Des scientifiques, des ingénieurs, des experts en énergie et en politique du monde entier se sont réunis du 14 au 15 juin, dans le cadre de la 16e conférence internationale EIKE, pour plaider en faveur du « réalisme climatique » à Vienne, en Autriche, lors de 16e réunion de la Conférence internationale sur le changement climatique (ICCC). Cette rencontre a rassemblé des poids lourds tels que le prix Nobel de physique John Clauser, le physicien William Happer, spécialiste de la physique atomique , de l’optique et de la spectroscopie, l’astrophysicien Willie Soon et le climatologue danois Henrik Svensmark, parmi beaucoup d’autres.
Le président du CFACT, Craig Rucker, a donné le coup d’envoi de l’événement en présentant un exposé sur le contexte politique entourant la question du climat, depuis sa création dans les années 1980 jusqu’à aujourd’hui. Il a expliqué pourquoi il abordait ce sujet : « Je pense qu’il est bon de savoir, de la part de ceux d’entre nous qui sont là depuis le début, que les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ne sont pas entièrement nouveaux. Beaucoup d’entre eux, comme la lutte contre un traité international imprudent, ne sont en fait que la même chose. Au début des années 2000, notre mouvement a dû s’attaquer au protocole de Kyoto. Aujourd’hui, c’est l’Accord de Paris. À force de persévérance, nous avons vaincu le premier. Et à force de persévérance, nous pouvons le faire à nouveau ! ».
Compte rendu de la première journée (14 juin 2024)
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10h Introduction par Holger Thuss, historien, président de EIKE :
Il salue la participation de CFACT et du Heartland Institute, signale le coût élevé de la sécurité active autour de la salle de conférence de Union für Souverinität, rappelle la distribution gratuite du livre (traduit en 2003) de Thomas Gold (1920-2004) cite les travaux du Pfr Lüdecke et de la statisticienne Frau Pfr Müller sur les cycles naturels; il rappelle que 30 % des stations météo américaines sont sujettes à des erreurs et les absurdités des compensations carbone avec la Chine (vente par les Chinois d’indulgences-carbone correspondant à la plantation d’arbres en Chine).
10h15 Craig Rucker CFACT (Committee For A Constructive Tomorrow)
CFACT a été fondé à Boston en 1984 comme le Greenpeace de la droite ; en 1978 au lycée Craig Rucker a combattu l’armée des radical teenagers; il salue John Clauser, Will Happer, Willie Soon, le CEI (Competitive Enterprise Institute),mentionne les révolutions ou changements récents de politique au Sri-Lanka, au Canada, en Nouvelle Zélande, fait partir les délires climatique de la présentation de Hansen 1988 qui était sûr à 95% du rôle de l’humanité.
Ce qui importe à long terme est l’opinion publique, les croyances.
11h James TAYLOR du Heartland Institute
Récemment invité à Varsovie (par Solidarnosc) puis à Strasbourg au parlement européen en mars 2024 par Roman Haider député européen du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs), il est l’auteur de 74 papiers sur le changement climatique.
11h35 Marc Morano (éditeur de ClimateDepot.org de CFACT) La vérité sur la décarbonation.
Marc Morano rappelle les procès lancés par Cass R. Sunstein et les délires du coût social du carbone concept flou employé par les organes du gouvernement américain (EPA) pour justifier des dépenses démentes sans considération des coûts réels des catastrophes naturelles qui sont de dix à cent fois moindres (des fractions de pourcent du PIB sans augmentation récente) que le coût des mesures gouvernementales visant à prévenir le réchauffement climatique (plusieurs pourcent du PIB).
12h15 Diplom Ingenieur Dr Martin J. F. Steiner de Independent Climate Research ICR Autriche Energie – Klima
présente des expériences de laboratoire sur les effets des rayonnements infrarouge thermique :
14h30 Marcel Crok cofondateur de Clintel :
devrons-nous gagner la guerre du climat devant les tribunaux ? : une réponse au procès sur le climat engagé par des activistes.
15h15 Willie Soon L’art et la manière de calculer le rayonnement solaire (TSI Total Solar Irradiance) depuis 1750
(Willie Soon est à CERES, Center for Environmental Research and Earth Sciences) Rappel des différentes mesures satellitaires ACRIM, PMOD, RMI3 des articles de Conolly & Soon 2023.
16h00 Nicola Scafetta
Evaluation empirique du rôle du soleil dans le changement climatique à partir d’enregistrements multi proxy du soleil.
17h15 Prof. Dr Laszlo Csaba Szarka de l’académie de sciences de Hongrie et de la Batthyani society of Professors (26 publications au 15 juin 2024 ).
Combien ? Quoi et combien ? Sur la nécessité d’études quantitatives dans la science du climat et de l’énergie.
18h00. John Francis Clauser (prix Nobel de physique 2022), 129 publications, (la première en 1966 sur le rayonnement cosmique à 2,66 mm).
Comment la science a aidé à trouver l’état d’urgence climatique ?
Compte rendu de la seconde journée (15 juin 2024)
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9h00 Dr Bernhard Strehl : la propagande climatique en Autriche- Comment nous nous y opposons : procédures judiciaires, médias alternatifs, politique, instruction de la population.
Les principes de la manipulation expliqués par Edward Bernays (1891-1995) dans son livre Propaganda de 1928 : fabriquer le consentement, jouer sur les émotions, éliminer l’esprit critique et le bloquer, faire penser que « je suis parmi les bons et dans le camp du bien et n’ai que dégoût, haine et angoisse devant les autres qui sont dans le camp du mal » et surtout répéter, répéter !
9h45 Manfred Haferburg La nef des fous de la Energiewende va à toute vitesse sur les écueils.
Le conférencier, jadis ingénieur pour la centrale nucléaire de Greifswald (DDR), commente une présentation graphique de la cour des comptes fédérale allemande.
11h15 Nicola Scafetta : Conséquences et risques avec des projections réalistes du réchauffement d’ici la fin du 21ème siècle
N. Scafetta veut montrer que si la sensibilité climatique est réduite à la plage +1 à +3°C alors pour les scénarios d’émissions raisonnables comme le SSP2-4.5 il n’y a pas de dépassement de l’accord de Paris.
12h00 William Haper transport du rayonnement dans les nuages
Il montre l’image d’un aethrioscope de Sir John Leslie (vers 1800) appareil qui mesure « l’effet refroidissant d’un ciel clair » qui peut aussi servir de pyromètre
14h30 Nir Shaviv : Compréhension du rapport entre les rayons cosmiques et le climat à partir de données expérimentales et empiriques.
le rôle des rayons cosmiques dans la production de particules chargées dans la très haute atmosphère, particules qui en engendrent d’autre et en particulier les isotopes cosmogéniques 14C16Al et
Henrik Svensmark : Quantification du rôle joué par le soleil dans le changement climatique
pourquoi nous croyons qu’il s’agit des rayons cosmiques et qu’est-ce que ça signifie ?
16h 45 Roy Spencer en visio Zoom : la température moyenne globale se développe-t-elle extrêmement vite ?
17h30 Douglas Pollock (Chilien) Les énergies renouvelables empêchent de réduire les émissions de CO2 : calculs économiques
18h15 Dr Benjamin Zycher économiste à l’American Enterprise Institute : Comment les alarmistes du climat essaient d’éviter une analyse coûts-bénéfices
19h00 Conclusion par Wolfgang Müller Secrétaire Général de EIKE.
Physicien controversé sur Sud Radio : l’Arcom épingle un média pour des propos climatosceptiques pour la première fois
[ C’est un avertissement sans précédent. L’Arcom a adressé mardi 25 juin une « mise en garde » à Sud Radio pour un motif inédit : des propos climatosceptiques tenus à l’antenne. Le gendarme de l’audiovisuel français avait été saisi par le collectif Quota Climat, qui milite pour un meilleur traitement des enjeux écologiques dans les médias, après un passage du physicien controversé François Gervais dans l’émission de Sud Radio « Bercoff dans tous ses états », sur fond de COP28 à Dubaï.
« On est en train d’entrer dans une nouvelle ère » : comment le réchauffement change déjà la France
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique indique avoir relevé lors de l’émission que « plusieurs déclarations venaient contredire ou minimiser le consensus scientifique existant sur le dérèglement climatique actuel, par un traitement manquant de rigueur et sans contradiction ». Et avertit la station contre « la répétition de tels manquements ».
« C’est un bien, ce réchauffement »
L’Arcom n’a pas précisé quels étaient les passages mis en cause. Mais à l’antenne le 7 décembre 2023, l’auteur du livre « L’urgence climatique est un leurre »a multiplié les prises de positions climatosceptiques, allant jusqu’à dénoncer une « arnaque climatique ». La fonte des glaces ? Un problème mineur selon François Gervais. « Ce n’est pas ça qui va nous engloutir », assure-t-il alors.
Selon lui, le réchauffement climatique est même « un bien ». Il s’explique : « A la fin du règne de Louis XIV, il faisait froid, il y avait des mauvaises récoltes et le froid tue plus sûrement qu’un peu de chaleur », affirme-t-il au journaliste André Bercoff. S’il est vrai qu’en France, le froid cause pour l’heure davantage de morts que la chaleur, Santé publique France a montré que cette courbe avait tendance à s’inverser. « Le nombre de décès attribuables aux températures les plus chaudes a doublé depuis les années 1970 », indique l’agence dans une étude sur l’impact du climat sur la santé publiée en 2022. D’ici 2100, près des trois quarts de la population humaine mondiale pourraient par ailleurs être exposés à des conditions climatiques mortelles, indique le Giec dans son dernier rapport.A la une de « l’Obs » : réchauffement climatique, comment la France doit s’adapter
Toujours à l’antenne, François Gervais insinue que le réchauffement climatique n’est pas imputable aux activités humaines. « Tous les à peu près 100 000 ans, il y a une période très froide suivie d’une période plus chaude. Nous sommes au sommet de la période plus chaude. Il faut s’en féliciter », lance-t-il. Là encore, les experts du Giec sont formels. Le réchauffement climatique est non seulement incontestable mais la responsabilité de l’homme dans l’augmentation des températures l’est tout autant. Les activités humaines ont, « sans équivoque », provoqué le réchauffement de la planète, à un rythme toujours plus soutenu. Depuis 1970, la température a augmenté « plus rapidement » qu’au cours de toute autre période de 50 ans sur les 2 000 dernières années, relève ainsi le Giec.
Contacté par « Libération », Frédéric Jouve, directeur des programmes et du digital de Sud Radio, rappelle que son antenne consacre « beaucoup de temps aux problématiques du dérèglement climatique », citant par exemple l’émission « Les vraies voix écoresponsables » ou la chronique « Comment va la planète ? ». Interrogé de son côté par le média Novethic, le directeur général de Sud Radio, Patrick Roger s’est cependant défendu en indiquant que, « s’il peut y avoir des contestations », il espère ne pas assister à « une interdiction de la parole sur certains sujets ». « La vérité d’aujourd’hui n’est pas toujours celle de demain, qui n’était pas celle d’hier », a-t-il soutenu.
Cette décision du gendarme de l’audiovisuel présage-t-elle d’un progrès du traitement médiatique de l’urgence climatique ? L’association Quota Climat s’en est en tout cas félicitée sur LinkedIn. Elle explique voir dans cette décision « une première étape indispensable pour réguler la qualité de l’information environnementale dans l’audiovisuel français ». « Aujourd’hui, nous l’avons franchie ! »
Comment l’hypothèse Gaïa, qui compare la Terre à un organisme vivant, a changé notre regard sur la planète et l’écologie
Le collectif rappelle tout de même les nombreux efforts encore à réaliser pour accorder la place que méritent le réchauffement climatique et les enjeux environnementaux dans les médias, qui ont quasiment totalement disparu des JT de TF1 et de France 2 au mois de juin.
En ce qui concerne Sud Radio, si la désinformation climatique venait à se répéter, elle s’exposerait à une mise en demeure, puis à une sanction financière. ]
A en croire l’Arcom, Sud Radio propage la désinformation climatique.
Pour se faire entendre, il y a encore du boulot !
La 16° conférence internationale EIKE devra t’elle être suivie par la 17°, 18°, 26°, 41°…….. ou plus ? Pour se faire entendre ?
Climatiquement vôtre. JEAN
Cette modification actuelle de la MTO que l’on observe est d’une complexité rare si on s’intéresse aux échanges thermiques des planètes. Et si nous mettons 6 ingénieurs spécialisés autour d’une table je crains que nous ayons au moins trois écoles de pensée et c’est normal. Si ce sont des économistes ce sera le CO2 en accord avec les financiers pour toujours plus de financements.
Je m’étonne un tantinet que personne ne fasse référence au livre de Simon Porcher sur le thème: La fin de l’eau ? – Fayard L’eau douce me semble une grande conséquence de cette modification. A titre de réflexion extrait du livre de Porcher : “En 2016, la dernière estimation connue, 15 millions de personnes – un Américain sur vingt – ont eu l’eau coupée, faute de pouvoir payer leur facture”. Quant à l’assainissement…
“Depuis 1970, la température a augmenté « plus rapidement » qu’au cours de toute autre période de 50 ans sur les 2 000 dernières années, relève ainsi le GIEC.
Etant donné que l’invention du thermomètre et la généralisation de son utilisation n’ont tout au plus que 3 siècles, on se demande bien comment le GIEC a pu évaluer à quelque dixièmes de °C près sur 50 ans le réchauffement de la planète lors de l’optimum Médiéval il y a un millénaire ou de l’optimum Romain un millénaire plus tôt.
Je serais curieux de lire l’étude qui étaye une telle prétention.
Tout comme celle qui soutient la prédiction de l’augmentation en fréquence et en violence des événements météorologiques extrêmes sous l’effet du modeste réchauffement de 1°C par siècle que nous subissons actuellement.
Les fascistes écolos ont encore frappé.
Merci beaucoup pour ce compte-rendu, les documents détaillés et les liens qui lui sont joints.
Le développement conceptuel sur le transport du rayonnement dans les nuages est passionnant (annexe E du second jour)
Le discours scientifique n’a aucune chance de se voir entendu pour un bon nombre de décennies à venir… Le discours scientifique n’intéresse que très peu de monde à part les scientifiques eux-mêmes. Et pour l’instant, quasiment seuls leurs retraités ne peuvent librement s’exprimer.
En revanche le discours politique est bien plus perforant : Mettre en relation les actions verdoyantes, et les résultats totalement inefficaces et disproportionnés, est un discours de plus en plus audible. La montée de la droite de la droite dans de nombreux pays européens en est la partie visible. La population se lassant de plus en plus des collapsologues.
Je crois que l’idée de Robert Girouard de générer des sondages insidieux est une approche pertinente. Et toutes les démarches qui s’éloignent de la théorie scientifique auront bien plus d’impact médiatique pour affaiblir le consensus.
Enfin ce n’est qu’une fois le consensus affaiblit, que la science aura les mains libres pour travailler honnêtement.
Sans doute ne serai-je plus là pour lors….
L’Arcom, autorité « indépendante » comme toutes les agences de l’Etat , fait partie des « machins » que la caste politique fabrique en prétextant rendre l’Etat plus efficient. En réalité il s’agit d’externaliser la responsabilité des dirigeants lorsqu’ils sont au pouvoir. On a pu estimer la supposée efficacité de ces structures à l’occasion par exemple de la « crise » sanitaire qui a vu le recours à des cabinets privés pour organiser la campagne de vaccination en dépit de l’armada des agences rattachées au ministère de la santé. Présidées et dirigées par des hauts fonctionnaires issus des mêmes grandes écoles que les gouvernants, ils en possèdent les mêmes convictions et les mêmes réflexes corporatistes quel que soit leur penchant politique. Pour revenir à ce qui nous occupe, il est cocasse, n’était-ce les conséquences que cela emporte, de constater que dans une république où la liberté d’expression est un droit inaliénable, garanti par la constitution et les différentes déclarations des droits de l’homme, il existe une organisation digne d’un état totalitaire chargé de contrôler et de sanctionner des propos relevant, en l’état actuel de la science, plus de la théorie, de l’opinion voire de la croyance que d’un savoir établi et démontré. Interdit-on les astrologues, cartomanciennes et autres diseuses de bonne aventure au prétexte que leur « savoir » n’est pas scientifiquement établi ? La controverse sur l’origine anthropique du réchauffement climatique est pendante n’en déplaise au gouvernement, à Radio France ( voir sa charte) et à tous les sectateurs de la thèse anthropique. Pour finir, je citerai un proverbe chinois : « Le poisson pourrit toujours en commençant par la tête. » Un grand pouvoir implique une grande responsabilité. Nos élites semblent l’avoir oublié qui protègent leurs privilèges au détriment de l’intérêt général.
C’est très bien dit.
« Le poisson pourrit toujours en commençant par la tête. »
C’est vrai, mais il lui arrive parfois de pourrir en commençant par la queue. Ainsi Mr Rajendra Kumar Pachauri, 3e président du GIEC, ingénieur des chemins de fer indiens, qui termina son mandat dans un scandale à caractère sexuel. Ou encore Mr D. Strauss-Kahn, ex-futur président de la République française, qui est très récemment intervenu à la télévision en qualité de figure morale du NFP.
Et oui si tu n’adhères pas à la religion climatique, tu sera brûler sur la place de Grève à Paris devant les Ecolos Bobos Parisiens du type CARON, ROUSSEAU et les autres
Que l’arcom air réagi ainsi et fait cette mise en garde est très inquiétant…
je la mets ici aussi
« » » » » »Après le dérèglement climatique, voilà le dérèglement politique …… et ça va pas être meilleur
blum
fritz
Une petite remarque : Le E de GIEC n’est pas Expert mais Etude et de plus, GIEC est une mauvaise traduction de IPCC Intergourmental Pannel on Climate Change. De mon point de vue, on serait plus proche avec Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique (CICC).
Le GIEC est le Vatican du climat et l’ARCOM est un Archevêché. Cette organisation est donc une Eglise au comportement inquisiteur qui veut instaurer une Science étatique officielle seule à être la référence. Comme le disait Galilée, “si la Bible vous donne le chemin pour aller au Ciel elle ne vous dit pas comment les Cieux fonctionnent”. Cette phrase s’applique bien aux réchauffistes.
Sachant que l’Arcom est chargée de garantir le respect de la dignité humaine, le respect de la déontologie journalistique, d’encourager la création de qualité, d’encadrer l’exploitation commerciale des enfants, et de lutter contre le piratage illégal, il est bizarre qu’elle réagisse sur une confrontation scientifique. Sauf si la déontologie journalistique implique un message unique.