Le GIEC est mort : Vive la science !

Drieu Godefridi

(disponible chez amazon)

Résolument à contre-courant dans le débat climatique, l’auteur de cet essai soutient que le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est une imposture consistant à présenter comme scientifique un projet essentiellement politique, et que cette imposture est la plus formidable de la science moderne par la fulgurance et le caractère planétaire de son succès. L’essai se lit également comme une audacieuse leçon de rigueur administrée par la philosophie à la science. S’opposant aux partisans du GIEC, mais se démarquant également de ce qu’il appelle les gribouillages de Claude Allègre, l’auteur suggère que l’on distingue le débat au sein du GIEC, qui relève des sciences exactes, et le débat sur le GIEC, qui est de nature épistémologique, c’est-à-dire institutionnelle, logique, de méthode.

Ce texte absolument remarquable est exactement ce qui manquait dans le débat sur le GIEC.

Henri Lepage, économiste

Très intéressant essai, en particulier l’analyse de la composition du GIEC et l’abus du mot Science.

Guy Sorman, essayiste

Ce texte est un vrai régal, une analyse parfaite de la logique et des ressorts d’une confusion scientifico-politique et de l’énorme mystification qui s’en est suivie

Henri Atlan, biologiste et philosophe

Cet essai constitue un brillant exercice d’hygiène mentale et de salubrité publique.

Mark Eyskens, ancien Premier ministre belge
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