres dont la valeur est très élevée, connus avec une grande incertitude, et la différence entre ces deux valeurs est très faible et inférieure à la précision des mesures actuelles.
L’évolution de la teneur en chaleur des océans est utile comme contrôle, mais nous n’avons pas une bonne idée des températures des océans, que ce soit dans les airs ou en profondeur. ARGO améliore les choses, mais la couverture est encore médiocre. Quant à la mesure du rayonnement entrant et sortant, il y a des difficultés de mesure dans le Pacifique oriental, l’Arctique et dans de nombreuses autres régions. Pour une discussion complète des problèmes d’estimation de la tendance de l’EEI, le lecteur intéressé est renvoyé à (Loeb, et al., 2022).
Pour un nouveau modèle conceptuel du climat
Comme je l’ai déjà écrit, les modèles climatiques actuels du GIEC/CMIP ne sont pas cohérents avec les observations et, paradoxalement, ils s’accordent mieux dans les tropiques si l’on élimine la part d’origine humaine de l’effet de serre accru. Il semble que le modèle conceptuel qu’ils poursuivent depuis 1990 (le premier rapport du GIEC) selon lequel le CO2 est le « bouton de commande » du réchauffement climatique soit erroné. Il existe de nombreuses preuves que le climat obéit a de nombreux autres facteurs, et que le CO2 d’origine humaine n’en est qu’un parmi d’autres , et qui n’est peut-être pas le plus important. Il est grand temps que le GIEC cesse de promouvoir cette idée de changement climatique d’origine humaine et retourne à ses études pour développer un nouveau modèle conceptuel tiennent compte des données présentées dans cet article.
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De grâce, cessons de nous tourmenter avec les différents aspects de la physique de l’atmosphère. On se fait plaisir mais le problème est ailleurs. On se laisse embarquer dans les GES, les émissions, la décarbonation, les filières bas carbone, l’empreinte carbone, etc. Toutes ces absurdités sont un piège sans fin sous une fausse couleur scientifique créé pour nous taxer et enrichir des lobbys, quand ce n’est pas pour détruire notre mode de vie. La contribution humaine au réchauffement climatique est quasi-négligeable par rapport aux forces naturelles, comme évoqué en conclusion de l’article. . Contentons-nous de nous adapter, ce sera déjà pas mal, nous adapter aux réchauffements comme aux refroidissements à venir d’ailleurs.
On voit bien qu’il n’est plus temps de se battre sur le plan scientifique mais sur le plan idéologique et politique. Pardon pour les scientifiques mes confrères qui se donnent beaucoup de mal pour trouver des arguments, mais je crains que ce ne soit pas le bon champ de bataille.
Tout à fait.
Excellent
vous permettez que je copie et je mette en destinataire Marie Laure A , MLA pour ses amis , sur
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/fe2serre/
Brionne/MLA ne comprendra jamais qu’une dissert’ c’est thèse-antithèse-synthèse. Il bloque à thèse.
Frédéric, vous faites ce que vous voulez, mais ne comptez pas sur moi pour croiser le fer avec le militant que vous citez. Il croit que le CO2 est en hausse à cause des activités humaines. C’est peut-être en partie vrai, mais il fait l’amalgame entre la hausse du CO2 atmosphérique et le réchauffement et c’est là que se situe la tromperie. On sait, avec les propres modèles financés par le GIEC, qu’un doublement du CO2 n’aurait qu’une incidence à peine mesurable sur la température atmosphérique. Qui plus est, le sacro-saint « effet de serre » ne chauffe ni les océans ni le sol (c’est surtout le rayonnement solaire qui chauffe ces derniers), il ne réchauffe que les basses couches de l’atmosphère et ne constitue qu’un maigre sous-produit du rayonnement solaire car alimenté par les IR renvoyés par le sol. La vérité est ailleurs et moins simpliste.
Quand on voit comme les médias, les politiques, retournent leur veste au moindre changement climatique, ça en dit long sur leur crédibilité. A les entendre, il y a quelques années, le RCA devait créer de plus en plus de sécheresse. Puis, quand il pleut à gogo, le RCA va créer de plus en plus de pluie. La neige devait déserter nos montagnes depuis une vingtaine d’années : j’habite en Savoie et je la vois à 500 m…
La « subtilité » a été de parler de « changement » plutôt que de « réchauffement ». Ainsi, on adapte sa prose à toutes les situations. Mais comme le climat n’a jamais été figé, c’est l’art de dire tout et son contraire.
J’ai lu récemment qu’une ado a créé une application pour gérer son « éco-anxiété » ! En arriver là, dans une société aussi sécurisée, montre le formidable pouvoir de la propagande.
D’autant plus que si l’on suit les délires du Giec, à savoir que le CO2 anthropique réchauffe la Terre, pourquoi vanter les mérites d’une application informatique qui pollue (il est prouvé que le Web est très polluant) ? On voit bien que tout ceci est commercial.
Le problème c’est “le pognon de dingue ” consacré à cette escroqurie par de nombreux pays .
Ce pactole trouverait son emploi dans la recherche , le social ou le réarmement .
“”” le réarmement .”””????????????
Ca va bien Bokken ??
Vaut mieux être prêt
Je suis sans doute naïf, mais je veux croire que l’accumulation de données techniques sérieuses sur les incertitudes des modèles, et sur les autres vérités scientifiques que les propagandistes du GIEC et consorts ne veulent pas reconnaitre, produiront des effets car petit à petit les citoyens deviennent plus lucides. Je m’y emploie, comme beaucoup d’entre vous.
Les propagandistes s’émeuvent qu’il y ait toujours beaucoup de “climatosceptiques” en France, et même que leur nombre augmente. Tant mieux, il faut continuer
Quand j’entends sur un plateau de TV un essayiste présenter comme un” fait établi” la réduction de 1° C de la température de l’atmosphère en 2100 du fait des efforts de réduction des émissions de GES, je ne sais pas s’il faut rire ou pleurer, mais je crois que la farce climatoalarmiste fera de moins en moins recette
Il y a aussi de plus en plus de platistes. Je le regrette. Mais ça ne m’émeut pas.
Climatosceptique convaincu, certes, mais platiste,c’est plus difficile. J”ai fait deux fois le tour du monde en allant à chaque fois vers l’ouest ( franchissement de la ligne de changement de date en 1974 et 1977 ). Je suis donc deux jours plus jeune que mon âge, mais çà ne se voit pas. Autrement dit,si arrivé à 80 ans mes jours sont plus ou moins comptés, au bout du compte, il m’en manquera deux (sauf à faire deux fois le voyage dans l’autre sens, bien sûr).
Mais non , la durée de vie se compte en heures passées, mettez un chronomètres à votre poignet et c’est tout .
Pour l’instant vous avez plus de 710 000 heures passées sur cette terre !
Quel Âge à un pilote de ligne long courrier ?
Bien entendu, il ne s’agissait que d’une boutade au sujet de mon expérience personnelle de la rotondité de la terre. Le temps est évidemment indépendant de l’élément qui le mesure, terre qui tourne sur elle-même (jour) ou balancier d’horloge (seconde). Néanmoins, c’est une expérience assez troublante, car il me manque réellement deux nuits, deux “dodos” comme disent les enfants. L’avion parti de Paris vers 14 h a atterri à Anchorage vers midi… suite à un après-midi interminable. il est donc arrivé un peu avant l’heure de départ, c’est déjà une expérience. Il redécolle ensuite vers 14 h pour arriver à Tokyo à la tombée de la nuit…. mais cette fois le lendemain, car on a franchi la ligne de changement de date au milieu du Pacifique. Dans ce sens on perd instantanément une journée en franchissant cette ligne théorique, en Boeing comme en pirogue. On la récupère si on revient par le même itinéraire, mais si on retourne par la Russie, donc constamment “à l’ouest” comme Tournesol, on perd définitivement ce “dodo”, avec encore une fois un après midi interminable dans l’avion. En fait, physiquement, se déplacer dans le sens inverse de la rotation de la terre quelque soit sa vitesse revient à aller moins vite que le reste des humains qui font un tour complet chaque jour sans s’en rendre compte. C’est aussi la raison pour laquelle on lance les satellites vers l’est.
Ceci dit, la preuve de la rotondité est apportée par les skippers du Vendée Globe. Cette fois, en allant constamment vers l’est, ils gagnent tous une nuit.
Encore une nouvelle intéressante ce jour :
Météo France nous annonce que l’année 2024 a été “une des cinq années les plus chaudes depuis le début des mesures par Météo France depuis 1900”.
Curieuse affirmation bêtement reprise par les journeaux : cela voudrait dire que 4 années ont été plus chaudes que 2024. Et que 2024 n’est pas l’année la plus chaude depuis le début des relevés …
Pas vraiment cohérent avec la théorie d’un réchauffement climatique qui ne cesse de s’accentuer.
Quelle déception : Météo France ne peut pas annoncer que 2024 a été l’année la plus chaude, elle préfère annoncer que c’est une des cinq années les plus chaudes.
Dans le même temps, on apprend que la production de charbon a atteint un record en 2024. On demande (et on impose à coup de milliards d’euros) aux Français de respecter la “sobriété énergtique” …
Je vais me répéter. Le petit Colorado provençal, au sud du Ventoux, Météo France sait sait-elle que c’est un profil d’altération latéritique tropical ?
Oui à Rustrel le Colorado Provençal est à juste â côté du village, c’est vraiment beau .Colorado veut dire couleur
me semble t’il.
Mais je ne savais pas que c’était un profil d’altération latéritique tropical !
On aimerait connaitre les 4 autres “années les plus chaudes” depuis 1900.
Parmi celles-ci, peut-être 1921:
https://www.meteo-paris.com/chronique/annee/1921
“le 13 juillet 1921, on observe également une chaleur torride et un maximum de 44°8 aurait été mesuré à Bourg en Bresse -il s’agit de la valeur non officielle la plus élevée mesurée à l’ombre, en France”
Roy Clark (2024), A Nobel Prize for Climate Model Errors
https://www.researchgate.net/publication/377158811
Le type des LED et des fibres optiques ?
Et alors ?
Je retrouve une des constantes chez les climato-dingos..Ils ne maîtrisent pas le sujet.
Allez vous faire peer-reviewer
Et joyeux Noël, Bonne année, sans rancune.
Merci de me donner raison
Joyeux Noël et bonnes fêtes à vous également.
Comme toi
Je sais de quoi je parle.
Et Cooper, le type de quoi ?
Un modeste enseignant chercheur en physique en Alsace.
C’est peu..
Par rapport à vous c’est déjà énorme.
Merci pour la traduction de cet article, complet sur beaucoup de points.
Si on laisse de côté les faits que la théorie du forçage radiatif et que les modèles climatiques ne sont pas robustes,
les pistes les plus sérieuses sont le fond de l’océan et la couverture nuageuse,
c’est à dire ce qui borne la convection thermodynamique.
Ben oui,
si on avait 4000 ppm de CO2 dans l’air au Jurassique et crétacé où le dépôt de carbonates abonde, c’est à cause de l’ouverture de l’Atlantique
Je ne sais pas si on brulera tous les fossiles disponibles et accessibles on arrivera à ces taux de CO2
Au sujet de la “sobriété énergétique”, cet intéressant article de la Tribune d’hier, 20 décembre:
“ELECTRICITE : CONSOMMER MOINS RISQUE DE COUTER CHER”
“Selon la Cour des comptes, le tarif destiné à financer les investissements dans les réseaux électriques, prélevé via les factures, augmentera de 21% d’ici à 2030. A moins que les Français ne consomment davantage de courant, et vite.”
En résumé : “FRANCAIS, CONSOMMEZ PLUS D’ELECTRICITE !!!” C’est urgentissime !
https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/electricite-consommer-moins-risque-de-couter-cher-1014381.html
https://www.youtube.com/watch?v=xYcv8AieqdU&t=63s
André Bercoff a sa façon bien à lui de nous présenter l’écologie.
Dans l’extrait on entend Sandrine Rousseau qui nous explique que ” travailler émet du CO2. Réduire le temps de travail permettrait de moins rejeter de CO2 “. Admettons ! Mais sait t’elle que pour le même travail — qu’il faudra bien effectuer, avec une autre personne pour terminer ce que la 1° personne n’a pas fini — le bilan carbone sera le même ? Non, bien sûr ! Sa réflexion s’arrête là où elle commence à se contredire 😊
Evidemment, on peut en rire, mais bon, elle est Enseignante ! Nos chères têtes blondes ne vont pas s’enrichir intellectuellement !
Climatiquement vôtre. JEAN
Du fait de la structure de sa surface (terre – océan), notre planète a un climat extrêmement complexe. C’est aujourd’hui le solstice d’hiver. La température est évidemment plus élevée dans l’hémisphère sud que dans celui du nord mais sa répartition est très inégale suivant qu’on est sur un continent ou en plein océan. Le site météo “earth.nullschool.net” est très instructif sur ce point. On peut tourner la mappemonde dans tous les sens avec la souris. En bleu et violet sont les températures négatives, en vert, jaune et rouge les positives. Si on se place face au Pacifique, pas de problème. Du rouge et du jaune aux basses latitudes,du vert aux zones tempérées, du bleu au voisinage des deux pôles. En revanche, si on tourne la mappemonde au-dessus des pôles, tout change. Au nord, en plus de l’océan polaire, on a une énorme masse bleue et violette sur deux continents, Asie et Amérique. Face au pôle sud, malgré l’été qui vient de débuter, la zone antarctique est quand même bleue dans son ensemble, avec un peu de violet au centre. Sa fusion prochaine n’est pas pour cette année. (jusqu’à – 30 °C au coeur de l’inlandsis)
Erreur début d’article : 1850 et pas 1750 comme inscrit.
Le GIEC prend 1850 comme date initiale de ses démonstrations, parlant d’une période qui marque le début de l’industrialisation des sociétés occidentales, mais oublie, volontairement ?), d’expliquer que cette période correspond aussi à un point bas (frais) du climat terrestre, puisque c’est la fin estimée du PAG Petit Age Glaciaire, où la température du globe doit se situer en moyenne à +/- 13°C ou 13.5°C. Dès lors, naturellement, le climat se réchauffe, les +1.2°C que nous connaissons aujourd’hui ne faisant que nous ramener tranquillement aux 15°C valeur standard de la planète…
@ JACQUES L.
Dans ce cas, ce ne serait pas plutôt le réchauffement qui a – sinon provoqué -, du moins favorisé le développement technologique et économique ?
Cette valeur standard de 15°C correspond-elle au rayonnement mesuré par un astronome extraterrestre qui pointerait son radiotélescope vers la Terre ?
@JACQUES L.
C’est l’évidence même ! Le Petit Age Glaciaire, officiellement terminé en 1850, est unanimement considéré par les climatologues comme la période la plus froide subie par la Terre depuis la fin de la dernière glaciation. Les températures globales n’ont cessé depuis de lentement remonter au niveau où elles étaient auparavant avant de commencer à décliner, celles de l’Optimum Climatique Médiéval des environs de l’an mille.
Ces deux périodes celle de l’Optimum Médiéval et celle du “Pessimum” glaciaire (pardonnez le néologisme..) ont été caractérisées sur plus d’un millénaire par une remarquable stabilité de la concentration en CO2 de l’atmosphère aux alentours de 280 ppm à quelques ppm près, selon les données des carottages du dôme Law en Antarctique signant irréfutablement la non-causalité entre le CO2 et les températures globales
Deux grosses épines par conséquent dans le talon du GIEC, lequel a désespérément essayé sans convaincre de démontrer que ces deux épisodes, le chaud comme le froid, étaient localement circonscrits à l’Europe occidentale, comme par hasard.
Les Dr Sebastian Luening and Fritz Vahrenholt ont depuis fait litière de cette prétention pour l’Optimum Médiéval, comme on peut le voir ici:
https://wattsupwiththat.com/2017/01/03/documenting-the-global-extent-of-the-medieval-warm-period/
Plusieurs auteurs ont fait de même avec le Petit Age Glaciaire.
Fin de la polémique !
La référence du GIEC est en effet à dessein et malhonnêtement très basse, un point très bas dans les 10000 dernières années. La courbe en crosse de hockey est une pure escroquerie, pour une raison très simple : elle ne peut s’appuyer sur des mesures réelles et les pseudo démonstrations basées sur des « proxys » hasardeux n’y changent rien. Elle est officiellement plate dans le manche de la crosse, jusqu’au XIXe siècle pour faire croire à une “augmentation de la température depuis l’âge industriel” dans la lame de la crosse. Plus fiables sont les mesures faites par carottage, par exemple dans les glaces du Groenland (projet GISP2) basées sur la méthode du « thermomètre isotopique », d’où il ressort que sur ces 10000 dernières années il y a eu plusieurs optimums (Minoen, Romain, Moyen-âge) et que la moyenne générale, même si le Groenland n’est pas totalement représentatif de l’hémisphère Nord à quelques foutièmes de degré près, est de 2°C environ supérieure à la référence du GIEC, et que donc, avec 1,5°C de plus lentement gagné en un siècle, nous ne sommes qu’en chemin sur le retour à la moyenne, si tant est qu’une normale existe. Pas de quoi en faire un tel pataquès ! La vraie crosse de hockey a en fait une drôle de forme, peu propice à jouer une partie…
La lettre de mission du GIEC est claire :
[Il] a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation19.
IL ne s’occupe donc que des conséquences des émissions anthropiques, et on ne peut le fustiger sur le fait qu’il suive à la lettre ces instructions en ignorant incertitudes, faits et tous les processus qui pourraient intervenir autres que ceux d’origine humaine. C’est verrouillé dès le début et montre un contre exemple flagrant et honteux d’une démarche scientifique honnête.
Bâtir le GIEC en 1988 sur un présupposé hasardeux impliquant la responsabilité humaine dans le réchauffement en cours constaté depuis un siècle suggère une machination bien organisée au départ puisque la théorie de l’effet de serre du aux gaz éponymes qui était déjà dans l’air a été appelée à la rescousse, heureux hasard, peu après la création de ce machin onusien, aussitôt reprise médiatiquement et politiquement et bétonnée dans un prétendu “consensus” à la soviétique à 97%, définitivement vissé dans une partie de l’opinion, qui n’a troublé que de rares personnalités dans les milieux scientifiques.
Andy May explique très bien que l’atmosphère acquiert l’essentiel de sa chaleur par énergie latente. Une autre évidence est qu’elle n’a pratiquement que les infrarouges pour l’évacuer. Les GES, comme source froide de la formidable machine thermique atmosphérique, sont donc indispensables à la viabilité de l’atmosphère et à la vie sur Terre.
La doxa giecienne nie, par nécessité conceptuelle, ce rôle essentiel. Un déni qui a des conséquences ridicules et absurdes sur la culture générale. Si vous cherchez par exemple à savoir pourquoi la tempérure troposphérique diminue avec l’altitude sur le web, question enfantine relevant de la thermodynamique basique, on vous expliquera systèmatiquement que c’est un effet de la pression et, ou, de la convection. Or bien entendu, la convection ou le gradient de pression ne peuvent éventuellement expliquer qu’une élévation de la température avec l’altitude, donc l’exact opposé de ce qui est prétendu! La température diminue avec l’altitude dans la troposphère tout simplement parce que celle-ci est refroidie dans la masse par les GES.
Cette corruption du savoir sur un détail de physique n’est pas anodine mais vertigineuse. Il y a probablement autant ou plus à s’inquiéter des abîmes de l’esprit que des conditions matérielles.
Curieux de la part de scientifiques ce mépris à l’endroit des « platistes ». Il est incommensurablement plus « vivable » au quotidien de considérer que la terre doit être plate plutôt que bombée, ondulée ou que sais-je encore. Nos sols, nos murs, nos écrans, nos feuilles de papier etc… nous font chérir la
«platitude ». Merci Euclide ! Quant au fait de savoir que la Terre est ronde, ce qui scientifiquement ne veut rien dire, ou sphérique, ce qu’elle n’est pas, ou plus justement qu’elle n’est pas plate, oui… quelle importance pratique pour 99,9% de la population planétaire … tiens mais comme c’est curieux ! dans planète, il y a plan…
Et le plus célèbre des platistes, c’est François Bayrou. Il a été haut commissaire au plan.
Si vous voulez vous divertir, demandez à un écolo de vous expliquer comment 400ppm (400 particules par million) de CO2, c’est à dire à dose homéopathique, peuvent faire monter le thermomètre ? Jusqu’à présent aucun écolo n’a pu me donner une réponse. IL suffit de consulter les archives de la Terre pour observer que notre planète, lors de sa très longue histoire, a connu des périodes avec des taux en CO2 bien supérieurs à 400ppm,et qui ont été très favorables à l’apparition et au développement de la vie. Par ailleurs, vous pouvez titiller nos écolos sur l’absorption du CO2 par les plantes chlorophylliennes, ils vous expliqueront doctement que les plantes vertes absorbent le CO2 mais gardent le carbone et rejette l’oxygène. En réalité, ce n’est pas aussi caricatural. Très sommairement les plantes vertes gardent la totalité du CO2 qu’elles absorbent pour synthétiser les glucides (C+H+O) dont elles ont besoin. Par ailleurs, l’oxygène rejeté par les plantes vertes ne provient pas du CO2, mais est issu d’un processus complexe de photolyse (décomposition) de l’eau, ce processus, essentiel de la photosynthèse, permet de produire de l’oxygène. L’ énergie solaire est utilisée pour décomposer les molécules d’eau (H₂O) et libérer l’ oxygène, des protons et des électrons. Ces électrons, seront utilisés par la cellule pour fournir ainsi l’énergie à la phosphorylation de l’ADP en ATP. L’ATP, molécule à très haut potentiel énergétique, est indispensable pour la réalisation des biosynthèses cellulaires… Et ceci n’est qu’un résumé d’un processus beaucoup plus complexe.