De bonnes nouvelles en provenance de la République tchèque

Un groupe d’experts du climat (comportant notamment des géologues), vient d’être créé en République tchèque. Incorporé à la fondation CLINTEL, ce groupe de travail a rédigé une déclaration à l’intention des politiciens et du grand public en République tchèque, mais aussi dans le reste du monde. Cette déclaration s’appuie sur la déclaration de CLINTEL en l’approfondissant par de nouvelles découvertes dans leur domaine.

Le texte de cette déclaration (Des scientifiques tchèques réfutent le Green Deal, ou le roi est nu) peut être téléchargé en cliquant sur ce lien.

Le premier objectif de ce groupe sera d’organiser dès octobre 2024 une conférence scientifique internationale, professionnelle et apolitique, en s’inspirant du succès de la conférence « Basic Science of a Changing Climate: How processes in the Sun, Atmosphere and Ocean affect Weather and Climate », qui s’est tenue à Porto en 2018. Cette conférence pourrait avoir lieu dans les locaux de la Chambre des communes à Prague. Elle sera organisée sous l’égide de CLINTEL, mais le groupe de travail tchèque se fait fort de mobiliser les ressources économiques nécessaires auprès d’entités publiques et privées en République tchèque.

Cette conférence abordera les domaines suivants :

1) L’évolution du climat dans l’histoire géologique ;

2) Évolution du climat dans l’histoire humaine (environ 6000 ans) ;

3) Processus physiques fondamentaux influençant le climat (soleil, impacts, albédo, petit cycle de l’eau, etc.) ;

 4) L’influence de l’humanité sur le climat de la Terre (démythification de la thèse du GIEC et preuve de l’influence marginale de l’humanité).

Le Dr. Pavel Kalenda ( PKalenda@seznam.cz) a été nommé porte-parole de ce groupe.

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128 réflexions au sujet de « De bonnes nouvelles en provenance de la République tchèque »

  1. Belle initiative, mais ce n’est pas la première fois que des scientifiques font un rapport sur le RCA qui est une vaste fumisterie, à destination des puissants de ce monde. Lesquels n’ont aucune envie de stopper la machine de la décarbonisation qu’ils ont mise en toute ! Même quand il y a un coup de froid, comme c’est le cas actuellement en septembre, certaines personnes disent que c’est « justement parce que ça se réchauffe qu’il fait froid ». Le formatage des consciences dans toute sa splendeur…

  2. Bonjour,
    Les scientifiques alarmistes du changement climatique évoquent constamment une liste d’évènements négatifs lorsqu’ils sont interrogés sur un média (fonte des glaciers alpins, montée des océans, réchauffement des océans, pluies torrentielles,…). À les écouter, rien ne va vraiment plus. Ils confortent leur postulat en observant les différents évènements qu’au travers d’un biais de confirmation. Pourrait-on avoir une liste des évènements positifs en cours sur notre terre, afin de leur démontrer que :
    1. Il est facile de faire une démonstration par un argumentaire inversé, preuve de leur biais…
    2. …puis de leur démontrer qu’il ne suffit pas de dérouler une liste d’évènements, mais d’en comprendre les causes?

  3. Une question de la part d’un agnostique. Je n’ai personnellement rien contre l’hypothèse CO2. Par contre, comme chercheur et Popperien, je ne peux tolérer que le débat scientifique soit interdit, surtout sur des questions (et leurs réponses politiques) qui ont des répercussions sur l’humanité entière.
    Une simple question: il est connu que corrélation n’est pas causalité, et que l’augmentation du taux de CO2 dans l’athmosphère réduit le’énergie incidente d’être (r)envoyés dans l’espace. Mais, si je me fais l’avocat du diable, peut-on dire que l’activité humaine, intensive en énergie, a augmenté la quantité d’énergie encapsulée dans l’athmosphère, entrainant une hausse des température des océans, d’où dégazage. Dans ce cas, le CO2 émis n’est pas la cause principale, mais c’est l’activité humaine (production, transport, urbanisation, méchanisation de l’agriculture, etc. ) qui reste la cause principale.Juste une question, pas une déclaration de guerre…

      • Désolé de ne pas avoir le vocabulaire approprié. Je peux substituer par énergie “retenue”? C’est le terme le plus approprié que j’ai pu trouver. J’ai lu dans des articles sachants: “augmentation de l’entropie du système par accumulation d’énergie”, ce qui me semblait fort pompeux et probablement inexact: ce n’est pas parce que la quantité d’éneregie dans un système “presque” fermé augmente que l’entropie doit forcément aumenter. Du moins dans le court terme. PS. Karl Popper n’était pas fasciné par le consensus scientifique; Albert Einstein non plus quand il disait des «100 auteurs contre Einstein» qui le critiquaient:«Pourquoi 100 ? Si j’avais tord, un seul aurait suffit !». Mais la discussion sur les relations entre “théorie, validation, consensus, doute, falsification” est un autre sujet, fort intéressant d’ailleurs puisqu’il a fondé l’Europe post-Renaissance.

    • Les énergies fossiles sont de l’énergie solaire stockée. La combustion, le déstockage de ces énergies fossiles intervient dans l’équilibre thermique instantané de la terre. De 1994 à 2017 ce déstockage représente 12 ZJ (12 x 10 puissance 21 Joules). La fonte des glaces durant cette période a nécessité 9 ZJ. Le déstockage des énergie fossiles suffit à expliquer la fonte des glaces. https://www.essoar.org/doi/10.1002/essoar.10506806.1

  4. Dans les commentaires de l’article intitulé ” Extension du modèle de puits de carbone : la température compte aussi “, je démontre de manière factuelle que Monsieur Cooper est un troll comme son compère Jack.

    Je suis un scientifique sérieux d’après le critère de Monsieur Cooper puisque j’écris ici sous mon nom et tout le monde peut vérifier que j’ai écris de nombreux articles dans des revues à comité de lecture.

    Monsieur Hubert Escaith écrit aussi sous son nom et c’est manifestement un scientifique sérieux. Je partage son commentaire et je confirme le fait que plusieurs articles ont démontré qu’il y avait une bonne corrélation entre les variations de la température et du taux de CO2 dans l’atmosphère, mais l’augmentation du taux de CO2 est toujours en retard sur celle de la température. Ce résultat est confirmé dans l’article cité plus haut.

    Je reprends à mon compte la phrase de Monsieur Escaith : ” Dans ce cas, le CO2 émis n’est pas la cause principale, mais c’est l’activité humaine (production, transport, urbanisation, mécanisation de l’agriculture, etc. ) qui reste la cause principale. “, et j’ajoute qu’il peut aussi y avoir des causes astronomiques et/ou dues à la déplétion d’ozone.

    Mais évidemment, ces réflexions scientifiques contrarient beaucoup les scientifiques du GIEC.

    Paul Pettré

    • Monsieur PETTRE,
      Vous m’offensez en me traitant de “troll” !!!
      Je vous met au défi de trouver un seul de mes commentaires, depuis des années que je fais part ici, fort modestement, de mes points de vue, qui aurait été destiné à pourrir le site des climato-réalistes.
      Ou bien alors peut-être voyez vous des trolls partout comme d’autres voient des fachos dans leurs placards, sous leur lit.
      J’attend vos excuses.

    • Et vous vous faites quoi ici si ce n’est pas indiscret, à supposer que vous êtes quelqu’un de sérieux, scientifique ou pas.
      C’est quoi exactement l’intérêt de votre commentaire du 14 septembre 2024 at 22 h 34 min ?

  5. Bonjour à tous,
    Au Pr Cooper
    C est un peu facile de se planquer derrière des pseudo. Vous avez le droit d’avoir vos positions mais il faut savoir les assumer ouvertement. Je pense qu’en fait vous n’en avez pas le courage et que votre comportement est lâche. Je suis un scientifique depuis 40 ans et je n ai jamais vu quelqu’un qui se revendique l être et qui se planque ou alors taisez vous sur ces sujets.
    Je pense aussi que le modérateur ne devrait pas accepter l’anonymat, dans n’importe quel forum scientifique, pas uniquement sur internet, la personne qui intervient sur le sujet scientifique se nomme et précise où elle travaille.

    • « C est un peu facile de se planquer derrière des pseudo. » : c’est que voyez-vous, le Pr Cooper ne tient pas à ce que sa famille, son entourage personnel et professionnel prennent connaissance des saloperies pornographiques, sexistes et antisémites qu’il répand un peu partout. Sans anonymat, il n’existe plus.

      Je partage votre avis, la modération de ce site ne devrait publier que ceux qui acceptent de s’identifier. Si l’anonymat n’existe pas dans les revues à comités de lecture c’est précisément pour éviter les Cooper, Marie-Laure, Brionne, Finzi & cie.

  6. M Le Professeur Cooper,
    pouvez-vous citer un seul article scientifique publié dans une revue à comité de lecture…. un seul article qui établit clairement la relation chiffrée entre élévation du taux de CO2 et élévation de la température de l’atmosphère.
    Je ne demande ni un “consensus”, ni l’expression d’une “conviction”, juste un article scientifique.
    S’il existe, son contenu m’intéresse.
    Bien cordialement.

      • Bonjour pseudo Cooper,
        J’ai consulté le lien que vous avez partagé, notamment la section “causes du changement climatique”. Toutefois, je n’y ai trouvé aucune véritable démonstration scientifique. Il s’agit principalement de renvois à d’autres articles qui reprennent les affirmations habituelles sur le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique, formant ainsi un cercle de références mutuelles sans véritable preuve concrète. Ce que l’on attend ici, c’est une source qui présente une démonstration rigoureuse. Si vous cherchez plus avant cette source, vous finirez par rien d’autres que des simulations, qui, bien qu’intéressantes, ne constituent en aucun cas des démonstrations scientifiques solides. En physique, une véritable démonstration est celle qui permet soit de prédire l’avenir (comme Einstein avec la déviation des rayons lumineux lors d’une éclipse), soit d’expliquer le passé (comme Darwin avec la théorie de l’évolution). Pour le climat, rien de comparable n’est proposé à ce jour.
        Extrait (traduit) de cet article (chapître “causes du changement climatique”) dénué de toute démonstration:
        “En raison de l’augmentation de la température à l’échelle de la Terre, la couche d’ozone se vide ceci en lié à l’augmentation des concentrations de dioxyde de carbone. L’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre est considérée comme l’une des principales causes de ce problème. Les gaz à effet de serre qui ont un impact significatif sur l’environnement comprennent le CO2, le CH4, le N2O, le HFC, le PFC et le SF6 (IPCC, 1996). Parmi eux, le dioxyde de carbone est considéré comme le facteur le plus important du changement climatique mondial. Bien que la pandémie COVID-19 de 2020 et les stratégies de confinement n’aient pas seulement affecté les activités de production et le mode de vie des gens, elles ont également entraîné des changements majeurs dans la consommation d’énergie et les émissions de CO2. La teneur en dioxyde de carbone de la troposphère varie d’un moment à l’autre et d’un endroit à l’autre. Les sources de production de dioxyde de carbone sont à la fois naturelles et artificielles, et sa concentration a augmenté de 25 % au cours des 125 dernières années (Thurman et al., 2001). L’anxiété liée au changement climatique augmente très rapidement, ce qui implique une réaction émotionnelle négative autodéclarée de la population humaine liée à sa compréhension de l’importance du changement climatique (Clayton, 2020). Les principales sources anthropiques du changement climatique sont les émissions de gaz à effet de serre, en particulier les émissions de CO2, qui entraînent une augmentation de la température de l’atmosphère (Zafar et al., 2018).”
        Amicalement Dominique

        • Cher “professeur” autoproclamé, Il faut tout de même reconnaitre un fait : des articles à comité de lecture comme celui-ci, qui affirment sans preuve que le CO2 perturbe le climat, il en existe en effet des milliers, comme vous le soulignez. Ces articles se citent les uns les autres, créant par leur nombre, l’illusion d’une preuve irréfutable, et faisant office de la démonstration incontestable selon vous de cette théorie. Cher professeur, c’est du vent. Les variations de température précèdent toujours celles du CO2, quelques soient les échelles de temps que l’on prend. Amicalement Dominique.
          (C’est en effet plus prudent de prendre une pseudo pour soutenir une théorie aussi bancale, à votre place je ferais pareil)

        • Bonjour Dominique,
          L’article me semble sérieux. Si vous avez des contestations à ce sujet je pense qu’il faut écrire à la revue de comité de lecture du dit journal.
          Cependant votre remarque reste intéressante. Parce que d’un autre coté je ne connais pas d’articles démontrant de la façon dont vous l’entendez que le C02 n’a aucune influence.
          Je peux rechercher d’autres références si vous voulez.

          • Bonsoir cher professeur autoproclamé Copper
            Je ne conteste pas l’article. C’est vous que je conteste quand vous le citez comme un article qui “établit clairement la relation chiffrée entre élévation du taux de CO2 et élévation de la température de l’atmosphère” comme le demandait Pascal BLAMET plus haut. Je comprends bien que cet article vous semble sérieux. Mais c’est en fait parce qu’il cite d’autres articles qui vous semblent sérieux aussi parce qu’ils en citent encore d’autres par milliers, toujours très sérieux, qui vont tous dans le même sens qui vous convient du CO2 qui perturbe le climat. Vous me proposez d’en chercher un autre ?
            Alors voilà: Depuis le temps que je m’intéresse au sujet, s’il existait un article (un seul suffirait comme dit Pascal BLAMET) démontrant la prépondérance des émissions humaines dans la variabilité du climat, je pense que soit je serais tombé dessus tout seul, soit un autre professeur autoproclamé comme vous, croisé sur mon chemin m’en aurait fait part.
            J’ai déjà perdu assez de temps à vous montrer que l’article que vous avez partagé ne contient pas de démonstration comme vous le prétendiez. Je n’en perdrai pas plus que ça. Je préfère le passer à écouter des scientifiques comme celui-là https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=X-faDQr2jXI inciter au débat contradictoire qui fait défaut, notamment sur la variabilité naturel, inviter les médias à plus de pluralité, et encourager la jeunesse (1h10’50”) à sortir de la désespérance qu’engendre votre militantisme trollien, l’inviter à prendre l’avion sans honte, à tomber amoureux, à faire des voyages, et à bouffer la vie par les deux bouts. Votre militantisme trollien désespère la jeunesse. Il est malfaisant. Un jour, il vous faudra en répondre. Vos trolleries malfaisantes et chronophages ne m’apportent rien d’autre que du temps perdu. Adieu triste sir. Pensez à vos enfants qui vous maudiront quand ils comprendront que vous les avez trompé.
            Amicalement Dominique

          • Les petits esprits parlent des gens. Maintenant que vous ne compreniez pas ce que vous lisez c’est votre problème. Pas le mien.
            Pour le reste je ne peux que vous recommander de limiter l’usage des boissons alcoolisées.

  7. Au Pr Cooper : on parle de consensus, de débats, et je suis d’accord pour que chacun expose son point de vue. Mais il y a un problème quand il y a uniquement les partisans du RCA qui sont invités par les médias. Les scientifiques qui critiquent les théories du Giec ne sont pas les bienvenus. Je me rappelle d’un professeur qui devait faire une conférence dans un lycée, où il émettait des doutes sur le CO2 qui réchauffe, et qui avait été évincé. Où est la liberté de parole ? Si les médias ne veulent pas inviter les climato-sceptiques, c’est bien parce qu’il y a une peur que ceux-ci révèlent des choses qui mettent à mal la machine de la décarbonisation. Bref, ce n’est que de la politique.

    • Est ce que la liberté de parole c’est la liberté de dire n’importe quoi ? Personnellement je trouve curieux que parmi ceux qui critiquent il n’y a quasiment jamais de spécialistes du climat. Des fois c’est des spécialistes de la physique des matériaux, ou d’autres domaines. Mais jamais vraiment des spécialiste de la question.
      De plus curieusement pour des scientifiques, les critiques se font via des blogs, des chaînes YT, les RS. Jamais des articles de recherche publiés dans des revues à comité de lecture. Bien sûr c’est toujours facile d’accuser une hypothétique doxa qui vous empêcherait de publier que de se remettre soi même en cause.

  8. Le professeur Sheldon Cooper a écrit plus haut : “Faudrait déjà avoir des fais [SIC] indiscutables pour remettre en cause les résultats de milliers d’articles de recherche écrits pas des professionnels du climat.”

    Trois faits bien connus :

    1. Il n’y a pas de calcul thermodynamique de l’effet de serre. Voir Manabe et Wetherald 1967 dont l’astuce arbitraire (contrainte sur le gradient thermique) sert toujours de fondement à la modélisation.

    2. Le comportement des glaciers alpins, suivi de près depuis la première moitié du XXème siècle, est incompatible avec la prétendue évolution exceptionnelle des températures depuis les années 1970. La fonte est similaire autour de 1940 et de 2000, gains de masse dans les années 1970, 1980.

    3. Aucune variable climatique documentée ne montre un comportement exceptionnelle au XXème siècle, aucune n’est cohérente avec les prétendus indices de température des prétendus professionnels du climat.

    Il n’y a donc pas de théorie scientifique quantitative de l’effet de serre et les observations démentent le caractère exceptionnel du réchauffement récent.

    • 1- La modélisation est toujours valable.
      2- Pour les glaciers je ne sais pas. Mais le suivi des températures moyennes de 1850 à 2020 montrent un incontestable réchauffement.
      3- Comment expliquer alors tous les articles de recherche qui établissent un réchauffement ?
      L’effet de serre est parfaitement documentée. Et les données montrent qu’il y a réchauffement. Je sais pas si on peu le qualifier d’exceptionnel.

      • 1. Vous exprimez une opinion alors que je vous ai fait part d’un fait. Il n’y a pas de modélisation de l’effet de serre sur la base des lois de la physique mais une cuisine initiée pas Manabe en 1967. Il n’existe tout simplement pas de calcul valide de l’effet de serre et ce que les climatologues annoncent ne sont donc que des valeurs parfaitement arbitraires.

        2 et 3. Oui, il y a un réchauffement. Il est décomposable pour les derniers siècles, et en gros, en une tendance plus ou moins linéeaire depuis le XVII ème, des variations plus ou moins cycliques se mesurant en quelques dizaines d’années et la variabilité interannuelle. Les observations ne mettent pas en évidence de comportement particulier au XXème siècle; autrement dit, il n’y a pas d’évolution de la température en forme de crosse de hockey.

        La conséquence de cela est que l’attribution d’un quelconque réchauffement au CO2 n’est en réalité pas possible en l’état des connaissances.

        • 1-Je reste factuel.Les calculs sont valides. que vous ne vouliez pas le reconnaître n’est pas du domaine de la science.
          2- J’avoue ma méconnaissance. Je ne connais que l’évolution des données enregistrées des premières stations météo à nos jours. En gros 1850 à aujourd’hui.
          L’augmentation est très nette depuis 1980.
          3-“Climate change due to increasing concentration of carbon dioxide and its impacts on environment in 21st century; a mini review

          • 1. En quoi seriez-vous factuel ? Il n’y a aucun mystère à propos du calcul de l’effet de serre. Il est impossible de le réaliser sur la base des lois de la physique parce que le principal flux refroidissant la surface, le flux convectif, ne peut pas être mis en équations solubles par éléments finis. Tous les papiers sur le sujet expliquent cela. D’où le succès de Manabe et Wetherald 1967 qui entrent en pseudoscience par une cuisine arbitraire incompatible avec la thermodynamique.

            2 et 3.
            Pour votre édification et pour répondre à votre remarque, “Je ne connais que l’évolution des données enregistrées des premières stations météo à nos jours.” :

            Vous ne ne connaissez certainement pas grand chose des données enregistrées et je doute que vous ayez la moindre idée de ce qu’elles disent ou ne disent pas. Vous faites assurément référence aux indices de température de la NASA, HadCRUT ou autres produits similaires. Ces indices ne sont qu’une interprétation des données très inhomgènes qui par construction ne conservent pas les tendances à long terme. Ils n’ont donc pas de réelle utilité du point de vue du climat. D’où l’importance d’approcher les tendances à long terme par des observations indépendantes et homogènes sur le long terme.

          • 1- Bien sûr que si. Et on on progressé depuis 1967.
            2- Je reconnais ne pas être un spécialiste du climat. Mais je sais lire des articles de recherche. Même ceux ayant trait à un domaine qui n’est pas le mien.
            3- J’attends donc votre article qui démontrera que ces données sont erronées.

          • Apparemment vous ne connsaissez pas grand chose à la pseudoscience du climat. Personne n’a prétendu être capable de calculer le flux convectif sur la base des lois de la physique. Si vous avez un scoop à ce sujet, je suis tout ouïe.

            Pour le reste, c’est assez simple, trouvez une variable climatique sensible à la température qui aurait une forme en crosse de hockey. J’attends votre découverte avec impatience.

          • Donc vous reconnaissez être incapable :

            1. De donner une référence quelconque qui affirmerait que le flux convectif est calculable sur la base des lois de la physique, et par conséquent que l’effet de serre serait calculable sur la base des lois de la physique.

            2. De donner une référence vers une variable climatique sensible à la température qui aurait évolué en forme de crosse de hockey.

            Quel intérêt y a-t-il pour vous d’intervenir ici sans avoir la moindre idée des fondamentaux du sujet ?

          • Il est instructif de constater à quel point les défenseurs de la pataphysique du climat sont incapables de défendre les élucubrations des tenants du réchauffement anthropique.

            Ramanathan et Coakley 1978 :
            “An exact treatment for qc [convective heat flux] would require the solution of the equations of motion and continuity in addition to the solution of the energy equation. This ambitious task has not been attempted by any of the radiative-convective models.”

            “Since the temperature gradient is prescribed within the troposphere, (8) [qT(z) + qS(z) + qC(z) = const = 0] need not be solved. Instead, the equation for the radiative equilibrium condition, i.e., qT + qS = 0, is solved with the provisio that the lapse rate at any level within the atmosphere should be less than or equal to the critical lapse rate.”

            Une évolution depuis 1978 ? non dans le principe, oui dans les détails et dans la formulation :

            Dufresne 2010 :
            “Le point essentiel est [que le gradient thermique] est indépendant des échanges radiatifs.”

            Il n’y a donc pas plus de thermodynamique dans le calul de l’effet de serre aujoud’hui qu’en 1967 ou en 1978.

            Il faut remonter à Manabe 1964, donc avant la pataphysique du climat, pour trouver les derniers propos sensés sur le sujet :
            “The observed tropospheric lapse rate of temperature is approximately 6,5°C/km. The explanation for this fact is rather complicated. It is essencially the result of a balance between (a) the stabilizing effect of upward heat transport in moist and dry convection on both small and large scales and (b) the destbilizing effect of radiative transfer.”

            Occupez-vous intelligemment en essayant de réconcilier ces citations plutôt qu’en innondant ce fil de discussion de remarques sans intérêt.

          • Green House Gases interactions in Atmospheric
            Thermodynamics for Climate Change.
            Voilà c’est tout…Pour le moment…

          • Pr Sheldon Cooper,
            “Voilà c’est tout…Pour le moment…”

            Un long moment SVP. Il n’y a pas de discussion possible avec vous. Vous êtes un peu perdu et n’êtes bien sûr par professeur de physique. Votre référence Cox est complètement hors sujet.

          • Ne vous vexez pas Pr Cooper, accepterez plutôt votre insignifiance, vous vous infligez des humiliations publiques inutiles.

  9. J’évoquais les médias qui freinent toute action de ceux qui doutent du RCA par peur de la vérité.
    Il est amusant de comparer ces deux choses.
    D’un côté, on a cette étude totalement loufoque :
    https://actu.orange.fr/france/climat-la-france-cherche-a-resoudre-le-amp-quot-paradoxe-de-la-vache-qui-broute-amp-quot-CNT000002f3lvw.html
    De l’autre, on a ce gars qui s’envoie en l’air avec ses millions.
    https://actu.fr/societe/qui-est-sylvian-chiron-le-ssvoyard-qui-a-voyage-dans-l-espace-ce-week-end_61092856.html
    On va critiquer les bovins, mais on ne dit rien sur le tourisme spatial.
    Pourquoi ? Parce que tout est économique. Si les politicards veulent vraiment sauver le monde, qu’ils arrêtent déjà l’hypocrisie.

  10. Pour info, interview de Steven Koonin :
    https://www.youtube.com/watch?v=FYBtG3CNgpM&t=7s

    Ce que le site WUWT en retire (traduction automatique DeepL) :

    Le terme « négationniste du climat » est offensant et trompeur, car les sceptiques comme Steven Koonin fondent leurs arguments sur des preuves scientifiques.

    L’expérience acquise dans le secteur de l’énergie peut fournir des indications précieuses sur la manière de modifier efficacement le système énergétique.

    Pour les jeunes scientifiques, le fait de s’opposer au discours sur le climat peut représenter un risque pour leur carrière en raison des difficultés de financement et de publication.

    Selon M. Koonin, la désinformation dans les médias est due au fait que les journalistes ne creusent pas plus loin et que les scientifiques ne corrigent pas les fausses représentations.

    La prétention de l’ONU à « détenir la science » et sa collaboration avec Google pour contrôler les résultats de recherche prouvent la partialité et la censure.

    Le documentaire « Climate the Movie » a fait l’objet de tentatives d’annulation, mais a suscité une grande attention et le soutien des téléspectateurs. Il a été bien accueilli et a suscité une discussion ouverte sur le changement climatique, contrairement à des plateformes telles que Facebook qui le qualifient de désinformation.

    La dynamique de financement de la recherche sur le climat est discutée, avec l’observation que l’ajout d’un discours sur le climat à un projet peut le qualifier pour un financement lié au climat. Cela soulève des questions quant à l’intégrité de la recherche et à sa partialité.

    La géo-ingénierie, telle que l’injection d’aérosols dans la stratosphère et l’ensemencement des nuages, est un sujet d’intérêt et de débat. Bien qu’il soit technologiquement possible d’abaisser la température de surface du globe, les effets secondaires involontaires et la viabilité à long terme de ces interventions suscitent des inquiétudes.

    – Il est nécessaire d’adopter une approche « équipe rouge, équipe bleue » dans le domaine de la science du climat afin d’encourager une discussion scientifique ouverte et rigoureuse et de remettre en question le consensus. Toutefois, cette approche n’a pas la faveur de l’administration Biden.

    – Maintenir l’intégrité et la vérité face à la corruption est un défi, mais il est essentiel que les scientifiques exposent les faits et laissent les gens décider par eux-mêmes.

  11. Monsieur Cooper,
    Je vous recommande de lire l’article intitulé : The phase relation between atmospheric carbon dioxide and global temperature (DOI: 10.1016/j.gloplacha.2012.08.008) à l’adresse suivante :
    https://www.researchgate.net/publication/257343053_The_phase_relation_between_atmospheric_carbon_dioxide_and_global_temperature
    La conclusion de cet article est très simple :
    ” Il existe une relation de phase évidente entre les changements du taux de CO2 atmosphérique et les différents relevés de température globale, qu’ils soient de la température de surface de la mer, de la température de l’air de surface ou de la température de la troposphère inférieure.
    Les changements de la quantité de CO2 atmosphérique sont toujours en retard par rapport aux changements correspondants de la température. “.

    Par conséquent, il est totalement inutile d’invoquer un prétendu effet de serre pour expliquer le réchauffement climatique qui a d’autres causes possibles.

  12. Une question : le Pr Sheldon Cooper ne serait-il pas la version masculine de Marie Laure A, qui a disparu des radar pour se réincarner et parasiter le site ?

  13. Cher “Pr” Sheldon Cooper,

    l’article auquel vous me renvoyez ne répond pas le moins du monde à la question que je pose. C’est une sorte de revue banale comme il en existe des centaines qui ne démontrent jamais rien.
    La catastrophe prévue dont le CO2 serait le principal responsable relève au mieux de la conviction mais n’a aucun support scientifique tangible digne de ce nom.

    Je vous recommande l’article suivant qui s’efforce de regarder sérieusement les publications scientifiques pertinentes ….c’est intéressant.

    https://fr.irefeurope.org/featured/article/science-du-climat-faiblesses-et-manquements/

      • Botage en touche et pirouette habituels .
        Le lien que je vous ai adressé est intéressant parce que justement, l’étude bibliographique concernée cite exclusivement des articles publiés dans des revues à comité de lecture, écrits par des chercheurs reconnus par le GIEC …..SCIENCE, par exemple, cela vous dit quelque chose?
        Encore faut-il lire le texte et surtout s’intéresser au fond, ce qui ne paraît manifestement pas être votre cas.

        • Mais c’est ce que j’ai fait. Vous devriez faire de même.
          Je vous mets un articles intéressant : “The results show little trend in the nineteenth century, marked warming to 1940, relatively steady conditions to the mid-1970s and a subsequent rapid warming. The warmest 3 years have all occurred in the 1980s.
          Paru Dans Nature.”Global temperature variations between 1861 and 1984”

          • Sur le plan scientifique:
            1- observer une variation de température mondiale est une chose,
            2 – la mesurer avec une précision suffisante en est une autre,
            3- en interpréter la ou les causes en est encore une autre,
            4- quantifier l’avenir, avec des chiffres fiables, encore une autre,
            5 – etc….
            La littérature scientifique montre que l’état réel de la connaissance scientifique établie se situe entre 1 et 2.
            Il y a de la marge et on nous impose de croire qu’on en est
            à 4 et qu’il n’y a aucune question à se poser. La décarbonation généralisée est la seule issue !.
            C’est absurde et totalement antiscientifique comme posture.
            C’est un énorme mensonge idéologique sur la base duquel on prend des décisions totalement destructrices pour notre avenir et celui de nos enfants en France et en Europe
            Visiblement cela vous va….pas moi.

  14. Ceci dit Messieurs …
    Dans une discussion avec Loup Verlet, le père de la dynamique moléculaire, celui-ci m’avait appris que l’immense Louis de Broglie lorsqu’il était éditeur en chef des comptes rendus de l’académie des sciences ou de l’IHP, je ne sais plus, éditait sa revue sans comité de lecture ni aucun filtre. Open bar. C’est ainsi qu’on avait vu passer quelques papiers farfelus dont un, d’un mathématicien Haitien, qui “démontrait” la conjecture de Fermat avec des arguments de nature probabiliste … conscient de l’insuffisance de ses arguments, il concluait sagement son papier en avouant que la vierge Marie lui était apparu en songe lui affirmant qu’il avait raison.
    De Broglie était un libertaire mais un sacré foutu physicien.
    Quand, plus tard, moi même je devins éditeur, Il m’arriva de laisser passer quelques papiers manifestement un peu faibles, mais écrits par des auteurs originaires de lointains pays défavorisés qui “méritaient” un petit coup de pouce (les auteurs et le pays), laissant libre le lecteur d’être intelligent …ou pas.

    De nos jours il y a trop de zozos en liberté pour accorder le moindre crédit à un auteur qui n’arrive pas à être publié dans une revue avec comité de lecture.

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