Les prémices du protocole de Kyoto

par Jeanne Marcq, une exilée belge

Article initialement publié pas Science Climat Energie le 20 août 2021

Avant-propos.

Ce texte est issu d’un livre en anglais, livre qui n’a jamais vu le jour en 2007, suite à la mise à pied de son auteur par une université française, sous prétexte qu’il y enseignait « ses convictions scientifiques en matière d’environnement et de climat » (sic).

L‘effet de serre

 A part l’azote et l’oxygène, le gaz le plus abondant dans notre atmosphère est la vapeur d’eau dont la teneur est éminemment variable dans la troposphère (de 0,2% à 7,6%). John Tyndall conclut dès 1861 que « l’effet de serre » est dû essentiellement à la vapeur d’eau. A noter que le potentiel diffusif thermique induit par la vapeur d’eau est 8 fois supérieur à celui du CO2. C’est également ce que montrent les modèles climatiques généraux (GCM). Les deux autres principaux gaz sont le CO2 (0,04 %) et le méthane (0,016 %). La vapeur d’eau est donc le premier gaz à effet de serre. Il est curieux de constater que le taux de CO2, s’il a augmenté régulièrement ces dernières décennies pour atteindre actuellement un peu plus de 400 ppm, reste de loin largement inférieur à ce qu’il était au Paléozoïque ou au Crétacé.

L’hypothèse du réchauffement climatique d’origine humaine existe depuis les années 1880. Svante Arrhenius, en 1896, a établi sur base de la chimie physique des estimations selon lesquelles l’augmentation de dioxyde de carbone atmosphérique (CO2) devait augmenter la température à la surface de la Terre par effet de serre. C’était une hypothèse scientifique peu connue montrant que brûler des combustibles fossiles augmenterait le CO2 atmosphérique, induirait un réchauffement planétaire et donc justifierait le réchauffement climatique en cours depuis la fin du Petit Âge Glaciaire. 

Avant les années 1980, cette hypothèse était généralement considérée comme une curiosité parce que les calculs du XIXe siècle indiquaient que la température moyenne de la planète aurait dû augmenter de plus de 1 °C en 1940, ce qui n’a pas été le cas. D’autre part, la théorie à la mode de « l’effet de serre » n’est pas valide d’un point de vue thermodynamique (voir Geuskens, 2019 et  2020).

Les débuts de la lutte contre le réchauffement climatique

Suède

Tout cela remonte au début des années 70, quand Olof Palme est devenu Premier ministre suédois. En 1973, la première crise du pétrole s’est produite. Le météorologue suédois Bert Bolin, un grand ami de Palme, a proposé, à la suite de la théorie d’Arrhenius, la chaîne cause-conséquence de l’augmentation du CO2, de l’augmentation de la température mondiale, de la fonte des glaciers et de l’élévation du niveau de la mer.  Dès 1975, la crainte d’une augmentation future de la teneur en COatmosphérique a été énoncée dans la déclaration gouvernementale suédoise. Olof Palme a immédiatement vu dans ces menaces, de nouvelles possibilités pour argumenter contre et quitter la dépendance pétrolière afin de construire rapidement leur industrie nucléaire (« si nous n’avons pas en 1990 au moins 24 centrales nucléaires, elle ne survivra pas en tant que nation industrielle »).

Olof Palme s’étant rendu compte qu’il ne serait pas en mesure de contrôler la science, a donc proposé la création d’un nouvel organe intergouvernemental au sein des Nations Unies pour traiter la question, l’IPCC, l’International Program for Climate Change. Selon le professeur Ahlgren, les prémisses des politiques climatiques actuelles sont issues de sessions de discussion privées entre Olof Palme et son ami le climatologue Bert Bolin, apparaissant cette fois comme ‘climatologue’. La première ministre norvégienne G.H. Brundtland, qui avait été ministre de l’Environnement, a saisi le message et l’a mis en lumière dans le rapport Brundtland de 1988. En 1988, Bert Bolin a donc créé l’agence des Nations Unies IPCC et en est devenu le premier président avec une mission de base : « documenter le réchauffement climatique anthropique », l’objectif « politique » ayant été décidé avant le début du projet. L’impact du Soleil a été délibérément mis de côté « parce qu’il s’agissait d’un projet de météorologie et d’océanographie », a-t-il dit, et « personne n’a pu prouver que nous avions tort ». Cette idée est toujours cultivée de nos jours. La Suède a pris l’initiative et l’entière responsabilité de l’hystérie politique sur le réchauffement climatique, récemment reprise par l’étudiante Greta Thunberg, dont un ancêtre est S. Arrhenius …          

Grande Bretagne 

En outre, en 1979, Mme Margaret Thatcher, une chimiste, est devenue Premier ministre du Royaume-Uni. Sir C.Tickell, ambassadeur du Royaume-Uni auprès de l’ONU, avait souligné que presque tous les hommes d’État internationaux sont scientifiquement analphabètes, de sorte qu’un homme politique scientifiquement cultivé pourrait gagner n’importe quel débat au sommet sur une question qui semblait dépendre de la compréhension scientifique. Thatcher a commencé à faire campagne sur le réchauffement climatique lié aux activités humaines à chaque réunion du sommet de l’ONU et la tactique a bien fonctionné.  Elle profita de cette opportunité pour s’opposer encore plus à la trop longue grève des mineurs britannique qui s’éternisait grâce à la ténacité du leader syndicaliste surnommé Ken the Red. L’utilisation des centrales au charbon a ainsi été rejetée par le Royaume-Uni au prétexte que ces dernières émettaient du CO2 dans l’atmosphère, mais que ce n’était pas le cas pour les centrales nucléaires. Le réchauffement a donc servi d’excuse pour fermer les mines de charbon non rentables du Royaume-Uni tout en le remplaçant par l’énergie nucléaire. Mme Thatcher a rapidement obtenu le respect international souhaité et le Royaume-Uni est devenu le principal promoteur de la question du réchauffement climatique. Des hommes politiques d’outre-mer l’ont suivie et ont porté la question pour évaluation à l’attention de leurs fonctionnaires. Ils ont également signalé que, bien que scientifiquement douteux, le « réchauffement planétaire » pourrait avoir une importance économique. Malheureusement, les accidents de Three Mile Island et de Tchernobyl ont ébranlé la confiance du public dans la technologie nucléaire, notamment celle des écologistes. Depuis, la privatisation de la production d’électricité britannique de l’approvisionnement en électricité a mis en évidence que l’électricité nucléaire britannique coûtait en apparence quatre fois plus chère que celle produite par le charbon local, largement subventionné par l’état. Le réchauffement de la planète est devenu la seule excuse restante pour justifier des installations nucléaires devenues impopulaires, certes, mais nécessaires et stratégiques pour l’armement nucléaire britannique, en retard par rapport à la France.

Ainsi, dès le début de la campagne Thatcher sur le réchauffement climatique, le Hadley Centre for Climate Prediction and Researcha été créé, et les Conseils nationaux de recherche scientifique et appliquée ont été encouragés à accorder la priorité au financement de la recherche sur le climat. 

Mais, en 1990, la recherche sur le réchauffement climatique a perdu une part de  ses crédits lorsque M. John Major a remplacé Mme Thatcher au poste de Premier ministre. Le Hadley Centre a néanmoins pris de l’importance en devenant une des agences opérationnelles du groupe de travail scientifique du GIEC (Groupe de travail 1). Le travail de la plupart des scientifiques dépend des fonds fournis en tout ou en partie par les gouvernements. 

Les fonds disponibles pour la recherche diminuaient, et le réchauffement planétaire était devenu la question « scientifique » qui intéressait le plus les gouvernements pour des raisons économiques. Une pression particulière a donc été exercée sur les chercheurs– menaces pour leur future carrière –afin d’éviter de publier des vérités scientifiques concernant l’origine réelle du réchauffement climatique et ainsi, nuire au financement de la recherche des collègues « main stream ». Mais ne pas proclamer « la vérité scientifique » ne signifie pas que de nombreux scientifiques croyaient en l’hypothèse du réchauffement planétaire.

En 1992, le gouvernement J. Major a rétabli comme priorité, celle du financement de la recherche sur le climat. Ce revirement devait permettre, notamment suite à la Guerre du Golfe et son impact potentiel sur l’approvisionnent énergétique du pays, de poursuivre le développement de son armement nucléaire. En outre, les organisations écologistes faisant encore partie du grand public, ont décidé d’utiliser la question climatique devenue utile pour justifier leurs revendications.

États-Unis

Les États-Unis sont l’économie la plus puissante du monde et le consommateur d’énergie le plus gourmand. Si tous les pays adoptaient des « taxes sur le carbone » comme stipulé par l’IPCC ou d’autres réductions de l’activité industrielle génératrice de gaz à effet de serre, chaque pays industrialisé non américain bénéficierait d’avantages économiques par rapport aux États-Unis. Ainsi, beaucoup d’ hommes politiques de nombreux pays se sont joints à Mme Thatcher pour exprimer leur inquiétude face au réchauffement climatique. Elle a soulevé une question devenue de politique internationale et est ainsi apparue comme une femme politique internationale fort influente.

En général, les États-Unis craignent de perdre leur suprématie économique au profit d’autres nations, alors que ces dernières souhaitent acquérir un même niveau de développement. L’adoption universelle de « taxes sur le carbone » ou d’autres réductions proportionnelles de l’activité industrielle procureraient des avantages relatifs à ces autres nations. Malheureusement, si les pays industrialisés adoptaient ces mesures, ils augmenteraient aussi leurs coûts de fabrication, de transport et de besoin en énergie et perdraient donc ainsi leur compétitivité économique et leur activité industrielle au profit de tous les autres. Les pays en voie de développement ne peuvent pas se permettre des avancées technologiques et économiques qui leur seraient profitables et réduiraient également l’augmentation de leurs émissions de CO2 au fur et à mesure de leur développement. Ils ont donc cherché à obtenir des transferts de technologie et une aide économique substantielle de la part des pays développés. Le réchauffement climatique anthropogénique est devenu un enjeu politique international majeur. Le risque imaginé est devenu un risque économique réel sous la forme de politiques gouvernementales proposées pour réduire les émissions de CO2

Le Sommet de Rio de 1992 a proposé des mesures pour en limiter les émissions et le Protocole de Kyoto négocié lors de la COP3 de décembre 1997 a visé à établir des accords contraignants engageant les États-parties gros émetteurs à respecter ces contraintes. Bien qu’il n’y ait pas de risques réels ou potentiels de réchauffement planétaire, les effets des contraintes imposées sont sciemment reconnus comme susceptibles d’induire des dommages économiques réels et graves aux nations industrialisées.

Début des années 1990 également au plus fort du réchauffement climatique Greenpeace International a mené une enquête auprès des 400 climatologues les plus réputés au monde, mais jamais publiée. Greenpeace avait espéré faire connaître les résultats de cette enquête à l’approche du sommet de Rio, mais lorsqu’ils ont terminé cette enquête, ils n’ont fait que très peu de publicité sur ses résultats. Et pour cause, en réponse à cette enquête, seulement 15 climatologues étaient prêts à dire qu’ils croyaient au réchauffement climatique, alors que la majorité des chercheurs l’utilisait de façon opportuniste pour leurs demandes de crédit et justifier leur emploi. Cette enquête a été très vite remplacée par “The great majority of the world’s climate scientists have no doubts about the reality of global warming if nothing is done to cut greenhouse gas emissions.  Yet so far governments have been reluctant to act.    (The Greenpeace Report. 1990, publ 1992, voir référence en bas d’article). Par conséquent, toute demande de soutien financier devait faire référence à « la réalité » du réchauffement climatique pour être retenue.

Les pressions exercées par les pairs dissuadent d’ailleurs toujours les scientifiques de mettre en danger par leurs publications la réputation de leurs collègues et les crédits de recherche demandé par leur labo.

Par ailleurs, une nouvelle génération de chercheurs (Homo informaticus) est apparue surtout dans les années 1980. Ils ont dédié leur recherche au développement de manipulations informatiques appliquées aux données climatiques (par ex. la « Hockey cross des températures de M.Mann), réapparue en 2021 dans le dernier rapport du GIEC, voir également ici) plutôt que de la compréhension des faits naturels. Ils sont donc persuadés de détenir « la vérité » à savoir le réchauffement est anthropique. Les modélisations géologiques prévisionnelles avec des données simples donnent souvent des réponses avec une marge d’erreur supérieure à 50 %. Les modélisations climatiques ont le mérite d’exister et d’essayer d’estimer, à partir de scénarios extrêmes, la façon dont notre système va fonctionner dans le futur. Néanmoins, un modèle est simplificateur par essence et dépend à la fois de paramètres et de bases de données sciemment choisis. Mais les différents rapports IPCC ont toujours considéré leurs résultats de modélisation comme des certitudes, en les simplifiant pour les « décideurs ».

Lors de son Assemblée générale de 1990, l’Église presbytérienne a fait part de sa « grave préoccupation » à l’égard du réchauffement de la planète, lorsqu’elle a averti que «la tendance au réchauffement de la planète (l’effet de serre) représente l’un des plus graves défis environnementaux mondiaux pour la santé », la sécurité et la stabilité de la vie humaine et des écosystèmes naturels. La Fédération luthérienne mondiale (LWF), l’Alliance ACT, le Conseil œcuménique des Eglises (COE) et « Bread for the World » ont appelé les dirigeants du monde entier à prendre des mesures rapides et coordonnées pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C en tant qu’obligation humanitaire et éthique, en d’autres termes de lutter contre le « God Punishment » (cf. synthèse dans Bloomquist, 2009, voir régence en bas d’article). Seuls, les musulmans n’ont pas suivi dans un premier temps, ce point de vue.

L’officialisation du scepticisme climatique

Une pétition intitulée « Repenser la politique climatique » (“Rethink climate policy”), lancée par l’Initiative de Stockholm en 1992, exprime les préoccupations de ceux qui n’ont pas été contaminés par la peur du climat, tant auprès du grand public que de la communauté scientifique éduquée. Cette pétition était une lettre ouverte adressée au président de l’UE, le Premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt, et qui a été rendue publique par G. Ahlgren. Cette pétition a reçu une foule de signatures, atteignant les 1200. Parmi les plus éminents, Richard S. Lindzen et S. Fred Singer, deux pionniers emblématiques de la science du climat.

« L’Initiative de Stockholm » était initialement une démarche à but non lucratif, politiquement et économiquement indépendante vouée à la promotion de politiques rationnelles en matière de climat, d’énergie et d’environnement. G. Ahlgren a déclaré : « Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que notre pétition influence le paysage politique immédiat, mais nous le voyons comme un outil pour rassembler et créer une opinion contre les initiatives politiques actuelles et à venir. Grâce à des mesures économiques, ces politiques détruiront l’environnement et l’économie sans avoir d’effet positif sur le climat mondial. Les politiciens dépendent des électeurs. – Si nous pouvons créer un avis contre la politique climatique en Suède, l’un des pays les plus fondamentalistes d’Europe à cet égard, nous pouvons obliger les politiciens à nous écouter. Dans ce cas, nous pourrions changer le monde. » Ce jour, toutes les traces de cette première “Stockholm Initiative” ont été effacées du Web après 2007  et remplacées par plusieurs sites web du même nom, mais pro-GIEC. 

Depuis, en novembre 1995 la Déclaration de Leipzig a contesté les affirmations de l’IPCC (traduit à cette époque en France par le label GIEC) sur le réchauffement climatique d’origine anthropique. Cette déclaration a été rédigée à la suite de cette conférence et a été signée par plus de 1500 scientifiques du monde entier. Nous sommes très loin du consensus scientifique affiché par le GIEC. Actuellement beaucoup de chercheurs n’osent pas signer les pétitions de peur de perdre leurs crédits de recherche ou leur emploi. Le succès de l’initiative CLINTEL de 2019 a été plus mitigée par peur de représailles pour les scientifiques en activité.

Conclusion

Beaucoup de choses ont été effacées ou oubliées depuis le développement du concept de réchauffement climatique induit par l’hommeLa question du réchauffement anthropique de la planète est essentiellement politique, elle a été construite sur le détournement scientifique de faits climatiques anodins à l’échelle de la variabilité climatique de l’Holocène. Elle a provoqué le « Sommet de la Terre » auquel ont participé plusieurs chefs d’État à Rio de Janeiro en juin 1992 et qui est à l’origine du Protocole de Kyoto au Japon en décembre 1997. Les gouvernements ont divers motifs, voir prétextes fallacieux de s’intéresser au réchauffement de la planète. Chaque gouvernement a ses propres intérêts particuliers pour justifier une implication dans la lutte contre le changement climatique mais, dans tous les cas, les motifs sont depuis les années 1980 surtout liés aux politiques économiques internationales et aux équilibres stratégiques. Actuellement, cette question est un enjeu politique et surtout économique (marchés) mondial compliqué par l’ingérence des multinationales comme les GAFSA. Les aides aux pays en voie de développement pour lutter contre le changement climatique se révèlent être une modalité d’asservissement politico-économique aux grandes puissances.


Notes

Bloomquist, Karen L. editor.
God, Creation and Climate Change:  Spiritual and Ethical Perspectives  LWF Studies, 2009
on behalf of The Lutheran World Federation—A Communion of Churches, 180p

Global Warming: The Greenpeace Report. 1990. Oxford University Press, New York. 554 pages.  First Published April 1, 1992, ici.

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34 réflexions au sujet de « Les prémices du protocole de Kyoto »

  1. Elle a oublié plein d’étapes dans son “historique”, Mme Marcq
    Tenez, par exemple, elle ne parle pas de Manabe, qui en 1967 avait estimé que passer de 300 à 600 ppm de CO2 induirait une hausse des températures de 2°C
    55 ans plus tard, nous sommes à mi-chemin, soit 420 ppm, et déjà à plus de 1°C.
    Pas mal, non ?
    Ca c’est de la physique, pas de la politique, Mme Marcq
    Tenez, le voici, pour les curieux qui auraient envie de lire de la science
    https://climate-dynamics.org/wp-content/uploads/2016/06/manabe67.pdf

  2. Toujours pour info, voir les derniers articles de Niels-Axel Mörner (sur Research Gate) à propos des variations du niveau marin relatif (NMR), notamment sur quelques îles du Pacifique (condamnées à disparaître, bien entendu, suite à la montée des eaux de la faute à l’homme). Ses dernières recherches avant sa mort montrent que le signal (NMR) est chaotique d’une ile à l’autre, soulignant ainsi le rôle du couple subsidence/soulèvement d’origine tectonique dans ces variations. Cela rejoint les ”cagades” politiques (du pognon ! du pognon !) publiées sur les iles du Tuvalu dont on a déjà parlé sur l’ACR.

    • Les Iles Kiribati étaient prévues de disparaître sous quelques années, si l’on en croyait les habituels “donneurs d’alerte” écolos, du fait de la montée inexorable du niveau marin “due au réchauffement climatique, bla-bla-bla etc…”
      Sur leurs conseils empressés, les kiribatiens on a été alors demander d’urgence “l’asile climatique” à la Nlle Zélande voisine. Une équipe de spécialistes néozélandais est venue sur place pour constater que si la mer monte en cet endroit, c’est surtout parce que les îles Kiribati s’enfoncent sous l’effet de forces telluriques dans les profondeurs du substrat sous-marin.
      Le statut de “réfugiés climatiques” leur a été logiquement refusé. Les kiribatiens sont retournés sur leurs iles qui n’ont toujours pas disparu et la vie a repris son cours… Fin du psychodrame médiatique.

      • Et bien vérifions ça, Jack:
        Pourriez vous avoir l’obligeance de nous indiquer la référence précise (un lien, un titre, une année,…) du rapport de cette “mission de spécialistes néo-zélandaise à Kiribati”.
        On va voir déjà si elle existe, et si c’est le cas, si ses conclusions sont ce que vous dites.
        Merci d’avance, Jack.

        • Donc, vous non plus vous n’avez trouvé aucune trace de cette “mission de spécialistes néo-zélandaise à Kiribati” dont parlait Jack ?

          • Avez-vous lu cette phrase : “Une deuxième étude de 200 îles présente le même résultat, selon leur auteur principal, le professeur Paul Kench, directeur de l’Institut sur l’environnement de l’université d’Auckland (Nouvelle-Zélande).” ??????????

          • Vous l’avez lue, cette étude, Talleyrand ?
            Non, hein ? Sinon, vous aurez vu que ça ne doit pas être celle-ci dont parle Jack, car cette étude ne dit pas que les îles Kiribati s’enfoncent sous l’effet de forces telluriques dans les profondeurs du substrat sous-marin, comme le dit Jack…
            J’attends toujours la réponse de Jack, donc.

            Bonne fin de journée, Talleyrand. Et saluez Fouché de ma part.

          • @MLA
            3,5 mm /an, ça c’est la version GIEC de la montée du niveau marin basée sur des observations satellitaires et après des calculs d’une complexité effroyable. Prétendre mesurer depuis une altitude de plusieurs centaines de km la surface d’un liquide agité de marées et de tempêtes où la moindre vaguelette fait quelques mm et la plus haute probablement plus de 30000 mm dépasse l’entendement.
            Je connais un ingénieur en travaux maritimes que ça fait doucement rigoler: Ses activités sur le littoral de France ou d’outre-mer le conduisent à consulter, quand cela lui est nécessaire, le marégraphe le plus proche plutôt que les élucubrations des satellites.
            Votre mauvaise foi légendaire et viscérale refusera de reconnaitre qu’il est infiniment plus facile et fiable de mesurer l’altitude d’une balise GPS fixée sur un marégraphe et d’en déduire une valeur locale absolue (et relative) du niveau marin AVEC CERTITUDE.
            Je vous conseille de lire cette étude qui ridiculise les données satellitaires:
            https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/nleng-2020-0007/html?lang=en

        • Ces articles sont une piste pour rechercher les études en question.
          Je laisse ça à des gens plus compétents que moi en la matière.

          • @Thein
            Une façon d’avouer que vous non plus vous n’avez trouvé aucune trace de cette “mission de spécialistes néo-zélandaise à Kiribati” dont parlait Jack …

          • @MLA, laissez exploser vos sarcasmes habituels, quasi génétiques:
            Je n’ai pas retrouvé le lien sur l’étude néozélandaise (déjà ancienne) concernant la subsidence tellurique subie par les iles Kiribati.
            Cependant, celle-ci: Aung, T.; Singh, A.; Prasad, U. A study of sea–level changes in the Kiribati area for the last 16 years. Weather 2009, 64, 203–206 a montré que la montée moyenne du niveau marin aux Kiribati est de 3,9 mm/ an.
            Sachant que la moyenne mondiale des marégraphes asservis à une balise altimétrique GPS donne une moyenne d’environ 1,5 à 1,7 mm/an de montée du niveau des mers, il est aisé de conclure que la subsidence de ces iles (ou encore “negative VLM”, “Vertical Land Motion”) est située entre -2,2 et -2,4 mm/an.
            Pour ceux qui veulent creuser la question, on trouve de nombreux sites optimistes sur l’avenir de ces iles, dont les Kiribati, qui n’est pas aussi compromis que les climatocatastrophistes le prétendent.
            Par exemple un article de wattsupwiththat.com citant une étude de notre compatriote V. Duvat (CNRS)
            https://wires.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/wcc.557
            nous dit que:
            “Over the past decades, atoll islands exhibited no widespread sign of physical destabilization in the face of sea-level rise. A reanalysis of available data, which cover 30 Pacific and Indian Ocean atolls including 709 islands, reveals that no atoll lost land area and that 88.6% of islands were either stable or increased in area, while only 11.4% contracted. Atoll islands affected by rapid sea-level rise did not show a distinct behavior compared to islands on other atolls. Island behavior correlated with island size, and no island larger than 10 ha decreased in size. ”
            Ce qui est cohérent avec la croissance naturelle des massifs coralliens qui suit la montée (ou la descente) du niveau marin autour de ces iles depuis des dizaines (centaines ?) de millions d’années selon un mécanisme étudié depuis longtemps par les biologistes.

            A lire aussi une autre étude au titre provocateur:
            “Why the low-lying islands of the Pacific and Indian Oceans are expanding?”
            https://link.springer.com/article/10.1007/s12517-021-08972-6
            En faisant une recherche avec ces termes “coastal subsidence”, “sinking islands”, VLM, “Vertical Land Motion”, “land subsidence”, “relative sea-level”, etc… on trouve une foule d’études sur ce sujet.

          • @Jack
            Bel aveu de fake-news de votre part.
            Ca peut arriver de se tromper, Jack, mais le problème est que c’est récurrent, chez vous, les climato-sceptico-dénialistes, Vous passez temps à affabuler et citer des études qui , quand on vérifie, n’existent pas

            Ah au fait, non, Jack, vous faites erreur. La moyenne mondiale récente de hausse du niveau des mers, c’est 3.5 mm/an, pas 1.5 à 1.7 mm/an.
            Ca ne vous arrive jamais dire un truc exact, Jack ?
            https://climate.nasa.gov/rails/active_storage/representations/redirect/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaHBBK3BkQWc9PSIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoiYmxvYl9pZCJ9fQ==–a33de55022fb120c366f6d4017af812a6d2ffdb4/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaDdCam9MWm05eWJXRjBPZ2wzWldKdyIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoidmFyaWF0aW9uIn19–308d105b858fde2aa7c2bd953e87f719e2dd73bb/22_12_12_sl-chart-11-2020%20(1)%20(1).jpeg?content_type=image%2Fwebp&disposition=inline

          • @MLA
            Je ne risque pas de la trouver, je ne l’ai pas cherchée, j’ai autre chose à faire.
            Dévouez-vous, au lieu de nous casser les pieds.

        • @Thein
          Elle n’existe pas.
          Jack n’en est pas à a première ni à sa dernière affabulation.
          Soyez un vrai septique: Vérifiez tout ce que vous lisez, M.Thein. ici, surtout.
          Les climato-sceptiques sont des indécrottables serials-fakers

          • @MLA
            3,5 mm /an, ça c’est la version GIEC de la montée du niveau marin basée sur des observations satellitaires et après des calculs d’une complexité effroyable. Prétendre mesurer depuis une altitude de plusieurs centaines de km la surface d’un liquide agité de marées et de tempêtes où la moindre vaguelette fait quelques mm et la plus haute probablement plus de 30000 mm dépasse l’entendement.
            Je connais un ingénieur en travaux maritimes que ça fait doucement rigoler: Ses activités sur le littoral de France ou d’outre-mer le conduisent à consulter, quand cela lui est nécessaire, le marégraphe le plus proche plutôt que les élucubrations des satellites.
            Votre mauvaise foi légendaire et viscérale refusera de reconnaitre qu’il est infiniment plus facile et fiable de mesurer l’altitude d’une balise GPS fixée sur un marégraphe et d’en déduire une valeur locale absolue (et relative) du niveau marin AVEC CERTITUDE.
            Je vous conseille de lire cette étude qui ridiculise les données satellitaires:
            https://www.degruyter.com/document/doi/10.1515/nleng-2020-0007/html?lang=en

          • Non, ce n’est pas la “version du GIEC”. Le GIEC ne possède ni marégraphes, ni satellites, il ne mesure pas le niveau des mers, Jack.
            Il se fient aux mesures. Les mesures, les observations, la réalité, les observations.

            C’est fou, pour des soi-disant “réalistes” que vous détestiez autant la réalité,

            C’est fascinant: Vous inventez des articles qui n’existent pas, vous niez la la réalité des observations, Vous vivez dans un monde parallèle, réalité virtuelle, en fait, Jack.

          • @MLA
            Cessez de mentir ! Vous savez TRES BIEN que le GIEC a décidé d’un revers de main d’exclure de ses spéculations les mesures marégraphiques du niveau des mers au profit exclusif de mesures satellitaires farfelues, considérant que les premières ne sont pas assez catastrophistes.
            J’extrait du texte partiellement publié sur ce site du livre de Patrice Poyet “The Rational Climate e-Book : Cooler is Riskier” ce passage qui va sûrement vous émouvoir:
            ” La meilleure et la plus longue collection du service permanent d’observation du niveau de la mer (www.psmsl.org), est celle de Brest (France) (Figure 98, p. 231), l’utilisation de marégraphes le long des côtes indique une élévation du niveau de la mer de 1 mm/an et même en
            spéculant sur une certaine accélération, l’augmentation typique du niveau de la mer mondial sera d’environ 1 à 2 mm/an, donc le niveau de la mer mondial au niveau des côtes augmentera généralement de 8 à 16 cm d’ici 2100″

          • @jack
            Non, désolée, mais ce que vous dites est encore faux, Jack
            Le GIEC n’ a absolument pas exclus les mesures marégraphiques.
            Tenez, regardez la figure (d) ci -dessous par exemple
            https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/figures/IPCC_AR6_WGI_Figure_2_28.png
            (pou info, “Tide-gauges”, en anglais ça veut dire “marégraphes”)

            Vous parlez beaucoup du GIEC, Jack (plus que moi), mais apparemment, vous n’avez pas lu leur rapport.
            Pourquoi vous ne lisez pas avant d’en parler ?
            Ca vous éviterait de vous ridiculiser à chaque fois, Jack.

      • @Jack

        Donc les îles s’enfonceraient un peu, mais le massif corallien compenserait en partie le phénomène.Il y a donc le temps de voir venir, et surtout, aucun rapport avec le [prétendu] RCA.
        Intéressant. C’est fou comme les réchauffistes sont prêts à exploiter n’importe quel évènement pour alimenter leur propagande. Le séisme qui a secoué cette région en 2013 est pourtant une confirmation irréfutable que ces mécanismes sont bien à l’œuvre.

        • Le niveau de la mer qui augmente, c’est du à quoi, selon vous, M.Thein , si ce n’est pas au RCA ?
          https://climate.nasa.gov/rails/active_storage/representations/redirect/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaHBBK3BkQWc9PSIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoiYmxvYl9pZCJ9fQ==–a33de55022fb120c366f6d4017af812a6d2ffdb4/eyJfcmFpbHMiOnsibWVzc2FnZSI6IkJBaDdCam9MWm05eWJXRjBPZ2wzWldKdyIsImV4cCI6bnVsbCwicHVyIjoidmFyaWF0aW9uIn19–308d105b858fde2aa7c2bd953e87f719e2dd73bb/22_12_12_sl-chart-11-2020%20(1)%20(1).jpeg?content_type=image%2Fwebp&disposition=inline

          Savez vous , M.Thein que quand la température des océans augmente, la dilatation thermique fait que l’eau occupe plus de volume, et que quand la glace des calottes et glaciers fond, ça fait monter le niveau des mers ?

          C’es fou que vous ayez autant de mal à regarder sereinement, objectivement, et de manière adulte, les réalités physiques élémentaires.
          D’autant plus étonnant que vous vous autoproclamez “réalistes”, en plus.

          • Je ne m’adressais pas à vous, donc je ne lis pas votre message.
            Vous êtes d’une exceptionnelle impolitesse.

        • Le violent séisme qui s’est produit aux iles Samoa en 2009 a fait passer la montée du niveau marin de 2 à 3 mm/an à des valeurs inquiétantes pour leur avenir proche atteignant jusqu’à 5 FOIS cette vitesse.
          https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1029/2018JB017110
          La question est de savoir si les massifs coralliens vont arriver à suivre… Mon avis penche pour l’affirmative puisque des vitesses d’élévation du niveau marin autrement plus importantes ont eu lieu au début de l’Holocène, le faisant passer de -125 mètres à -37 mètres (entrée de la grotte Cosquer) en l’espace de moins de 5 millénaires, soit 17 mm/an en moyenne, et probablement beaucoup plus dès la fin de la dernière glaciation.
          Les phénomènes de subsidence sont occultés par les média vulgarisateurs au profit exclusif de la montée, toujours “sans précédent”, du niveau marin dans le but de paniquer le public intellectuellement faible. Ainsi un média indonésien faisait-il l’impasse récemment sur la subsidence extrêmement rapide dans certains quartiers de Djakarta, de l’ordre de 10 cm/an (!), en titrant uniquement sur la montée du niveau marin, conséquence du réchauffement, bla-bla-bla, du aux gaz à effet de serre émis par les activités humaines.

          • Lorsque je me suis mis à la recherche d’articles sur les îles Kiribati, Google m’a tout d’abord saturé d’occurrences faisant référence au RCA, la disparition des îles sous les eaux, blablabla… etc…
            Il faut vraiment ruser pour arriver à forcer le moteur de recherche à proposer des résultats “non contaminés”, c’est-à-dire objectifs et factuels.

  3. La dernière phrase de l’article est bien vraie !
    « Les aides aux pays en voie de développement pour lutter contre le changement climatique se révèlent être une modalité d’asservissement politico-économique aux grandes puissances. »
    Les pays riches ne veulent pas que les pays en développement utilisent leurs ressources propres (pétrole, gaz, charbon) pour se développer, et ce, pour ne pas déséquilibrer le marché de l’offre et de la demande et pour faire durer l’usage des « fossiles » le plus longtemps possible. Dans cette affaire les écolos sont les idiots utiles des multinationales pétrolières. On donne de l’argent aux PED pour s’acheter des colifichets tels que les panneaux solaires dont ils n’ont qu’un besoin très limité. Les PED ont bien raison de prendre l’argent qu’on leur donne pour « sauver la planète » pourvu qu’ils en fassent ensuite un usage intelligent.

  4. Je conseillerais à ceux que le mouvement de grève des mineurs du charbon en Grande Bretagne, défait par la “Dame de fer” intéresse, de lire un article assez long paru dans “The American Thinker” il y a 2 ans sous le titre:
    “The strategic threat from net zero emissions”
    “La menace stratégique de la carboneutralité”
    Par Sir Christopher Monckton of Brenchley (3e Vicomte de Brenchley)
    https://www.americanthinker.com/articles/2022/03/the_strategic_threat_from_netzero_emissions_.html
    Cet article démontre que le conflit des mineurs était puissamment soutenu par l’URSS et qu’une fois brillamment torpillé, il a obligé les cerveaux du Kremlin à une révision déchirante de leur complot contre l’Angleterre au profit d’une remarquable nouvelle stratégie écologlobaliste que nous voyons à l’oeuvre actuellement après l’infiltration de ces idées par leurs “relais” à l’ONU et un peu partout ailleurs dans le monde.
    En voici un extrait:

    …/…”Le choc à Moscou était palpable. La grève avait été défaite par une méthode que le KGB
    n’avait tout simplement pas prévue, et par une équipe dont il ignorait l’existence. Nous
    avions fait appel directement aux loyaux travailleurs des mines de Grande-Bretagne, contre
    les dirigeants communistes déloyaux de leur syndicat. À la fête d’adieu du garçon (David Hart) au 10,
    Downing Street après que la grève ait pris fin sans casse, trois dirigeants du National
    Working Miners’ Committee fondé par David étaient présents – peut-être les premiers
    mineurs à mettre un pied amical dans Downing Street sous un gouvernement conservateur.
    Maintenant que le “Kamitet” (“Comité”, en russe) savait que nous savions comment contrecarrer de telles
    grèves, qui avaient été jusqu’ici fréquentes et dommageables, il s’est rendu compte qu’il ne
    pouvait plus dépendre des directions syndicales communistes qu’il avait passé des
    décennies à corrompre à coups de dizaines de millions. Après sa défaite, il était impatient de
    trouver un autre moyen de faire capoter les économies occidentales et de saper notre
    prospérité enviable et nos précieuses libertés, auxquelles le peuple de la Russie soviétique
    aspirait.
    Le “Kamitet” avait déjà réussi à infiltrer des groupes de pression politiques d’extrême
    gauche. En particulier, nous avons appris du service de renseignements du Vatican –
    souvent le mieux informé du monde à cette époque – que la campagne pour le
    Désarmement Nucléaire était contrôlée par les Soviétiques, sous l’influence d’un haut placé
    mais profondément malavisé Monsignor catholique qui restera à juste titre anonyme.
    Fort de ce succès, le “Kamitet” décida d’infiltrer le mouvement environnemental, en
    commençant par Greenpeace. Le problème était que les dirigeants du mouvement, comme
    Patrick Moore, étaient et sont de véritables écologistes, pas des communistes. Par
    conséquent, Greenpeace fut infiltré par des milliers de nouveaux membres communistes. En
    peu de temps, Patrick et ses collègues écologistes furent chassés et remplacés par des
    communistes. En règle générale, on n’aurait pas tort de supposer que, de nos jours, chaque
    groupe de pression écologiste au nom à consonance innocente est, d’abord et avant tout,
    un groupe de façade dirigé par les communistes, bien que peu de membres – comme les
    mineurs – soient eux-mêmes communistes.
    Au moment où la peur du réchauffement climatique a été lancée sur la place publique par
    un témoignage très médiatisé en 1988 devant le Congrès de la part d’un agitateur
    d’extrême gauche arrêté à maintes reprises à la NASA, le KGB avait vu le potentiel. Le
    “Kamitet” s’est rendu compte que, si le thème du changement climatique pouvait être
    détourné, il serait possible d’inciter les ministres occidentaux et les faiseurs d’opinion
    craignant d’être dé-personnisés (ou “dé-socialisés”) à devenir aussi coupablement silencieux que les adversaires du nazisme dans les années qui ont conduit à la prise de contrôle de Hitler en 1933. Qui plus
    est, nous avait dit Pacepa, le KGB, maintenant fermement aux manettes du mouvement
    environnemental, avait vu la possibilité non seulement d’appauvrir et même de ruiner les
    économies occidentales, mais aussi d’infliger à leurs peuples tant de restrictions
    environnementales mesquines pour prétendument “Sauver La Planète” que les libertés que
    nous avons longtemps tenues pour acquises, en effet, n’existeraient plus. La croissance d’Internet a grandement facilité l’anonymat des climatosceptiques.
    Par exemple, Wikipedia, fondé à l’origine par un marchand de pornographie, a été rapidement
    noyauté, après quoi les biographies des sceptiques du climat ont été trafiquées par un seul
    “compagnon de route” qui a réécrit les biographies de plus de 2000 sceptiques, y compris la
    mienne, pour nous représenter en coquins, voyous, idiots, ou les trois. La communauté du
    renseignement a traqué l’agent en question via son adhésion imprudente à un club d’aviron
    dans un petit village du Cambridgeshire. Il fut interdit d’interférer avec les entrées de
    Wikipédia. Cependant, alors que les communistes resserraient leur emprise sur Wokipedia
    (sic), chassant le co-fondateur du pornographe, au grand désespoir de ses préjugés
    d’extrême gauche, le gars fut réintégré…
    YouTube et “FaceTwit” (re-sic) ont commencé à bannir en douce les sceptiques en empêchant leurs moteurs de recherche internes de retourner les entrées liées ou publiées par quiconque remettant en question la Ligne du Parti sur le Climat. …/… etc, etc…

    J’ai traduit l’intégralité de l’article pour les non anglophones: Ecrire votre demande au site qui me transmettra.

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